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Documents  Ed. des Ecrivains | enregistrements trouvés : 28

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Ed. des Ecrivains

147-149, rue Saint-Honoré
Paris 75001


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Cote : A00312

"Exaspérés par le double langage du chef de l'état, les Algérois s'insurgent et, après un heurt sanglant avec les forces de l'ordre, dressent une barricade en pleine coeur de la ville, sur son artère principale, la coupant en deux.
Encerclés par l'Armée, ils espèrent devant leur détermination faire fléchir, celui qui, après avoir déclaré en 1958:
n'y a plus ici, je le proclame au nom de la France et je vous en donne ma parole, que des Français à part entière, des compatriotes, des concitoyens, des frères qui marchent désormais dans la vie en se tenant par la main, de Dunkerque à Tamanrasset», semble vouloir maintenant abandonner l'Algérie aux Arabes.
René MARQUES, jeune cadre algérois, petit-fils d'immigrés espagnols, mais français avant tout, distant jusqu'alors, de ce qu'il considère comme une cause perdue d'avance, voit sa vie basculer en un instant.
Pourquoi son couple, uni depuis sept années, dans un amour exceptionnel, lui semble se déliter chaque jour davantage?
Pour une cause futile, il craque, et persuadé d'avoir perdu à jamais cet amour, rejoint la rébellion, espérant en finir avec cette vie qu'il pense avoir ratée.
L'Armée donnera-t-elle l'assaut attendu?
Que deviendra René MARQUES, à la fin de cette semaine historique?
Inch Allah! Le destin n'appartient à personne!"
"Exaspérés par le double langage du chef de l'état, les Algérois s'insurgent et, après un heurt sanglant avec les forces de l'ordre, dressent une barricade en pleine coeur de la ville, sur son artère principale, la coupant en deux.
Encerclés par l'Armée, ils espèrent devant leur détermination faire fléchir, celui qui, après avoir déclaré en 1958:
n'y a plus ici, je le proclame au nom de la France et je vous en donne ma parole, que des Français à ...

Algérie française ; Guerre d'Algérie ; OAS

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Cote : 845 CON

Autobiographie d'un ancien appelé du 6è BCA en Algérie en 1957-1958. Raconte le quotidien du chasseur alpin dans le Djudjura en Grande Kabylie.
Table des matières :
POURQUOI CE LIVRE? PREFACE CONSCIENCE DE NOS ECRITS. LE CONTEXTE. HOMMAGE. LA TRAVERSEE DE LA GRANDE BLEUE. LE CAMP ET SA COMPAGNIE. RETOUR AUX SOURCES. LES PERIPETIES -L'ARME BLANCHE. SUEURS FROIDES. NUIT DE NOEL. L'IMPACT NOCTURNE. TALAOUMALOU. BALLE PERDUE. LES PUNAISES. TAPIS VERT. LE DERNIER VERRE. EQUITATION. LES GALONS. PREMEDITATION. CRAPAHUT -PIED A TERRE. HARNACHEMENT. SOUS LA 1RE COMPAGNIE. LE VIEUX PONT. TEMPS DE CHIEN ET DE L'HORREUR. AGOUNI GOUGHRANE. UN SINGE EN HIVER. ROBERT. ACCROCHAGES -SUR LES TOITS. LES FUSEES BRANCARDAGE. LA MIZRANA. REDDITION. MES JAMBES! L'HOMME AUX CHEVEUX BLONDS. LA FORET DE YAKOUREN. LES CANONS DE FORT NATIONAL. LA GROTTE. UN BRAS! PRIX DE LA LIBERTE. LE CIMETIERE. L'EMBUSCADE. DIVERTISSEMENTS -LA VILLA DES ROSES. ANIMAL COURSE. LE CIVET. TENUE BLANCHE. SEQUESTRATION. ENVIRONNEMENT AUX MULTIPLES FACETTES - CES HOMMES VENUS D'EN FACE. REGARD ET PENSÉES DU CHIBANI. LA CACHE D'AMOKRANE. REFERENDUM. FACE A FACE. EAU TROUBLE. VUES D'EN HAUT. DJEMAA BOU SAHEL. JOUR DE REPOS. LES HOTES D'UNE NUIT. COUSCOUS MAGIQUE. TRISTESSE-LE TEMPS D'UNE PHOTO. JEAN-JACQUES NOUS QUITTE. SA DERNIERE GRENADE. SORTIE SANS RETOUR. UNE MINE CE JOUR LA! MEDITATION- SOIT FORT. METAMORPHOSE. CONSCIENCE PERDUE. DIALOGUE. CES MALADRESSES QUI NOUS GUETTENT. CES HOMMES QUI NOUS COMMANDAIENT. LE BOUT D'UN LONG TUNNEL -LA QUILLE. RETOUR A LA VIE CIVILE. L'HEURE DES COMPTES -RAPPELEZ VOUS. TRISTE BILAN. CORRESPONDANCE -UN CAMARADE M'ECRIT. REPONSE A SA LETTRE.
Autobiographie d'un ancien appelé du 6è BCA en Algérie en 1957-1958. Raconte le quotidien du chasseur alpin dans le Djudjura en Grande Kabylie.
Table des matières :
POURQUOI CE LIVRE? PREFACE CONSCIENCE DE NOS ECRITS. LE CONTEXTE. HOMMAGE. LA TRAVERSEE DE LA GRANDE BLEUE. LE CAMP ET SA COMPAGNIE. RETOUR AUX SOURCES. LES PERIPETIES -L'ARME BLANCHE. SUEURS FROIDES. NUIT DE NOEL. L'IMPACT NOCTURNE. TALAOUMALOU. BALLE PERDUE. LES PUNAISES. TAPIS ...

