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Documents  Top, Bernard | enregistrements trouvés : 2

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Bernard Top est né en 1937 à Marcq-en-Baroeul. Retraité de l'Éducation Nationale, il préside le comité Nord de la Fédération Sportive et Culturelle de France et se consacre à l'écriture. Son roman Le ...


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Cote : A01184

"Ce livre ne traite pas de faits de guerre.
Il raconte des moments historiques d'avant 1954 qui entraîneront la révolte des gueux et la présence d'appelés du contingent sur ce territoire, ainsi que la montée en puissance de la guerre jusqu'à l'indépendance. C'est aussi de souffrance dont il est question, exprimée par tous
les protagonistes de cette tragédie. Car c'est bien la misère qui
a servi de terreau à la révolte.
Ce livre est donc un cri de souffrance des acteurs engagés ou passifs, pour que disparaissent enfin bon nombre de clichés qui occultent cette période de notre histoire. C'est un cri d'espoir pour que nous réussissions aujourd'hui cette communauté que nous n'avons pas su réaliser hier. À tant de récits de guerre, il manquait celui-ci."
"Ce livre ne traite pas de faits de guerre.
Il raconte des moments historiques d'avant 1954 qui entraîneront la révolte des gueux et la présence d'appelés du contingent sur ce territoire, ainsi que la montée en puissance de la guerre jusqu'à l'indépendance. C'est aussi de souffrance dont il est question, exprimée par tous
les protagonistes de cette tragédie. Car c'est bien la misère qui
a servi de terreau à la révolte.
Ce livre est donc un cri ...

Histoire ; Algérie ; Guerre d'Algérie ; Témoignage

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Cote : 845 TOP

"Une patrouille comme tant d'autres. Tâche d'observation, mais aussi
de présence. Michel Debré n'avait-il pas dit :"la France est présente en Algérie, elle y restera." Nous étions la France, c'est pour cette raison que nous roulions dans une région ignorée des Français... !»
Quarante ans après, un ancien appelé se souvient avec émotion et lucidité d'une guerre inutile qui a divisé et aujourd'hui encore divise les Français. Bernard Top raconte sans ambages, mais sans amertume, animé par un souci de rétablissement de la vérité des faits, après que tant d'écrits sur cette période les ont travestis par ignorance du terrain ou parti pris idéologique.
On revit avec Quand finira-t-elle ? les heures harassantes passées à surveiller la fameuse « ligne Morice » le long de la frontière tunisienne, rempart absurde où, le soir venu, la mort surgissait au détour d'un chemin, d'un tertre, emportant rebelles et appelés.
Au nom de tous ceux-là, parce qu'une cohabitation des deux communautés était malgré tout réelle à l'époque, comme elle est possible aujourd'hui, ce récit témoigne de la dignité des jeunes appelés qui furent mêlés à une guerre inachevée et dépossédés depuis d'une part de leur destin."
"Une patrouille comme tant d'autres. Tâche d'observation, mais aussi
de présence. Michel Debré n'avait-il pas dit :"la France est présente en Algérie, elle y restera." Nous étions la France, c'est pour cette raison que nous roulions dans une région ignorée des Français... !»
Quarante ans après, un ancien appelé se souvient avec émotion et lucidité d'une guerre inutile qui a divisé et aujourd'hui encore divise les Français. Bernard Top raconte ...

Guerre d'Algérie ; Appelés ; Ligne Morice ; Tunisie ; Mémoire

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