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Cote : 845 MOR
"« A l'aube du troisième matin », le premier roman du commandant André MORALES, est un appel appuyé à l'amitié, un hymne immodéré à l'amour.
Les actes de guerre, racontés ici en filigrane, sont la texture d'une trame inhérente au devenir de l'être humain, dont toutes et tous sommes tributaires, et dont nous tenons, pourtant, à assumer l'impeccable réussite.
Comme un apprenti sorcier, le romancier échappe à l'historien pour noircir, ou embellir, le déroulement existentiel de ses héros. La fiction, parfois, n'est-elle pas une réalité qui, en d'autres temps et autres lieux, a pu se vérifier ?
Cette épopée familiale, où l'on voit grandir les enfants et se croiser les destinées, accueille comme un présent le passé des aînés. C'est un chemin tout tracé — semble-t-il — sur les traditions d'un Languedoc, d'une Provence dont l'enchevêtrement géographique s'accentue jusqu'au 5 juillet 1962, journée d'horreur sans nom pour la population européenne de la ville d'Oran.
Cette histoire est une vision d'espoir pour ces femmes et ces hommes qui, chacun à sa façon, reflète et transmet, tout naturellement, une promesse, celle d'aimer la vie." (4ème couverture)
"« A l'aube du troisième matin », le premier roman du commandant André MORALES, est un appel appuyé à l'amitié, un hymne immodéré à l'amour.
Les actes de guerre, racontés ici en filigrane, sont la texture d'une trame inhérente au devenir de l'être humain, dont toutes et tous sommes tributaires, et dont nous tenons, pourtant, à assumer l'impeccable réussite.
Comme un apprenti sorcier, le romancier échappe à l'historien pour noircir, ou embellir, ...
Roman historique ; Histoire familiale ; Oran, département ; Massacre du 5 juillet 1962 ; Exode ; Pieds-noirs ; Archives Lacaste
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