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Documents  Baldacci, Aimé | enregistrements trouvés : 12

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Cote : 845 BAL

"Ce huitième et dernier tome de souvenirs d'Algérie couvre la période qui s'étend de décembre 1957 à la fin de 1962. Récemment affecté à Paris, tout en conservant provisoirement son poste
de directeur de la Caisse des Mines d'Algérie, Aimé Baldacci décrit les tentatives effectuées pour conserver le Sahara à la France, par la création d'un ministère particulier et ;d'une Organisation commune des régions sahariennes.
Avec l'auteur, nous vivons les difficultés qu'il rencontre pour trouver un
logement à Paris et réinstaller sa famille en métropole, sans trouble majeur pour ses enfants.
L'explosion de mai 1958 qui a fait croire un moment au sauvetage de l'Algérie française est à l'origine de faux espoirs qui sont malheureusement de courte durée.
Le retour du Général de Gaulle au pouvoir et l'institution de la V`
République n'interdisent pourtant pas d'imaginer la réussite du rattachement direct à Paris des nouveaux départements sahariens des Oasis et de la Saoura.
.De fréquents déplacements entre Paris et le sud montrent le progrès de l'exploitation du pétrole et du gaz et de la construction de pipe-lines qui atteignent bientôt les ports algériens et tunisiens. A Reggane, ColombBéchar et In-Eker, le France procède à ses premières expériences atomiques ou spatiales.
Cependant, se développe rapidement les réformes qui tendent à transformer dans les plus courts délais sur les plans administratif, économique et social, les régions désertiques en provinces françaises.
Mais les exigences du F.L.N. imposent, malgré la victoire des armes françaises sur le terrain, de conduire les négociations de paix en niant l'oeuvre réalisée au Sahara.
La signature des accords d'Evian, après les derniers soubresauts d'une résistance locale désespérée, donne le signal de l'exode massif des populations d'origine européenne ou assimilées pour leur rapatriement en France.
L'Algérie française a définitivement vécu le 1" juillet 1962."
"Ce huitième et dernier tome de souvenirs d'Algérie couvre la période qui s'étend de décembre 1957 à la fin de 1962. Récemment affecté à Paris, tout en conservant provisoirement son poste
de directeur de la Caisse des Mines d'Algérie, Aimé Baldacci décrit les tentatives effectuées pour conserver le Sahara à la France, par la création d'un ministère particulier et ;d'une Organisation commune des régions sahariennes.
Avec l'auteur, nous vivons les ...

Algérie ; Souvenir ; Français ; Guerre d'Algérie ; Révolution nationale algérienne ; FLN ; 1955-1962

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Cote : 845 BAL

"Ce septième tome de souvenirs se situe entre 1954 et 1957. Il fait revivre les principales années de la rebellion algérienne, après avoir brossé le tableau de l'Algérie à le veille de l'insurrection des Arabes et des Kabyles. Puis, il décrit les péripéties dans lesquelles s'est peu à peu développé le terrorisme, au prix des vives souffrances de la population et d'une répression généralisée, tandis que les Européens conservaient l'espérance farouche de rester sur une terre devenue leur, par les efforts de plusieurs générations depuis plus de cent vingt ans.
L'armée secondée par les forces locales, s'est entiérement dévouée au maintien de la présence française et, pendant longtemps, elle a cru qu'elle parviendrait, avec l'aide de son 5me Bureau, à triompher de toutes les manifestations de la guerre subversive. C'était sans compter avec la vigueur d'un nationalisme religieux appuyé sur la terreur et financé, en grande partie, sur les salaires des travailleurs algériens en France.
La découverte d'importants gisements de pétrole et de gaz, à Hassi Messaoud et Hassi R'mel, n'était pas propre à calmer les convoitises qui avaient grandi dans le monde entier avec l'introduction du problème algérien sur la scène internationale.
C'est pour répondre à une idée nouvelle qui avait germé dans les milieux d'affaires parisiens que fut décidée la séparation du Sahara d'avec les territoires du nord, par la création des départements des Oasis et de la Saoura, inclus dans le vaste ensemble économique, social, voire politique que constituait l'O.C.R.S.
L'auteur a vécu ces événements à Alger et, comme ses amis et les siens, il s'est habitué à la permanence du danger, en conservant avec sa femme l'espoir que la tragédie prendrait un jour fin. Cependant, profondément atteint par les massacres dont il ressentait particulièrement la réalité poignante au cours de ses tournées dans le bled, persuadé par ses contacts avec Paris et les exploitations minières que la situation était désespérée et que les exactions ne feraient qu'empirer, il a été pénétré de l'urgente nécessité de franchir la mer, convaincu de l'inanité des réformes qu'avaient entreprises un Gouvernement courageux pour le sauvetage d'une cause perdue.
Et pourtant, l'Armée assurait partout sa victoire sur le terrain, en face` d'une insurrection exsangue et à bout de souffle, derrière les barrages électrifiés dressés aux frontières. Mais des dirigeants lucides avaient alors compris que le seul poids démographique imposait une solution politique d'indépendance."
"Ce septième tome de souvenirs se situe entre 1954 et 1957. Il fait revivre les principales années de la rebellion algérienne, après avoir brossé le tableau de l'Algérie à le veille de l'insurrection des Arabes et des Kabyles. Puis, il décrit les péripéties dans lesquelles s'est peu à peu développé le terrorisme, au prix des vives souffrances de la population et d'une répression généralisée, tandis que les Européens conservaient l'espérance ...

