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Cote : 845 BIL
"Appelé de la classe 56I/B, Jean BILLARD est affecté au 584e
bataillon de marche du Train, unité opérationnelle du
Sud Algérois en Décembre 1956. Dans les 570 lettres écrites à son épouse, il raconte tout ce qu'il fait et pense au cours des 655 jours passés dans un camp militaire perdu au milieu des monts désertiques des Ouleds Naïl, période ponctuée d'opérations, d'héliportages, d'accrochages, de pertes de copains. Ces lettres qui relatent les événements du jour nous révèlent intégralement la vie et la façon de penser d'un appelé de 20 ans qui découvre une population plongée dans la guerre, les accrochages qui mettent la peur au ventre, la fatigue physique, la lassitude morale mais aussi la solidarité et le soutien entre copains. Témoignage direct et immédiat, ces lettres contribuent au devoir de mémoire vis-à-vis de la guerre d'Algérie."(4e de couverture)
"Appelé de la classe 56I/B, Jean BILLARD est affecté au 584e
bataillon de marche du Train, unité opérationnelle du
Sud Algérois en Décembre 1956. Dans les 570 lettres écrites à son épouse, il raconte tout ce qu'il fait et pense au cours des 655 jours passés dans un camp militaire perdu au milieu des monts désertiques des Ouleds Naïl, période ponctuée d'opérations, d'héliportages, d'accrochages, de pertes de copains. Ces lettres qui relatent les ...
Correspondance ; Guerre d'Algérie ; Appelés ; Témoignage ; Récits personnels
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