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Documents  Rappelés | enregistrements trouvés : 21

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Cote : 845 BRI

"Le rappel sous les drapeaux, au printemps 1956, des hommes des classes 1952 et 1953, en vertu de l'application de la loi du 31 mars 1920 et en exécution du décret du 12 avril 1954, a mis en effervescence, et durant plusieurs mois, la France métropolitaine. On pouvait constater de nombreuses manifestations dans les grandes villes.
Cette agitation fut renforcée par l'action des opposants à cette ultime guerre coloniale qui organisèrent durant de longs mois une énorme pagaille notamment sur le réseau SNCF. De plus, le milieu pacifiste de notre pays, qui réunissait un grand nombre d'intellectuels et d'artistes, comme Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Claude Roy, Jean-Jacques Servan-Schreiber, Gérard Philippe et Yves Montand montra son opposition à tous les conflits de cette époque.
Dans cet ouvrage, Alexandre Briano décrit, à l'aide de documents et de journaux de cette année 1956, auxquels il a ajouté sa propre expérience, la vie d'un petit groupe de soldats parmi les cent mille rappelés. Des hommes, entre vingt-trois et vingt-cinq ans, ont dû quitter leur foyer et leur activité professionnelle pour une durée d'environ six mois.
Cette mobilisation partielle, pour renforcer les troupes déjà sur place, avait-elle été bien structurée ? Avait-elle été trop rapide, sans moyens adéquats et sans logistique appropriée ? L'auteur le pense, car à travers ces Chroniques d'un rappelé vous découvrirez quelques anomalies concernant l'hygiène et le ravitaillement, sans oublier l'équipement en général et l'armement en particulier.
Si les noms des personnages sont fictifs, pour des raisons évidentes, les événements racontés, n'en déplaise à certains, sont indiscutablement exacts et vérifiables." (4ème couverture)
"Le rappel sous les drapeaux, au printemps 1956, des hommes des classes 1952 et 1953, en vertu de l'application de la loi du 31 mars 1920 et en exécution du décret du 12 avril 1954, a mis en effervescence, et durant plusieurs mois, la France métropolitaine. On pouvait constater de nombreuses manifestations dans les grandes villes.
Cette agitation fut renforcée par l'action des opposants à cette ultime guerre coloniale qui organisèrent durant de ...

Guerre d'Algérie ; Rappelés ; Récits personnels ; Homme militaire

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Lettres du Sahara (1960-1962) | 2008

Monographie

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Cote : A00960

"Rien d'exceptionnel, la vie ordinaire,
quotidienne, de cette guerre tel est
le récit du lieutenant Jean-Jacques Servan-Schreiber, « rappelé » pendant six mois dans l'armée d'Afrique.
Le Commandant Marcus, petit homme d'une grande épopée; l'adjudant Gambert, militant d'extrême-droite; le « père » Peisson, bureaucrate de l'E.D.F.; le Saint-Cyrien Henry; le capitaine Julienne, « extrémiste dangereux »; le brillant Robert d'Espanieul et son chef austère, l'un des premiers gaullistes de l'Armée, le colonel Galland; l'inquiétant « Ange Noir », le doux ingénieur Bodard... sont une poignée de Français qui ont vécu, comme leurs 700.000 camarades — rappelés, appelés, maintenus et d'active — le drame qui se déroule en Afrique. Ce récit est leur histoire, rapportée par l'un d'entre eux.
Une histoire qui ne se termine pas, un drame où la France entière, par son armée, par sa jeunesse, par ses ressources, est maintenant engagée et joue son avenir, chaque jour.
A la suite du récit, l'auteur publie les lettres que ses camarades, les personnages du récit eux-mêmes, lui ont envoyées. Elles soulignent l'importance du premier grand témoignage vécu sur cette guerre étrange." (4ème couv.)
"Rien d'exceptionnel, la vie ordinaire,
quotidienne, de cette guerre tel est
le récit du lieutenant Jean-Jacques Servan-Schreiber, « rappelé » pendant six mois dans l'armée d'Afrique.
Le Commandant Marcus, petit homme d'une grande épopée; l'adjudant Gambert, militant d'extrême-droite; le « père » Peisson, bureaucrate de l'E.D.F.; le Saint-Cyrien Henry; le capitaine Julienne, « extrémiste dangereux »; le brillant Robert d'Espanieul et son chef ...