Algérie ; Souvenir ; Français ; Révolution ; Armée ; Guerre d'Algérie ; Alger, commune

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Cote : 845 BAL

"Désigné comme directeur de la Caisse autonome de retraite et de prévoyance personnel des mines d'Algérie, l'auteur connaît les soucis d'une création ex nihlo : nouveau régime entre en vigueur, suivant les règles de la répartition, grâce aux cotisations des travailleurs, des patrons et de l'Algérie, un fond spécial complémentaire étant réservé aux employés, techniciens et cadres avec un financement séparé. Adjointe à la Caisse, une Union régionale préexistante fédère une vingtaine de sociétés de secours mutualistes qui fonctionnent auprès des exploitations minières. Les précieux renseignements que fournissent les institutions sociales de France, à l'occasion de voyages à Paris, facilitent un rapide démarrage. Organisée sur le modèle métropolitain, la Caisse s'installe dans des locaux neufs et entreprend la liquidation de centaines dé dossiers en surmontant les difficultés inhérentes à la disparition d'anciennes archives. En outre, la mise en oeuvre de la Sécurité sociale algérienne conduit à réviser les méthodes de gestion des caisses décentralisées qui seront progressivement intégrées dans un ensemble contrôlé par Alger. La bonne application de mesures complexes et les relations avec le corps médical imposent de nombreuses visites dans les mines et la diffusion d'un nouveau code, tandis que se resserrent les liens avec Paris et les organismes métropolitains, dans un persévérant effort de coordination. Les exemples qu'offre la France concourent à l'élaboration d'un programme ambitieux d'action sanitaire et sociale 2u profit des mineurs et de leurs familles. Tout en accordant le meilleur de lui-même à une tâche exaltante, l'auteur consacre ses loisirs, avec l'aide constante de sa femme, à ses deux enfants dont le dernier vient de naître. Le couple se décide à l'achat d'un logement dans un grand immeuble dont la construction connaît des développements aventureux; la possession d'une voiture élargit la dimension des sorties et favorise la fréquentation d'un large cercle d'amis dans l'ambiance algéroise. Enfin, les souvenirs de guerre revivent lors d'un stage à l'École militaire puis sur le terrain des manoeuvres dans le bled algérien. C'est peu après qu'éclate, le 1er novembre 1954, l'insurrection qui fera chanceler des projets solidement établis."
"Désigné comme directeur de la Caisse autonome de retraite et de prévoyance personnel des mines d'Algérie, l'auteur connaît les soucis d'une création ex nihlo : nouveau régime entre en vigueur, suivant les règles de la répartition, grâce aux cotisations des travailleurs, des patrons et de l'Algérie, un fond spécial complémentaire étant réservé aux employés, techniciens et cadres avec un financement séparé. Adjointe à la Caisse, une Union ...

