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Documents  Ed. Filipacchi | enregistrements trouvés : 2

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Editions Filipacchi ; Ed. Filipacchi

151, rue Anatole-France Immeuble Europa
92534 Levallois-Perret Cedex


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Cote : 846 DOL

"19 mars 1962 : les accords d'Evian ratifient l'indépendance de l'Algérie. Dès lors, ce fut l'hallali pour tous les Français d'Algérie qui avaient eu la naïveté de croire au discours prononcé par de Gaulle à Mostaganem en 1958 :- Vive l'Algérie française !- Trente ans plus tard, en 1992, l'Algérie souffre toujours, déchirée par ses contradictions historiques et culturelles, ses désordres économiques et sociaux, son incompatible aspiration à un État laïque démocratique et moderne, malgré la tentation toujours présente d'un État religieux dans la tradition islamique, incarnée aujourd'hui dans la percée foudroyante du FIS. Il aura fallu trente ans au colonel Guy Doly-Linaudière pour accepter de rendre publiques les lettres qu'il adressa à sa mère depuis l'Algérie, conservées jusqu'à ce jour dans le secret d'un coffre. Jeune sous-lieutenant, saint-cyrien de la promotion - Terre d'Afrique =, il est affecté en 1960 dans le Constantinois, où il traque les fellagha dans un terrain montagneux et difficile. Il vit avec intensité dans Alger le putsch d'avril 1961 puis, avec son régiment, rejoint Oran où il est témoin au printemps et en juillet 1962 de l'assassinat de la ville et des derniers jours du combat pour l'Algérie française. Les actions auxquelles il a été mêlé n'ont pas altéré sa fougue et sa foi, mais s'y est ajouté peu à peu le goût de l'amertume propre aux trahisons. Submergé par la sanglante confusion d'une décolonisation menée en catastrophe, comme tous les fidèles à l'Algérie française, il découvre, effondré, la seule issue honteuse et dérisoire proposée := la valise ou le cercueil -. Paradoxalement surnommé, vingt ans après, le = colonel rouge n, combattant des guerres d'idées de notre époque, Guy Doly-Linaudière garde cette blessure vive et sanglante au fond de ses tripes. A travers ses lettres sans tiédeur ni prudence, avec l'ardeur et la passion d'un jeune soldat confronté aux tueries d'une guerre révolutionnaire qui ne saurait être belle nulle part, il raconte sa vérité. Et n'hésite pas à faire tomber les idoles... Certes, les formulations sont brutes, les affirmations tranchantes. Point d'analyse. Car il s'agit d'un sursaut instinctif en pleine mouvance de l'histoire. Un document à lire sans a priori où l'on découvre toute la furieuse réalité de cette imposture algérienne qui demeure encore cette plaie béante imprimée au fer rouge sur notre Histoire."
"19 mars 1962 : les accords d'Evian ratifient l'indépendance de l'Algérie. Dès lors, ce fut l'hallali pour tous les Français d'Algérie qui avaient eu la naïveté de croire au discours prononcé par de Gaulle à Mostaganem en 1958 :- Vive l'Algérie française !- Trente ans plus tard, en 1992, l'Algérie souffre toujours, déchirée par ses contradictions historiques et culturelles, ses désordres économiques et sociaux, son incompatible aspiration à un ...

Correspondance ; Guerre d'Algérie ; Putsch d'Alger ; Militaire ; Témoignage

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Cote : 965.5 MAL

Philippe Castille s'est confié à Bob Maloubier. le premier a commis un attentat contre Salan, alors général commandant en chef en Algérie en 1957; à sa place le malheuerux commandant Rodier sera tué. Condamné par de Gaulle en 1958 et amnistié en mai 1968. Il tiendra plus tard un rôle important dans l'O.A.S. Photographies noir et blanc d'époque : attentats, hommes politiques.

Algérie ; 1954-1962 ; Attentat ; Salan, Raoul (général) ; OAS ; Photographie ; Homme politique

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