Algérie ; Kabylie ; Armée de Terre ; 1954-1962 ; Guerre ; Autobiographie ; Mémoire ; Eau ; Forêt ; Animal ; Lettre ; environnement

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Cote : A00435

"L'auteur a vécu les événements d'Algérie du 1er novembre 1954, jour de la « Toussaint Rouge », à juillet 1962.
Il nous fait part de ce qu'il a vu, entendu, et surtout vécu durant sa participation à la lutte contre le terrorisme au cours de ces années de guerre.
Engagé volontaire par devancement d'appel en novembre 1952, il est démobilisé deux ans plus tard après avoir servi au 2e RTA d'Oran. De suite, il fait carrière dans l'administration de la police, en Algérie, à Mostaganem, puis au Maroc, à Rabat. Après un retour en métropole, il est de nouveau affecté en Algérie, à Alger, Constantine, Bordj-Bou-Arréridj, et Bône.
Il quitte cette contrée fin juin 1962, à la veille de l'indépendance, et rejoint sa nouvelle affectation à Châlons-en-Champagne, où il se trouve, dix ans plus tard, à la tête du service de la Sûreté urbaine. En 1972, il prend la direction de ce même service pour le chef-lieu du Lot d'où il part en janvier 1984 pour la Guyane. Il revient d'Outre-Mer après quatre ans, avec une affectation pour Grenoble où il termine sa carrière."
"L'auteur a vécu les événements d'Algérie du 1er novembre 1954, jour de la « Toussaint Rouge », à juillet 1962.
Il nous fait part de ce qu'il a vu, entendu, et surtout vécu durant sa participation à la lutte contre le terrorisme au cours de ces années de guerre.
Engagé volontaire par devancement d'appel en novembre 1952, il est démobilisé deux ans plus tard après avoir servi au 2e RTA d'Oran. De suite, il fait carrière dans l'administration de ...

Récits personnels algériens ; Guerre d'Algérie ; Administration ; Police

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Cote : 967 LIV

Tunisie

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Cote : 845 SON

"Officier de réserve, Roger Soncarrieu effectue son service militaire entre 1956 et 1958. Il est affecté au 5e Régiment de Tirailleurs Sénégalais, dans la région de Tlemcen.
Convaincu que l'Algérie française est le grand dessein de la France, il repart de fin 1959 à juillet 1962 dans un Centre administratif saharien à Edjeleh-In Amenas.
Revenu définitivement en Métropole, à Lyon dont il est originaire, il est aux côtés des harkis et pieds-noirs repliés en France, comme il est aux côtés des « anciens d'AFN », métropolitains appelés en Algérie.
Il a été amené à s'occuper de nombreuses associations de jeunesse et a terminé sa vie professionnelle active comme responsable régional d'un organisme de formation. Il a été aussi conseiller municipal d'une commune de l'Est lyonnais et vice-président départemental du Centre national des indépendants et paysans (CNIP).
Il est l'auteur de plusieurs ouvrages techniques.
Il témoigne aujourd'hui de son engagement et l'on ne peut rester insensible à ce livre « écrit avec le coeur », comme le dit le capitaine Rabah Kheliff dans la préface de l'ouvrage.
Même si les ouvrages ayant trait à la guerre d'Algérie ne manquent pas, le témoignage et les réflexions de Roger Soncarrieu sont à découvrir.
Empreintes de beaucoup de sincérité, ce sont des pages qui se lisent comme un roman : celui de l'Algérie française."
"Officier de réserve, Roger Soncarrieu effectue son service militaire entre 1956 et 1958. Il est affecté au 5e Régiment de Tirailleurs Sénégalais, dans la région de Tlemcen.
Convaincu que l'Algérie française est le grand dessein de la France, il repart de fin 1959 à juillet 1962 dans un Centre administratif saharien à Edjeleh-In Amenas.
Revenu définitivement en Métropole, à Lyon dont il est originaire, il est aux côtés des harkis et pieds-noirs ...

