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Documents  Editions Ibis Press | enregistrements trouvés : 16

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Cote : 925 VER

"Henri Lhote (1903-1991) accède à la notoriété vers la fin des années 1950 avec son exposition "Peintures préhistorique du Sahara” au Musée des arts décoratifs, qu'André Malraux présentera comme "une des expositions les plus marquantes du demi-siècle". Son ouvrage A la découverte des fresques du Tassili, traduit en seize langues et plusieurs fois réédité, est devenu un classique de l'art rupestre saharien. Pendant un demi siècle, Henri Lhote a fréquenté le Sahara, terre d'aventure où il a pu assouvir son goût de l'épreuve, son exaltation de l'exploit, son avidité de découverte et son appétit à transmettre son savoir. Cette biographie, basée sur des archives inédites et des témoignages directs, s'attache à cerner le parcours de l'autodidacte, orphelin à 12 ans, qui est devenu "l'inventeur du Tassili", héros des sables, savant et vulgarisateur exceptionnel. Monique Vérité, a écrit par ailleurs la biographie d'Odette du Puigaudeau (Une Bretonne au désert, éditions Payot) et a sorti de l'oubli les œuvres de cet auteur qui a également fait partager à ses lecteurs l'aventure du désert. "
"Henri Lhote (1903-1991) accède à la notoriété vers la fin des années 1950 avec son exposition "Peintures préhistorique du Sahara” au Musée des arts décoratifs, qu'André Malraux présentera comme "une des expositions les plus marquantes du demi-siècle". Son ouvrage A la découverte des fresques du Tassili, traduit en seize langues et plusieurs fois réédité, est devenu un classique de l'art rupestre saharien. Pendant un demi siècle, Henri Lhote a ...

Exploration ; Mission saharienne

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Cote : A00988

"Henri Duveyrier, l'explorateur du Sahara, aura été pour l'essentiel l'homme de deux livres étrangement antinomiques, l'idyllique relation d'une rencontre et, vingt ans plus tard, la transcription d'un cauchemar.
Duveyrier avait vingt-quatre ans lorsqu'il publia, en 1864, Les Touareg du Nord, livre écrit au retour d'un voyage de trois ans dans le désert. Grandi dans le sérail saint-simonien, il avait rompu avec ses aînés sans renier leurs idéaux de fraternité universelle. Mais, la conquête coloniale étant en plein essor, l'heure ne resta pas longtemps à la fraternité. Vingt ans après, ne soupçonnant pas combien les Touaregs s'effrayaient de l'expansion française au Sahara, Duveyrier ne comprit pas pourquoi des hommes qui lui avaient fait si bon accueil lors de son premier séjour se montraient hostiles aux voyageurs qui se risquaient dans le désert. Et il pensa en avoir trouvé la raison : pas de doute, ils étaient travaillés par la propagande des Senoussistes, membres d'une confrérie musulmane à laquelle il prêtait une puissance et une malveillance infinies. Il avait consacré à la confrérie quelques pages inquiètes dans Les Touareg du Nord, mais, en 1884, il fut beaucoup plus péremptoire dans un écrit halluciné : La Confrérie musulmane de Sîdi Mohammed ben Alî Es-Senoûsî.
Il en aura été de son destin comme de ses deux livres. Le tout jeune homme qui, le 13 mai 1859, partit de l'oasis de Biskra pour un voyage qu'il entreprenait « par amour pour la science et pour satisfaire une grande passion pour les découvertes des contrées lointaines » ne doutait pas des promesses que la vie semblait alors lui faire. Le 25 avril 1892, quand il s'engagea dans le bois de Meudon un revolver dans la poche, il avait eu le temps d'apprendre que la vie ne tient pas toujours ses promesses.
Cette biographie suit Duveyrier dans son voyage parmi les Touaregs, dans l'écriture des Touareg du Nord, puis dans le triste cheminement qui l'a conduit de ce premier livre au second, puis au suicide.
Ethnologue de formation, Dominique Casajus est directeur de recherches au CNRS. Il a consacré plusieurs ouvrages à la culture et à la littérature des Touaregs." (4ème couv.)
"Henri Duveyrier, l'explorateur du Sahara, aura été pour l'essentiel l'homme de deux livres étrangement antinomiques, l'idyllique relation d'une rencontre et, vingt ans plus tard, la transcription d'un cauchemar.
Duveyrier avait vingt-quatre ans lorsqu'il publia, en 1864, Les Touareg du Nord, livre écrit au retour d'un voyage de trois ans dans le désert. Grandi dans le sérail saint-simonien, il avait rompu avec ses aînés sans renier leurs idéaux ...

