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"Abandonnant l'Espagne à Cadix où il s'embarque sur le Véloce, Alexandre Dumas atteint Tanger en novembre 1846. C'est le début d'un voyage mouvementé le long des côtes d'Afrique du Nord, qui lui fera découvrir Tétouan, Alger, Constantine, Bône, Bizerte, Tunis...
Dumas est fasciné par l'Afrique :"Il y a dans ce mot Afrique, écrit-il, quelque chose de magique et de prestigieux qui n'existe pour *aucune des autres parties du monde. L'Afrique a été de tous temps la terre des enchantements et des prodiges." Il nous régale avec toutes sortes d'anecdotes sur les coutumes et l'histoire arabes, nous raconte la conquête d'Alger par les troupes françaises, événement qui ne date encore que d'une quinzaine d'années, nous décrit les bazars, les mosquées ou les villages ensoleillés qu'il traverse et nous rapporte avec passion ses parties de pêche et de chasse au lion.
Un des récits les plus divertissants du grand voyageur que fut Dumas."

"Ce récit est celui d'une grande première : la traversée du Sahara, dans sa plus grande largeur, de la mer Rouge à l'Atlantique. Par un homme seul, à pied et à dos de chameau, sans aide extérieure.
Cette aventure d'exception a été pour Philippe Frey, tout au long de cette "traversée", une aventure de tous les dangers, ceux de la chaleur, ceux du désert - mais aussi ceux d'une région bouleversée, sur fond de guerre du Golfe, de rébellions où des bandes de nomades trafiquants font souvent la loi !
Mais c'est surtout le rêve du désert et sa mythologie qui emplissent la solitude de Philippe Frey : il est sur les traces des caravanes du roi Salomon, il traverse les cités oubliées avec la carte du ciel pour seul guide... et les oasis attendues sont parfois des m i rages...
L'aventure se fait cauchemar : à N'Djamena, ce sera la prison; en Algérie et au Mali, les contrecoups de la révolte des Touaregs; à l'arrivée en Mauritanie, la nouvelle de la mort de son père.
Mais un ressort exceptionnel anime Philippe Frey, qui l'aidera à gagner son combat : ses chameaux meurent d'épuisement, il perd la vue pendant plusieurs jours, il est proche de la déshydratation totale... il n'importe : ce rêveur sait, le 8 juin 1991, savourer sur une plage de l'Atlantique sa victoire sur le Sahara... Un rêveur dont la modestie n'a d'égale que son exploit."

"Abandonnant l'Espagne à Cadix où il s'embarque sur le Véloce, Alexandre Dumas atteint Tanger en novembre 1846. C'est le début d'un voyage mouvementé le long des côtes d'Afrique du Nord, qui lui fera découvrir Tétouan, Alger, Constantine, Bône, Bizerte, Tunis...
Dumas est fasciné par l'Afrique :"Il y a dans ce mot Afrique, écrit-il, quelque chose de magique et de prestigieux qui n'existe pour *aucune des autres parties du monde. L'Afrique a été de tous temps la terre des enchantements et des prodiges." Il nous régale avec toutes sortes d'anecdotes sur les coutumes et l'histoire arabes, nous raconte la conquête d'Alger par les troupes françaises, événement qui ne date encore que d'une quinzaine d'années, nous décrit les bazars, les mosquées ou les villages ensoleillés qu'il traverse et nous rapporte avec passion ses parties de pêche et de chasse au lion.
Un des récits les plus divertissants du grand voyageur que fut Dumas."

Un pilote plein d'expérience confirma
que la baie d'El Kantara n'avait aucune autre issue
et que si la flotte de Dargouth s'y trouvait,
elle était bel et bien prise au piège.
Le vieil Amiral Andrea Doria
fit jeter l'ancre et s'installa à l'entrée de la baie
tel un chat devant une souricière.
A bon chat, bon rat.
Car pour le joyeux archipirate Dargouth,
il n'est pas question d'abandonner sa flotte et de s'enfuir...
Le Stratagème de Dargouth
se déroula réellement à l'île de Jerba en l'an 1551.
La collection "Une aventure d'un corsaire barbaresque en Méditerranée" vous fait découvrir les mille et une aventures
de ces Rois de la mer. Exploits que les marins se racontent encore aujourd'hui dans tous les ports et sur toutes les côtes
de la Méditerranée.