Documents  Warnier, A. (Dr) | enregistrements trouvés : 5

Taillart p. 327
"2588. WARNIER (Dr). L'Algérie cl les victimes de la guerre. Alger, Duclaux, 1871, 8', 126 p., N A 53238.
Brochure écrite au mois de décembre 1870. Les victimes de la guerre, ce sont les habitants des départements envahis qui ont été sinistrés. L'Algérie leur offre un asile. Elle pourrait en recevoir t65.000. Les départements et les communes de France non atteints par l'invasion ont le devoir d'aider
cette transplantation. En Algérie, on peut tout préparer pour qu'ils soient immédiatement installés."

Taillart :
"258G. "WARNIER (Dr). L'Algérie devant l'empereur. Paris, Challamel, 1865, 8°, x1-328 P., N A_52087. *
Recueil d'articles publiés dans L'Opinion nationale à propos du sénatus-consulte de i865. W. fait remarquer au sujet du royaume arabe que les Arabes vont moins nombreux que les Kabyles ou Berbères : il fait des Berbères une, étude assez approfondie; il les oppose (lux Arabes ù tous les points de vue; il montre combien ils sont moins loin 'de nous. Il passe aux colons; il fuit justice des accusations qu'un a toujours portées contre eux; notamment d'exploiter les indigènes et de ne pas travailler; il expose leurs droits et leurs voeux. Il examine la question (les forêts, celle de l'usure, du crédit. Du rôle de l'arinée exagérément étendu; des bureaux arabe, dont la besogne est immense. ll faut aller progressivement vers l'assimilation. La Providence a tout arrangé en Algérie pour aboutir à la colonisation."

Taillart, p. 326, 2584
"Recueil d'articles publiés dans l'Opinion nationale sur les questions algériennes importantes qui doivent être prochainement débattues devant le Sénat. Il caractérise la crise qe traverse l'Algérie; il examine et réfute les théories des adversaires de la colonisation, et les objections des "anticolonisateurs"; il étudie avec attention la civilisation des indigènes, répond aux accusations portées contre les colons et l'administrations par une apologie. il recherche quel sera le code qui régira la nouvelle propriété, dégage le sens de la capitulation d'Alger de 1830 et de celle qui suivirent."