Etude historique ; Duveyrier, Henri (1840-1892) ; Sahara - Découverte et exploration - Récits personnels

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Cote : 308 REM

"... Au pays de la montagne, où pourtant les gens instruits sont nombreux, personne ne sait rien du passé, pas même du passé d'hier. On dirait un pays sans mémoire !
Ainsi écrivait Martial Rémond dans Djuijura en 1940. C'est pour faire mentir ses propres termes que, agronome et administrateur, il était devenu écrivain et photographe. Deux générations plus tard, Annic Droz, sa petite fille, nous ouvre ses archives. Les photographies des années 1930 et les extraits de textes publiés dans Djurdjura nous restituent une Kabylie un peu oubliée et pourtant bien nécessaire pour comprendre celle d'aujourd'hui et peut-être, celle de demain.
En ouvrant cet ouvrage, nombreux seront peut-être ceux qui pourront dire avec Fellag : Je me reconnais dans le cèdre solitaire accroché désespérément aux roches calcaires, dans le frêne qui borde la rivière, dans les chemins rocailleux. ( ..)
Ces enfants qui pleurent sur le dos de leurs mamans, c'est moi. Ces hommes sont mes frères et ces femmes, ces filles qui souffrent, qui aiment, qui rient, qui labourent, sarclent et prêtent leurs dos aux fardeaux sont mes soeurs, mes cousines et mes tantes..."
"... Au pays de la montagne, où pourtant les gens instruits sont nombreux, personne ne sait rien du passé, pas même du passé d'hier. On dirait un pays sans mémoire !
Ainsi écrivait Martial Rémond dans Djuijura en 1940. C'est pour faire mentir ses propres termes que, agronome et administrateur, il était devenu écrivain et photographe. Deux générations plus tard, Annic Droz, sa petite fille, nous ouvre ses archives. Les photographies des années ...

Kabylie ; Ouvrages illustrés

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Cote : 750 CAZ

"De 1830 à 1962, la Fronce s'est donné une mission : Valoriser l'Algérie. Incarnant la puissance et la culture françaises, d'importants travaux d'architecture et d'urbanisme sont alors entrepris avec le concours des artistes. Formés aux esthétiques
Leuropéennes, implantés en Algérie, ils participent à l'essor de l'art officiel et d'importantes commandes pour
la décoration des édifices publics leur sont confiées.
L'objet de cet ouvrage - La décoration monumentale peinte et sculptée en Algérie - est de recenser des oeuvres créées, non pas conservées dans des salons ou des musées, mais exposées sur la voie publique ou intégrées à l'ornementation de lieux officiels. Cet art monumental évoque une vision collective et non plus solitaire.
La France en Algérie rétablit la tradition républicaine de l'État culturel de 1925 à 1962 que les artistes traduisent dans une esthétique conservatrice et classique.
Ce travail, axé sur les commandes de l'État faites aux peintres et aux sculpteurs, vient compléter le dictionnaire des artistes de l'Algérie du même auteur. t est préfacé par Alain Amato, auteur du remarquable ouvrage Monuments en exil.
C'est l'histoire vivante, tragique mais sereine, de l'Algérie que l'on découvre, retracée à travers ses monuments." (4ème couverture)
"De 1830 à 1962, la Fronce s'est donné une mission : Valoriser l'Algérie. Incarnant la puissance et la culture françaises, d'importants travaux d'architecture et d'urbanisme sont alors entrepris avec le concours des artistes. Formés aux esthétiques
Leuropéennes, implantés en Algérie, ils participent à l'essor de l'art officiel et d'importantes commandes pour
la décoration des édifices publics leur sont confiées.
L'objet de cet ouvrage - La ...

