Documents  Saint Arnaud, (Maréchal de) | enregistrements trouvés : 5

cf. de Taillart:
1970. Saint-Arnaud (Jacques Leroy de), maréchal de France. Lettres du Maréchal de Saint-Arnaud (1832-1854) publiées par M. Ad. Leroy de Saint-Arnaud, frère du maréchal. Paris, Lévy, 1855, 2 vol. in-8°, XXVI-572 et 606 p., N A 52477. Troisième édition précédée d'une notice par M. Sainte-Beuve de l'Académie française. Paris, Lévy, 1864, 2 vol. in-12, 454 et 424 p., N A 52478.
C'est vraiment l'homme lui-même qui se révèle dans cette copieuse correspondance, tendre avec les siens, prévenant et aimant, dur pour lui-même et s'offrant, en vue de conquérir grades, décorations, Moire, la vie la plus rude que sa complexion délicate supportait mal. Homme do volonté et d'énergie, d'intelligence perspicace. Ambitieux, il l'était; chacune de ses lettres contient un passage sur ses vues d'avenir; toutefois il poursuivait son rêve non par des démarches, mais par le sacrifice constamment offert dans les combats. C'est toute la guerre d'Afrique qui
revit dans cette correspondance : les combats héroïques, les erreurs, les incohérences, les grands chefs, les campagnes pénibles, les initiatives, les créations, avec la vision des ensembles quand il accède aux hauts grades. Certaines lettres (comme la prise de Constantine) sont des morceaux de belle littérature.

cf. de Taillart:
1970. Saint-Arnaud (Jacques Leroy de), maréchal de France. Lettres du Maréchal de Saint-Arnaud (1832-1854) publiées par M. Ad. Leroy de Saint-Arnaud, frère du maréchal. Paris, Lévy, 1855, 2 vol. in-8°, XXVI-572 et 606 p., N A 52477. Troisième édition précédée d'une notice par M. Sainte-Beuve de l'Académie française. Paris, Lévy, 1864, 2 vol. in-12, 454 et 424 p., N A 52478.
C'est vraiment l'homme lui-même qui se révèle dans cette copieuse correspondance, tendre avec les siens, prévenant et aimant, dur pour lui-même et s'offrant, en vue de conquérir grades, décorations, Moire, la vie la plus rude que sa complexion délicate supportait mal. Homme do volonté et d'énergie, d'intelligence perspicace. Ambitieux, il l'était; chacune de ses lettres contient un passage sur ses vues d'avenir; toutefois il poursuivait son rêve non par des démarches, mais par le sacrifice constamment offert dans les combats. C'est toute la guerre d'Afrique qui
revit dans cette correspondance : les combats héroïques, les erreurs, les incohérences, les grands chefs, les campagnes pénibles, les initiatives, les créations, avec la vision des ensembles quand il accède aux hauts grades. Certaines lettres (comme la prise de Constantine) sont des morceaux de belle littérature.

cf. de Taillart:
1970. Saint-Arnaud (Jacques Leroy de), maréchal de France. Lettres du Maréchal de Saint-Arnaud (1832-1854) publiées par M. Ad. Leroy de Saint-Arnaud, frère du maréchal. Paris, Lévy, 1855, 2 vol. in-8°, XXVI-572 et 606 p., N A 52477. Troisième édition précédée d'une notice par M. Sainte-Beuve de l'Académie française. Paris, Lévy, 1864, 2 vol. in-12, 454 et 424 p., N A 52478.
C'est vraiment l'homme lui-même qui se révèle dans cette copieuse correspondance, tendre avec les siens, prévenant et aimant, dur pour lui-même et s'offrant, en vue de conquérir grades, décorations, Moire, la vie la plus rude que sa complexion délicate supportait mal. Homme do volonté et d'énergie, d'intelligence perspicace. Ambitieux, il l'était; chacune de ses lettres contient un passage sur ses vues d'avenir; toutefois il poursuivait son rêve non par des démarches, mais par le sacrifice constamment offert dans les combats. C'est toute la guerre d'Afrique qui
revit dans cette correspondance : les combats héroïques, les erreurs, les incohérences, les grands chefs, les campagnes pénibles, les initiatives, les créations, avec la vision des ensembles quand il accède aux hauts grades. Certaines lettres (comme la prise de Constantine) sont des morceaux de belle littérature.

cf. de Taillart:
1970. Saint-Arnaud (Jacques Leroy de), maréchal de France. Lettres du Maréchal de Saint-Arnaud (1832-1854) publiées par M. Ad. Leroy de Saint-Arnaud, frère du maréchal. Paris, Lévy, 1855, 2 vol. in-8°, XXVI-572 et 606 p., N A 52477. Troisième édition précédée d'une notice par M. Sainte-Beuve de l'Académie française. Paris, Lévy, 1864, 2 vol. in-12, 454 et 424 p., N A 52478.
C'est vraiment l'homme lui-même qui se révèle dans cette copieuse correspondance, tendre avec les siens, prévenant et aimant, dur pour lui-même et s'offrant, en vue de conquérir grades, décorations, Moire, la vie la plus rude que sa complexion délicate supportait mal. Homme do volonté et d'énergie, d'intelligence perspicace. Ambitieux, il l'était; chacune de ses lettres contient un passage sur ses vues d'avenir; toutefois il poursuivait son rêve non par des démarches, mais par le sacrifice constamment offert dans les combats. C'est toute la guerre d'Afrique qui
revit dans cette correspondance : les combats héroïques, les erreurs, les incohérences, les grands chefs, les campagnes pénibles, les initiatives, les créations, avec la vision des ensembles quand il accède aux hauts grades. Certaines lettres (comme la prise de Constantine) sont des morceaux de belle littérature.