Récits personnels ; Appelés ; Algérie française

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Cote : 845 LES

"Vous allez trouver dans cet ouvrage le récit d'une vie commencée dans une ville en flammes.
En 1922 une famille, père, mère et trois enfants mineurs, quitte Smyrne en Turquie et se réfugie en Algérie. La ville de Smyrne incendiée par les troupes de Mustafa Kemal s'appellera désormais Izmir Cette famille n'y retournera plus.
Les parents et les enfants parlent le français, et aiment la France. Le père a beaucoup voyagé. Il se trouvait à Paris au moment de l'assassinat de Jean Jaurès à la veille de la première guerre mondiale. Il recherchait des timbres poste pour ses collections. Grâce à cette activité de collectionneur, il put, quand il arriva en Algérie, récupérer un peu d'argent. La mère, musicienne, donna des leçons de piano.
La benjamine, qui a écrit ce livre, manifesta très tôt un goût prononcé pour la lecture. Elle put le satisfaire grâce à des études qui la conduisirent au doctorat d'Université. Elle aimait aussi les voyages.
Trous le constaterez vous-même en lisant le récit des séjours qu'elle fit au Maghreb, aux États-Unis et dans d'autres pays.
Si vous aimez la lecture et les voyages, vous serez satisfait."
"Vous allez trouver dans cet ouvrage le récit d'une vie commencée dans une ville en flammes.
En 1922 une famille, père, mère et trois enfants mineurs, quitte Smyrne en Turquie et se réfugie en Algérie. La ville de Smyrne incendiée par les troupes de Mustafa Kemal s'appellera désormais Izmir Cette famille n'y retournera plus.
Les parents et les enfants parlent le français, et aiment la France. Le père a beaucoup voyagé. Il se trouvait à Paris au ...

Récits personnels ; Voyage ; 20e siècle

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Cote : 845 JOU

"J'avais tout oublier : l'arrivée tout paumé à la caserne, l'installation dans la piaule... Le passage à l'habillement, la coupe "incorpo" chez le coiffeur, et puis le rapport, l'appel, le contre-appel et les revues de détail, les corvées de couloir, la marche au pas et le maniement des armes... Le premier quartier libre et les permes sucrées, les tours de garde et la T.A.B.D.T... Et puis le parcours du combattant, les séances de tir, le demi-tour et le "Présentez arme !"...
Alors j'ai repensé aux E.O.R. avec les cours d'armement, de camouflage et de combat, les marches de nuit, les gardes...
J'ai revu mon départ pour l'A.F.N., ce voyage à reculons, une Algérie qui attire et fait peur à la fois, mon arrivée dans le bled avec l'accueil des anciens, les jours qui ne passent pas, les peines, les joies, les rires et les pleurs, les quillards qui s'en vont et les pierrots qui restent...
Maintenant, je me souviens de tout comme si c'était hier, et j'ai envie de le raconter, comme ça, pour m'amuser..."
"J'avais tout oublier : l'arrivée tout paumé à la caserne, l'installation dans la piaule... Le passage à l'habillement, la coupe "incorpo" chez le coiffeur, et puis le rapport, l'appel, le contre-appel et les revues de détail, les corvées de couloir, la marche au pas et le maniement des armes... Le premier quartier libre et les permes sucrées, les tours de garde et la T.A.B.D.T... Et puis le parcours du combattant, les séances de tir, le ...

Souvenir ; Militaire ; Service militaire

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