Décoration ; Art décoratif ; Monuments historiques ; Villa Abd-el-Tif

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Cote : 966 MOU

Economie ; Maroc ; Drogues

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Cote : 923 RUP

"« J'ai fait ce rêve. Il y avait enfin sur la terre une justice pour les races soumises et les peuples vaincus. Fatigués d'être spoliés, pillés, massacrés, les Arabes et les Berbères chassaient leurs dominateurs du nord de l'Afrique, les Noirs faisaient de même pour le reste de ce continent, et les Jaunes pour le sol asiatique... » (La Sueur du burnous, 1911)
Ainsi écrivait Paul Vigné d'Octon, cinquante ans avant Martin Luther King.
Né à Montpellier en 1859 et mort à Octon (Hérault) en 1943, il était médecin de la Marine. Ayant servi en Afrique en pleine période d'expansion coloniale, il a été le premier à porter à la tribune de l'Assemblée nationale le récit des massacres perpétrés par les armées coloniales et ses supplétifs. Député de l'Hérault, conseiller général du canton de Lunas, maire d'Octon, il se bat sur tous les fronts des avancées sociales tout en poursuivant une carrière d'écrivain — romans régionalistes et enquêtes journalistiques. Las de ne pas être entendu, il se fait pamphlétaire pour brocarder tout autant les abus du pouvoir dans les colonies que les impérities des services de santé durant la Première Guerre mondiale dont il révèle maints scandales. Au début des années 1920, il abandonne la politique pour se consacrer à la propagation des doctrines naturistes et de la psychanalyse, alors peu connue. Utopiste, visionnaire, un demi-siècle avant Césaire, il a mis l'accent sur « le choc en retour de la colonisation » qui corrompt et avilit tout autant le colonisateur que le colonisé. Acteur et témoin, il apporte à une période cruciale de l'histoire de la République un éclairage unique sur les moeurs parlementaires et les questions-clés de son temps qui restent plus que jamais d'actualité."
"« J'ai fait ce rêve. Il y avait enfin sur la terre une justice pour les races soumises et les peuples vaincus. Fatigués d'être spoliés, pillés, massacrés, les Arabes et les Berbères chassaient leurs dominateurs du nord de l'Afrique, les Noirs faisaient de même pour le reste de ce continent, et les Jaunes pour le sol asiatique... » (La Sueur du burnous, 1911)
Ainsi écrivait Paul Vigné d'Octon, cinquante ans avant Martin Luther King.
Né à ...

Biographie ; Anticolonialisme

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Cote : 927 HUM

"Les photographes installés en Algérie dans la seconde moitié du XIXe siècle ont dressé un inventaire ethnographique et historique d'une étonnante richesse. Parmi eux, Jean Geiser est le plus connu. Photographe de studio, son activité de portraitiste ne l'empêche pas de courir le pays. Il grave sur ses plaques villes, villages, personnages et paysages. Témoin de son temps, il assiste aux grands événements de l'époque et réalise des milliers de clichés largement répandus grâce à la carte postale.

Comme l'écrit l'historien Jacques Frémeaux dans sa préface : "Il serait illusoire de vouloir exiger des documents visuels plus d'objectivité qu'on n'en trouve dans les archives écrites". Pour lui, les images de Jean Geiser ne montrent pas une réalité mais traduisent une vision artistique et humaniste. Il ajoute : "Si le photographe a travaillé dans le cadre d'une société coloniale, il a su, par le respect qu'il portait à ses sujets, en souligner la dignité ou la séduction. Leur visage, leur silhouette saisis par son appareil expriment, derrière l'apparence exotique, l'âme de tout un peuple et de son pays".

L'ouvrage, important pour l'histoire de la photographie, peut se lire également comme un livre d'Histoire par la photographie. Français émigrés sur cette terre d'Afrique, Algériens curieux de leur passé ou historiens en quête d'informations, tous auront à coeur de mieux connaître ce photographe et de découvrir, grâce notamment aux archives Geiser, l'aventure d'un homme, d'une famille et d'un pays à un moment crucial de son histoire."
"Les photographes installés en Algérie dans la seconde moitié du XIXe siècle ont dressé un inventaire ethnographique et historique d'une étonnante richesse. Parmi eux, Jean Geiser est le plus connu. Photographe de studio, son activité de portraitiste ne l'empêche pas de courir le pays. Il grave sur ses plaques villes, villages, personnages et paysages. Témoin de son temps, il assiste aux grands événements de l'époque et réalise des milliers de ...

Photographie ; Personnalités ; Artiste ; 19e siècle ; Alger, commune

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