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Documents  Brunetti, Maurice | enregistrements trouvés : 3

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Cote : 845 BRU

"Note de l'éditeur :
Je dois au lecteur un aveu. Lorsque j'ai eu pris connaissance du manuscrit qui préfigurait cet ouvrage, j'ai éprouvé une grande perplexité : ce qui était ici narré, ce vagabondage sautillant et imprévu à l'écart des sentiers battus, était-il vrai, faux ou procédait-il d'un habile compromis entre réalité et fiction ? Incapable de le déterminer, je m'en suis ouvert en confiance à l'auteur. Il m'a répondu que, considéré le cumul des ans, il ne se trouvait pas, lui-même, en mesure de me répondre. Il m'a toutefois indiqué qu'il avait été commissaire de police avant de devenir romancier. Il avait donc pu, en raison de ses activités successives, privilégier soit la vérité, soit la fiction, soit encore mêler les genres en donnant ou pas, à l'un ou à l'autre, une place prépondérante.
Après une telle réponse, ma perplexité ne pouvait que grandir. L'idée m'est alors venue de relire "l'EMILE" de ROUSSEAU.
Selon son auteur — j'allais dire son créateur — l'EMILE est par excellence l'homme vrai que la civilisation n'a pas gâté, celui qui parle et agit selon "la vérité de sa nature."
L'auteur du présent ouvrage ne serait-il pas l'EMILE contemporain ? Je le lui ai demandé sans en obtenir de réponse.
Il demeure que "DES PÉPITES dans MON MARIGOT" est le reflet d'une vie atypique, toujours rebondissante où, sous le pittoresque des situations, transparaît l'humanité des
personnages."
"Note de l'éditeur :
Je dois au lecteur un aveu. Lorsque j'ai eu pris connaissance du manuscrit qui préfigurait cet ouvrage, j'ai éprouvé une grande perplexité : ce qui était ici narré, ce vagabondage sautillant et imprévu à l'écart des sentiers battus, était-il vrai, faux ou procédait-il d'un habile compromis entre réalité et fiction ? Incapable de le déterminer, je m'en suis ouvert en confiance à l'auteur. Il m'a répondu que, considéré le ...

Récits personnels ; Police ; Oran, commune

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Cote : 840 BRU

"Juillet 1962, la guerre d'Algérie s'achève. Amédée-Dieudonné Fabreguettes , 30 ans , Vigneron et Plâtrier , s'arrache à sa terre natale. Il gagne Cantepie, le lointain berceau de sa famille, un village provençal du Luberon sur les bords de la Durance. Surprise ! Il y retrouve, pieusement conservée, l'empreinte de Léon son bisaïeul.
114 ans plus tôt, un jour d'octobre 1848, c'est de ce même village que partit Léon Fabreguettes , à la surprise générale , pour tenter l'aventure coloniale en Algérie. Du drame qui motiva son départ, Léon emportera le secret.
La Vigne de Léon retrace ces deux destins qui se chevauchent et se confondent dans l'esprit embrumé de Bertille Espigoulier , la centenaire et truculente doyenne de Cantepie. C'est elle, pourtant, qui en renouera un à un les fils distendus, jusqu'à recomposer la plus belle des histoires, celle d'un grand Amour par-delà les temps."
"Juillet 1962, la guerre d'Algérie s'achève. Amédée-Dieudonné Fabreguettes , 30 ans , Vigneron et Plâtrier , s'arrache à sa terre natale. Il gagne Cantepie, le lointain berceau de sa famille, un village provençal du Luberon sur les bords de la Durance. Surprise ! Il y retrouve, pieusement conservée, l'empreinte de Léon son bisaïeul.
114 ans plus tôt, un jour d'octobre 1848, c'est de ce même village que partit Léon Fabreguettes , à la surprise ...

Roman historique ; Oran, département ; Colonies agricoles ; Viticulture

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Cote : 845 BRU

"Taoughazout. Un village oublié du sud de l'Oranie. Au Moyen Âge pourtant le grand historien arabe Ibn Khaldoun s'y était retiré durant quatre ans pour rédiger ses Prolégomènes. Pendant l'Algérie française ce fut un douar rattaché au bourg colonial de Frenda où Maurice Brunetti exerça en tant que commissaire de police. Plume déliée aussi, qui devait plus tard se faire connaître à travers un roman policier à succès (Traque au turf, Fleuve noir, 1984), il a maintenant ressorti ses carnets du bled algérien des années 50. Et il en a extrait ces Voleurs de soleil, fresque populaire et picaresque de la vie quotidienne, observation à la loupe de la société musulmane des djebels, avec ses querelles internes - les fameuses chikayas - et ses rapports apaisés mais ambigus avec les autorités françaises. Un petit monde que va balayer le séisme de la guerre d'indépendance (1954-1962).
Les « voleurs de soleil » ce sont ceux, pour Maurice Brunetti, qui, avec les premières bombes nationalistes de la Toussaint 1954, ont détruit cet univers franco-musulman, « à la fois inégalitaire et heureux »; l'auteur l'a connu de l'intérieur et il a su le ressusciter avec minutie. Humour et sympathie tissent l'histoire vraie d'un douar oranais à l'heure où tout va basculer mais où personne ne se doute encore de rien."
"Taoughazout. Un village oublié du sud de l'Oranie. Au Moyen Âge pourtant le grand historien arabe Ibn Khaldoun s'y était retiré durant quatre ans pour rédiger ses Prolégomènes. Pendant l'Algérie française ce fut un douar rattaché au bourg colonial de Frenda où Maurice Brunetti exerça en tant que commissaire de police. Plume déliée aussi, qui devait plus tard se faire connaître à travers un roman policier à succès (Traque au turf, Fleuve noir, ...

Roman ; Taoughazout ; Nationalisme -- Algérie -- 1945-1970 ; Algérie française

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