Témoignage ; Rappelés ; Guerre d'Algérie ; Récits personnels

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Cote : 840 MAU

"Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements », en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d'autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d'une journée d'anniversaire en hiver, d'un cadeau qui tient dans la poche, pour que, quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.
Des hommes, magnifique et bouleversant lamento collectif, n'est pas un roman sur la guerre d'Algérie, c'est un livre où parlent tous ceux qui ne trouveront jamais la paix. C'est un livre sur la guerre qui continue après la guerre. Aussi violente, sanglante, et injuste, elle est désormais intérieure, comme une hémorragie interne dont on ne guérit pas. Même si Laurent Mauvignier raconte, avec unc force et une précision incroyables, les derniers combats entre l'armée française et le FLN, le traumatisme qu'il décrit est le même que celui dont ont souffert, à en devenir fous, à en mourir, les rescapés du Chemin des Dames ou les vétérans du Vietnam. C'est le septième livre de Laurent Mauvignier. Le plus accompli, le plus torrentiel, le plus étourdissant, celui qui les rassemble tous.
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur .
Laurent Mauvignier sait donner corps à l'absence, au blanc, comme à ce qui se tient tapi dans l'ombre, ce fatum menaçant, pareil à ces rebelles introuvables village après village, et ne laissant d'autre trace que l'image d'un cadavre sauvagement torturé avec cette inscription « soldats français, vos familles pensent à vous, retournez chez vous. » Mais il sait tout autant nous plonger au coeur des choses, nous faire partager le quotidien d'une troupe, « le vacarme des appels crachés des haut-parleurs, les ricanements, jérémiades, engueulades, et ces affreux lits superposés où grouillent des punaises, des puces, des morpions aussi », et nous donner à voir une horreur vécue, tout au long de saynètes incarnant très concrètement les inextricables noeuds d'un combat où tous sont à la fois victimes et bourreaux, innocents et coupables, pris dans un engrenage que rien ne peut arrêter, jusqu'à l'acmé que nous ne dévoilerons pas et qui plane sur l'ensemble du roman comme un point d'orgue, un trou noir où est né Feu-de-Bois et où est mort Bernard.
Minh Tran Huy, Magazine littéraire." (4ème couverture)
"Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements », en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d'autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d'une journée d'anniversaire en hiver, d'un cadeau qui tient dans la poche, pour que, quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.
Des hommes, magnifique et b...

Roman historique ; Guerre d'Algérie ; Rappelés

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Cote : 845 CHR

"Le 6 février 1956, le président du Conseil Guy Mollet, venu en visite à Alger, cède devant l'émeute : â la place du général Catroux, il nomme Robert Lacoste ministre résidant en Algérie. Ce dernier se donne comme priorité le rétablissement de la situation militaire. Des renforts sont indispensables. En avril,
Guy Mollet procède au rappel des disponibles libérés
dix-huit mois auparavant.
Les rappelés de 1956 doivent quitter une épouse, un foyer, une fiancée, un métier, une entreprise, des études. lls manifestent leur mécontentement par des troubles violents...
C'est ce qu'ont retenu surtout les ouvrages qui parlent d'eux. 11 est essentiel de connaître aussi l'accueil que les rappelés ont reçu, l'encadrement qui leur a été donné, les missions qui leur ont été confiées, les conditions et les surprises de leur vie quotidienne, leur découverte de la guerre, du danger et de la fraternité des armes.
Ce Journal se veut un simple témoignage, pour l'histoire."
"Le 6 février 1956, le président du Conseil Guy Mollet, venu en visite à Alger, cède devant l'émeute : â la place du général Catroux, il nomme Robert Lacoste ministre résidant en Algérie. Ce dernier se donne comme priorité le rétablissement de la situation militaire. Des renforts sont indispensables. En avril,
Guy Mollet procède au rappel des disponibles libérés
dix-huit mois auparavant.
Les rappelés de 1956 doivent quitter une épouse, un foyer, ...

Rappelés ; Guerre d'Algérie ; Vie quotidienne ; Récits personnels

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