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Documents  Peyrefitte, Alain | enregistrements trouvés : 4

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Cote : 923 PEY

"«La surprise coupe le souffle. Rien de vieilli ni de rouillé dans ces propos, qui gardent une fraîcheur intacte, une vivacité palpitante. Trente ans après, ils forcent l'attention comme s'ils parlaient d'aujourd'hui.»
Patrick Jarreau, Le Monde (21.10.94)
«Tous les historiens se féliciteront de disposer de tels matériaux, dont l'authenticité n'a pas besoin d'être prouvée.»
Jean Lacouture, Le Nouvel Observateur (8.12.94)
«Ministre en même temps que lui, je l'ai vu prendre des notes pendant les Conseils des ministres avec beaucoup de diligence. Nous savions tous que le Général l'y avait autorisé, alors que la tradition l'interdit... Des propos privés très utiles et très éclairants. Des informations d'une qualité et d'un intérêt inestimables.»
Pierre Messmer, Le Journal du Dimanche (26.11.95)
«Plus qu'un livre: une date dans l'histoire contemporaine. L'habileté suprême du peintre est de s'effacer devant celui qu'il fait revivre en un portrait saisissant. Peyrefitte est à de Gaulle ce que Joinville est à Saint Louis. C'est du grand art, qui paraît simple.»
Jean d'Ormesson, Le Figaro Magazine (30.12.94)
«Ce qui rend ce livre si vivant, ce n'est pas que de Gaulle ait toujours raison, il en est fort loin: c'est qu'il ne dit rien qu'il ne pense lui-même. De Gaulle est toujours original... La résurrection d'une voix, d'un individu, d'un tempérament, qu'à chaque seconde nous voyons exister et entendons s'épancher, réagir, réfléchir.»
Jean-François Revel, Commentaire (Printemps 95)" (4ème couverture)
"«La surprise coupe le souffle. Rien de vieilli ni de rouillé dans ces propos, qui gardent une fraîcheur intacte, une vivacité palpitante. Trente ans après, ils forcent l'attention comme s'ils parlaient d'aujourd'hui.»
Patrick Jarreau, Le Monde (21.10.94)
«Tous les historiens se féliciteront de disposer de tels matériaux, dont l'authenticité n'a pas besoin d'être prouvée.»
Jean Lacouture, Le Nouvel Observateur (8.12.94)
«Ministre en même temps ...

Gaulle, Charles de (1890-1970)

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Cote : 923 PEY

"Député gaulliste à 33 ans et titulaire de plusieurs grands ministères, porte-parole du général de Gaulle pendant quelque quatre
ans, Alain Peyrefitte a eu avec celui-ci, entre 1959 et 1969, trois centaines d'entretiens en tête à tête. Sans compter autant de Conseils des ministres, des dizaines de Conseils restreints, des rencontres avec des chefs d'État ou de gouvernement étrangers.
Il a estimé qu'il était de son devoir de prendre note au jour -le jour des propos tenus par le fondateur de .1a Ve République, pour les soustraire à l'oubli, en respectant non seulement leur teneur, mais aussi leur style et le ton des dialogues. Il s'était interdit jusqu'à présent de les publier.
La transcription fidèle de ces notes produit un effet saisissant. Comme si le temps s'effaçait, le lecteur voit surgir, dans. toute l'intensité de sa présence, un homme habité par une idée plus grande que lui.
Nous entrons dans l'intimité du Général. Nous l'écoutons penser tout haut. C'est un de Gaulle en liberté, qui va beaucoup plus loin que dans ses textes officiels, et s'exprime avec une familiarité et .une franchise surprenantes.
Par la richesse et la diversité des révélations qu'il apporte, par le portrait intellectuel et moral qui s'en dégage, ce livre constitue un témoignage capital sur le dernier héros de notre Histoire."
"Député gaulliste à 33 ans et titulaire de plusieurs grands ministères, porte-parole du général de Gaulle pendant quelque quatre
ans, Alain Peyrefitte a eu avec celui-ci, entre 1959 et 1969, trois centaines d'entretiens en tête à tête. Sans compter autant de Conseils des ministres, des dizaines de Conseils restreints, des rencontres avec des chefs d'État ou de gouvernement étrangers.
Il a estimé qu'il était de son devoir de prendre note au jour ...

Gaulle, Charles de (1890-1970)

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Cote : 845 PEY

"« Une solution généreuse du problème algérien », « une paix juste en Algérie »: telles sont les formules que, dans ses professions de foi pour les élections législatives du 23 et du 30 novembre 1458, Alain Peyrefitte s'était contenté d'inscrire à son programme. Alors que l'on embouchait la trompe, tantôt de « l'Algérie française » ou de « l'intégration », tantôt d'une « paix négociée », il ne se sentait pas en mesure d'indiquer de solution. A quoi bon couler dans le moule d'un slogan une réalité pour longtemps encore en fusion?
Aujourd'hui, la situation a mûri. Des tabous ont été levés. Des mythes se sont dégonflés. Le peuple français admet l'idée de l'indépendance de l'Algérie, comme il a admis celle de nos anciennes colonies. II souhaite qu'on s'entende avec l'adversaire. II est de plus en plus pressé de voir la fin. Cette fin paraît s'approcher à grands pas, mais quelle figure aura-t-elle?
Une paix négociée ?» Elle reste un idéal. Mais tant que la dispersion des Européens à travers tout le territoire, conséquence du fait colonial, transforme leur personne et leurs biens en autant d'otages virtuels entre !es mains d'un gouvernement où le F. L. N. exercerait une influence prépondérante, la France se trouve potentiellement dans une situation de faiblesse qui rend la négociation difficile. Comment faire respecter la justice ? Comment fixer des garanties qui ne soient pas remises rapidement en cause ? Le F. L. N. n'a guère de raisons pour le moment de renoncer à des conceptions totalitaires auxquelles il paraît tenir autant qu'à l'indépendance elle-même.
L'intégration ? Bien qu'elle soit théoriquement « généreuse », elle n'est plus une solution, si elle l'a jamais été. Elle ne mettrait pas fin à la guerre.
L'association ? Ce serait une « solution juste et généreuse », mais apporterait-elle la paix? Pour s'associer, il faut être deux. Ceux d'en face ont déclaré qu'ils repoussaient cette formule, taxée de néo-colonialisme. Alors, à moins d'une conversion miraculeuse, qu'il faut toujours souhaiter...
Le départ? C'est une solution injuste pour 2 ou 3 millions d'Européens et de Musulmans fidèles à la France, qui, faute de garanties efficaces, n'auraient le choix qu'entre l'exil et des risques de brimades ou même de massacres; solution peu « généreuse », au demeurant, pour les autres Musulmans, qui seraient laissés aux prises avec de terribles problèmes.
La partition ? Elle ne serait une « solution généreuse » et n'apporterait une « paix juste » qu'à certaines conditions très strictes, qui sont ici examinées. Cette « solution de désespoir », au fond, n'est pas si désespérante. Mais avant d'en arriver là, on devrait faire mieux..."
"« Une solution généreuse du problème algérien », « une paix juste en Algérie »: telles sont les formules que, dans ses professions de foi pour les élections législatives du 23 et du 30 novembre 1458, Alain Peyrefitte s'était contenté d'inscrire à son programme. Alors que l'on embouchait la trompe, tantôt de « l'Algérie française » ou de « l'intégration », tantôt d'une « paix négociée », il ne se sentait pas en mesure d'indiquer de solution. A ...

Accords d'Evian ; Guerre d'Algérie ; Paix ; Intégration ; Association ; FLN

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