UV
Cote : 314 AZN
De mars à juillet 1962, alors que les troupes françaises stationnent encore en
Algérie, les "vainqueurs" du FLN se saisissent des harkis, ces "supplétifs"
musulmans français qu'on leur a abandonnés, pour quelques arpents de sable, et
les assassinent, eux et leurs familles, avec un luxe d'imagination qui fera date dans
la grande histoire des bourreaux : mutilés, brûlés vifs, crucifiés, éventrés, ou
décapités à coups de pelles...
Trahis, abandonnés, massacrés - éradiqués... les harkis ont failli être les
oubliés de la guerre d'Algérie. Les rares survivants, et leurs enfants, enfermés dans
des camps cernés de barbelés et de gardes mobiles, auraient pu perdre la raison, et
la mémoire. Acculturés, manipulés, Français de seconde zone, " bougnouls " pour
les uns et " traîtres " pour les autres, ils auraient pu disparaître définitivement.
Ils se sont battus. Fiévreusement d'abord, dans les soubresauts du désespoir. Puis
plus posément, avec les arguments du bon droit - dès qu'ils ont pu réapprendre les
mots qu'on leur avait interdits.
Plus récemment enfin, en déchiffrant les arcanes du droit international, ils ont
déposé une plainte pour crime contre l'humanité.
C'est ce génocide prémédité, crime de guerre et crime d'État, que raconte ici
Boussad Azni, fils de harki. [Quatrième de couverture]
De mars à juillet 1962, alors que les troupes françaises stationnent encore en
Algérie, les "vainqueurs" du FLN se saisissent des harkis, ces "supplétifs"
musulmans français qu'on leur a abandonnés, pour quelques arpents de sable, et
les assassinent, eux et leurs familles, avec un luxe d'imagination qui fera date dans
la grande histoire des bourreaux : mutilés, brûlés vifs, crucifiés, éventrés, ou
décapités à coups de pelles...
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Harki ; Généalogie ; Algérie ; Histoire ; Enfant ; Guerre ; Mémoire ; Droit ; Famille ; Musulman ; Français ; FLN
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