Algérie ; Souvenir ; Français

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Cote : 845 BAL

"Ce 5e tome de souvenirs se situe entre l'été de 1945 et le début de 1950.
Rentré du Sahara au Gouvernement Général, l'auteur reprend contact avec le secteur des mines et des carburants, dans une ambiance politique et économique nouvelle, au sortir de longues années de restrictions. Un vaste effort est entamé pour industrialiser l'Algérie malgré la pénurie d'énergie. Une particulière attention est accordée au minerai de fer de l'Ouenza qui devrait, un jour, alimenter des hauts fourneaux à Bône. A défaut d'hydrocarbures fossiles, l'accent est mis sur la grande hydraulique génératrice d'électricité et sur l'irrigation qui doit étendre les terres cultivées dans un pays d'abord agricole. Est également entreprise la modernisation des houillères nationales du sud oranais, avec le concours des autorités de Paris, à un moment où l'adoption du statut du mineur accroît les chances de rentabilité. Les espoirs fondés, d'autre part, sur les découvertes des géologues se concrétisent par la création de la S.N. Repal pour le pétrole et du B.R.M.A. pour les autres substances minérales. Considérations d'intérêt général qui alternent avec la description du fonctionnement des rouages de l'administration centrale, la peinture des habitudes algéroises et le récit des événements heureux d'une vie personnelle et familiale pleine des joies de la paix enfin rétablie. Le retour en France pour les vacances d'été, longtemps interdit à cause de la guerre, l'intégration des cadres du G.G. dans les corps ministériels ajoutent à la plénitude du sentiment retrouvé d'appartenir à une seule patrie.
Le statut organique de l'Algérie, publié en septembre 1947, prévoyait, après l'éphémère assemblée financière, l'élection d'une Assemblée algérienne composée pour moitié de citoyens musulmans. Affecté dans les services du Palais Carnot, l'auteur raconte la naissance de cette chambre bipartite et les intrigues qui l'entourent. Dotée de larges attributions, l'Assemblée reste cependant subordonnée au contrôle du Pouvoir central. Grâce à ces réformes, l'avenir s'avère serein et s'ouvre notamment sur l'amorce d'un régime général de sécurité sociale ; les mineurs bénéficient, les premiers, d'une Caisse de retraites dont l'histoire mérite, à elle seule, d'autres développements."
"Ce 5e tome de souvenirs se situe entre l'été de 1945 et le début de 1950.
Rentré du Sahara au Gouvernement Général, l'auteur reprend contact avec le secteur des mines et des carburants, dans une ambiance politique et économique nouvelle, au sortir de longues années de restrictions. Un vaste effort est entamé pour industrialiser l'Algérie malgré la pénurie d'énergie. Une particulière attention est accordée au minerai de fer de l'Ouenza qui ...

Algérie ; Souvenir ; Mémoire ; Armée ; Français

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Cote : 845 BAL

"Après La porte de la rivière, Tirailleur algérien et Le temps
des sirènes, Aimé Baldacci publie le tome IV de ses souvenirs.
Muté fin 1943 aux Affaires Indigènes, l'auteur découvre Ouargla, dont la vie spirituelle s'organise autour de ses deux mosquées rivales et de la communauté des Pères blancs.
La villa de fonctions, cachée dans les jardins de l'avenue Laperrine, enferme un petit éden de plantes exubérantes où roucoulent des pigeons et murmure l'eau dans les séguias, entre les mélias, les éthels, les ricins et les flamboyants, faisant oublier scorpions, tarentules, sauterelles et termites.
Dans un territoire plus vaste que la France, l'Armée veille à la sécurité, au ravitaillement et à la santé des tribus. Oeuvre captivante que d'aider, dans l'observance des coutumes locales, au bon déroulement de l'achaba des nomades ainsi qu'au mieux être des haratin dans les palmeraies et les ksour.
Des tournées automobiles parcourent les pistes de la hamada, du reg ou de l'erg jusqu'au Niger pour renforcer les liens du commandement avec les troupes isolées dont dépend la paix française. La rencontre d'un peloton méhariste qui nomadise, le cérémonial du thé au campement des touareg ou les bivouacs sous les étoiles sécrètent la séduction magique de l'appel du désert.
La vie de garnison se déroule à travers les réceptions jusqu'à l'été torride qui chasse les familles, imposant aux hommes l'ennui. de la solitude.
Enfin, c'est l'annonce tant espérée de la paix, malheureusement endeuillée par les troubles du Constantinois. Les combattants revenus du front participent à la relève des réservistes qui repartent définitivement, emportant dans leur coeur la chaleur des amitiés sahariennes et le souvenir d'une aventure inoubliable."
"Après La porte de la rivière, Tirailleur algérien et Le temps
des sirènes, Aimé Baldacci publie le tome IV de ses souvenirs.
Muté fin 1943 aux Affaires Indigènes, l'auteur découvre Ouargla, dont la vie spirituelle s'organise autour de ses deux mosquées rivales et de la communauté des Pères blancs.
La villa de fonctions, cachée dans les jardins de l'avenue Laperrine, enferme un petit éden de plantes exubérantes où roucoulent des pigeons et ...

