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Le GAGE D’EVE ET D ' ADAM m’a été inspiré au cours d' une des périodes les plus dramatiques de ma vie . Je l’ai conçu d’emblé à La Varènne Saint Hillaire situé prés de Saint Maur a partir du 30 janvier 1960. Le déclic de cette inspiration soudaine s' est déclencha en moi quand j' ai pris connaissance de l' annonce du Concile de Vatican 2 , a orientation œcuménique décidé par Jean XXIII, lequel a soulevé un choc spirituel que j' ai ressenti dans tout mon être , suscitant au tréfonds de ma conscience un grand Espoir de Libération auquel j' aspirais depuis si longtemps , que je désespérais presque de voir venir un jour. Je l' ai ressenti comme une bouffée oxygénée de réanimation Spirituelle et Biologique unifié en puissance harmonieuse de Renouveau Presque aussitôt j' ai été inspiré dans ce même courant a composer tout une série de Poèmes que j' ai intitulé "" JE CROIS DONC JE SUIS ". Dans cette même lancée , j' ai continué pendant plusieurs années à façonner, à compléter, à parfaire ce Poème. Voici les lieux et dates les plus marquantes, ou s' est poursuis en quelque sorte la Gestation du Gage d' Ève et d' Adam : Marseille décembre 1960 , Guyotville (Algérie) 1961, La Roche sur Yon en 1965, Pontoise en 1967 , Cabanes ( Aveyron) Septembre 1969, Saint Ouen l'Aumonne en juin 1971.
Et enfin a ORAN : Algérie Mai a décembre 1973, puis 15-3-1974 , puis Juin 1975 puis enfin en 1976 pour terminer le 30-1-1977 . J’ai alors adressé cette œuvre au Centre de recherche et de documentation Théologique d' ALGER. Son Directeur en a fait une étude approfondie. Il s' agit de Monseigneur Claveri nommé ensuite Évêque d' ORAN. Succédant à ce poste à Monseigneur Henri Téssier Évêque coadjuteur d'Alger puis Archevêque d' Alger.
J’ai été poussé à parachever cette Œuvre par quelques retouches à Arvieu27 juillet 1987, Novembre 1967. Puis à Agen au Foyer de La Salève 6-11-1990, Septembre 1992.
Cette introduction explicative a été faite le mercredi 9 Décembre 1992; gestation de Plus de 32 ans.


Docteur Raymond LEONARD.

Texte portant une dédicace manuscrite adressée à Monseigneur Lacaste.

Son ouvrage nous plonge au cœur d'une Unité spéciale au sein de laquelle
se côtoyaient des anciens et des nouvelles recrues venus des diverses unités
de la 27e DIA au cours de la Guerre d'Algérie dans les années 1958/59.
Nous découvrons les états d'âme d'un sergent qui croise la route d'un
adjudant du service sanitaire, infirmière-chef à l'hôpital militaire de
Tizi-Ouzou. Un grand amour naît entre ces deux êtres ballottés par les
incohérences et les contradictions de cette guerre abominable.
Leur idylle sera de courte durée et leur passion brisée nette par les balles
des rebelles auxquels elle portait secours mais qui lui enlèvent la vie sous
les yeux de celui à qui elle vouait une admiration sans partage.
Le sergent « l'Ecureuil » n'aura de cesse tant qu'il n'aura pas vengé Marie-
Thé son bel amour, en tuant encore et toujours.
C'est aussi l'histoire d'un Commando dans lequel sévit « le Gitan », un
soldat sans scrupule et sans foi ni loi qui se vautre dans l'abjection et le
crime gratuit et sera à l'origine de L'AGONIE DU COMMANDO.
Le général Faure lui-même prononcera la dissolution d'une unité d'élite
qui fut, du temps de son créateur, un des plus beaux fleurons de la
27e Division d'Infanterie Alpine.

[Quatrième de couverture]