UV
Cote : 845 DEL
"« Des hommes ont lutté et souffert pour la France. Ils ont droit à la vérité, à la justice, à la charité. » Tel est le sens d'un témoignage qui est capital.
L'auteur est arrivé à Oran en juillet 1961, comme professeur dans une institution ; il a tenu son journal à partir de cette date jusqu'au 18 août 1962, et aucune retouche n'a été apportée au texte initial. Peu de documents, dans leur sincérité, sont aussi émouvants et dramatiques que le récit des événements survenus au cours de ces treize mois.
« Choses vues » et observées dans leur mouvement journalier, tantôt atroces et révoltantes, tantôt héroïques, d'une vie intense ; période vécue d'abord avec un sentiment d'espoir fortement enraciné et souvent renaissant, auquel succède une angoisse croissante.
Écoutons la voix d'un prêtre qui répand sur cette tragédie la lumière de la miséricorde et de la charité chrétienne.
Écoutons l'appel qui termine la très belle préface du Bachaga Boualam : « En lisant ce livre, les Français verront de quelle faon furent déformés et décriés les événements les plus simples de la vie quotidienne, et ils sentiront enfin que le moment de la réconciliation est venu. Le livre du Père de Laper est une de ces oeuvres qui rapprochent de Dieu, parce qu'elles crient la vérité.
« Et seule la vérité expulse le mensonge et ses crimes »."
Extrait de la préface du Bachaga Boualam.
"« Des hommes ont lutté et souffert pour la France. Ils ont droit à la vérité, à la justice, à la charité. » Tel est le sens d'un témoignage qui est capital.
L'auteur est arrivé à Oran en juillet 1961, comme professeur dans une institution ; il a tenu son journal à partir de cette date jusqu'au 18 août 1962, et aucune retouche n'a été apportée au texte initial. Peu de documents, dans leur sincérité, sont aussi émouvants et dramatiques que le ...
Récit ; Oran, commune ; 1962 ; Catholicisme ; Journal
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