Algérie ; Souvenir ; Français ; Guerre d'Algérie

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Cote : 845 BAL

"Après « La porte de la rivière », et « Tirailleur algérien », Aimé BALDACCI publie le troisième tome de ses souvenirs. (Préface du Colonel L. PAGES).
Démobilisé en août 1940, l'auteur entre dans la fonction publique. Affecté à la préfecture d'Oran, au service du contrôle des prix, il s'attache à une cité pittoresque, diverse, active et chaleureuse. Mais il garde la nostalgie d'Alger où il retourne, en septembre 1941, au bureau des Mines du Gouvernement Général.
Il observe ainsi les rouages de l'administration centrale de l'Algérie. En contact avec le monde des mineurs, il peut mesurer l'étendue des ressources minérales et thermales du pays, parfois dans un climat psychologique alourdi. Les conventions qui lient l'Algérie à la société de l'Ouenza pour l'exploitation du plus grand gisement de fer de l'Afrique du Nord absorbent beaucoup de son temps.
Le débarquement du 8 novembre 1942 provoque de nouvelles séparations. Rappelé comme chef de section au II/29e R.T.A., l'auteur rejoint la 7e Cie détachée à Boghar. Après une courte mission de protection des ouvrages d'art dans les gorges de Palestro, il part en Tunisie.
Au-delà du Kef, les tirailleurs escaladent avec leurs mulets les pitons rocheux de l'Ousselat, sur la dorsale tunisienne. Dotée d'un matériel vétuste, la 7e Cie prend possession, dans la froidure de l'hiver, d'une zone immense où elle s'initie aux patrouilles.
Alors qu'elle tient le sommet convoité du Tahourit, lui arrive l'ordre de décrocher pour échapper à l'encerclement, car Rommel a percé vers Kasserine et Pichon : repli nocturne dramatique, sous une pluie battante, jusqu'au col du Kef el Garia, pour revenir, dès la nuit suivante, aux avant-postes :
Puis le bataillon, intégré dans la division marocaine, monte vers le nord jusqu'au djebel Bargou. L'auteur s'évade du front pour aller se marier à Alger : bref et bienheureux intermède avant le retour en ligne pour l'offensive générale du printemps 1943. A travers la plaine de Pont du Fahs, le bataillon s'engage dans une attaque meurtrière et s'accroche au terrain. La reprise de la progression le conduira sur le Zaghouan pour une dernière offensive : les troupes de l'Afrika Korps se rendent en masse. Les tirailleurs gardent les prisonniers à Pont-du-Fahs, alors que partout explosent les mines. La 7e Cie prend part au défilé de la victoire à Tunis. Enfin, au bout d'une longue attente à Ouenza, le bataillon termine à
Koléa une inoubliable campagne."
"Après « La porte de la rivière », et « Tirailleur algérien », Aimé BALDACCI publie le troisième tome de ses souvenirs. (Préface du Colonel L. PAGES).
Démobilisé en août 1940, l'auteur entre dans la fonction publique. Affecté à la préfecture d'Oran, au service du contrôle des prix, il s'attache à une cité pittoresque, diverse, active et chaleureuse. Mais il garde la nostalgie d'Alger où il retourne, en septembre 1941, au bureau des Mines du ...

Algérie ; Souvenir ; Littérature ; Français

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Cote : 845 BAL

"Après « La porte de la rivière », Aimé Baldacci publie le tome II de ses souvenirs.
Appelé sous les drapeaux fin 1938, comme E.O.R., il raconte la vie saine et rude de l'école de Saint-Maixent, dans la camaraderie des jeunes hommes venus de tout l'Empire français. Coëtquidan lui fait connaître la Bretagne et les grandes manoeuvres du camp.
Aspirant au Se R.T.A., le voici revenu près d'Alger, où il retrouve sa fiancée. Le service de la caserne le plonge, à Maison-Carrée, dans le désarroi des réservistes rappelés de France en raison des tensions internationales.
C'est comme chef de section antichars qu'il part vers l'est, fin 1939. En route, il apprend la déclaration de guerre. Alors commence, depuis Tunis jusqu'au delà de la ligne Mareth, l'incessant mouvement des troupes françaises.
Devenu officier Z du régiment, l'auteur pénètre, avec son unité, dans les merveilleuses oasis du sud. I1 découvre Gafsa, Gabès, Médenine, Foum Tatahouine et Ben Gardane. Le bled finit par peser sur son moral. Par bonheur, la correspondance du Nord adoucit sa peine.
Avec stupeur, le 5e R.T.A. apprend, à EI Hamma, la défaite de juin 1940. C'est le chagrin collectif et le souci de l'avenir. Les tirailleurs, vaincus sans combat, remontent à pied jusqu'à l'olivette de Sfax, où ils bivouaquent avant de prendre le train. Leur équipée, après un court passage â Fort-de-l'Eau s'arrête à Sidi-bel-Abbès, berceau de la Légion Étrangère."
"Après « La porte de la rivière », Aimé Baldacci publie le tome II de ses souvenirs.
Appelé sous les drapeaux fin 1938, comme E.O.R., il raconte la vie saine et rude de l'école de Saint-Maixent, dans la camaraderie des jeunes hommes venus de tout l'Empire français. Coëtquidan lui fait connaître la Bretagne et les grandes manoeuvres du camp.
Aspirant au Se R.T.A., le voici revenu près d'Alger, où il retrouve sa fiancée. Le service de la caserne ...

Algérie ; Souvenir ; Français

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Cote : 845 BAL

Ce premier tome se consacre principalement à l'existence d'un enfant de Bab-el-Oued, à ses années au Lycée Bugeaud puis à sa vie à l'Université et au Barreau d'Alger avant son départ pour les services militaires.

Algérie ; Souvenir ; Français

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Cote : 622 BAL

Algérie ; Société ; Plan

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