Documents  Panarabisme | enregistrements trouvés : 9

"La collection du Service historique de l'armée de Terre, la Guerre d'Algérie par les documents est avant tout une contribution à l'étude scientifique du conflit algérien rendue possible par l'ouverture des archives françaises en 1992. Tout en rappelant que l'on n'écrit pas l'histoire avec une seule source, qu'il faudra procéder de manière comparative quant aux témoignages et aux documents des deux côtés de la Méditerranée, ce second volume a pour ambition de présenter les richesses des services historiques de Vincennes et de la Gendarmerie, et ce pour la partie la plus méconnue de la guerre d'Algérie. Ce chaînon manquant commence aux lendemains de la loi d'amnistie du 9 mars 1946 faisant suite à l'insurrection du Constantinois en mai juin 1945. Les documents reproduits le plus souvent dans leur intégralité décrivent ensuite les occasions manquées et les prémices de la guerre d'indépendance. Enfin, la présentation de l'essentiel des opérations en novembre-décembre 1954 montre comment le commandement, officieusement, perçoit qu'une nouvelle guerre commence dans l'Aurès, s'étend aux confins algéro-tunisiens, et menace d'embraser les Kabylie.
Pouvoir se confronter avec le document brut, tel est le sens de cette restitution de la mémoire collective. Pour ce faire, nous avons le plus souvent fait le choix des séries, notamment les synthèses mensuelles des services de renseignement, en respectant l'anonymat des personnes. Chaque document est accompagné d'une courte présentation afin de le replacer dans son environnement historique en évoquant l'arrièreplan de la décolonisation, de la guerre froide, du panarabisme...
Comme le tome premier, le présent volume est également conçu comme un instrument de travail : chronologie comparative, index nominum des principaux responsables algériens et français, tant civils que militaires, bibliographie critique, cahier de photographies commentées...
Cet ouvrage s'adresse aux chercheurs français et algériens, à tous ceux qui ont vécu dans leur chair ce douloureux conflit, mais aussi aux jeunes générations qui réclament le droit de savoir."

"La collection du Service historique de l'armée de Terre, la Guerre d'Algérie par les documents est avant tout une contribution à l'étude scientifique du conflit algérien rendue possible par l'ouverture des archives françaises en 1992. Tout en rappelant que l'on n'écrit pas l'histoire avec une seule source, qu'il faudra procéder de manière comparative quant aux témoignages et aux documents des deux côtés de la Méditerranée, ce second volume a pour ambition de présenter les richesses des services historiques de Vincennes et de la Gendarmerie, et ce pour la partie la plus méconnue de la guerre d'Algérie. Ce chaînon manquant commence aux lendemains de la loi d'amnistie du 9 mars 1946 faisant suite à l'insurrection du Constantinois en mai juin 1945. Les documents reproduits le plus souvent dans leur intégralité décrivent ensuite les occasions manquées et les prémices de la guerre d'indépendance. Enfin, la présentation de l'essentiel des opérations en novembre-décembre 1954 montre comment le commandement, officieusement, perçoit qu'une nouvelle guerre commence dans l'Aurès, s'étend aux confins algéro-tunisiens, et menace d'embraser les Kabylie.
Pouvoir se confronter avec le document brut, tel est le sens de cette restitution de la mémoire collective. Pour ce faire, nous avons le plus souvent fait le choix des séries, notamment les synthèses mensuelles des services de renseignement, en respectant l'anonymat des personnes. Chaque document est accompagné d'une courte présentation afin de le replacer dans son environnement historique en évoquant l'arrièreplan de la décolonisation, de la guerre froide, du panarabisme...
Comme le tome premier, le présent volume est également conçu comme un instrument de travail : chronologie comparative, index nominum des principaux responsables algériens et français, tant civils que militaires, bibliographie critique, cahier de photographies commentées...
Cet ouvrage s'adresse aux chercheurs français et algériens, à tous ceux qui ont vécu dans leur chair ce douloureux conflit, mais aussi aux jeunes générations qui réclament le droit de savoir."