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Documents  Olié, Jean (général) | enregistrements trouvés : 2

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Cote : 926 AND-b

Dossier composé:
- Eloge funéraire de Général Olié paru en 1973 (extrait du Képi Blanc)
- Biographie produite par son fils Paul Andolenko.

Biographie ; Officier

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Cote : 846 DEN

François Dénoyer, sorti de l'Ecole Spéciale Militaire Inter-Armes de Coëtquidan comme sous-lieutenant en juin 1956, partit pour l'Algérie en décembre de la même année. Ce texte est tiré des lettres écrites par lui à ses parents dans le feu de l'action. Ces lettres frappent par la simplicité du ton comme par le bien-fondé du jugement. On y trouve au jour le jour la relation des mouvements de son unité. Le récit
est fréquemment coupé de réflexions sur la situation et de notes critiques. Avide de savoir, malgré les fatigues incessantes qu'il endure, François Dénoyer trouve le temps de lire journaux et livres, d'interroger et de faire des commentaires sur les principales questions intéressant un militaire qui combat pour l'avenir de la France.
D'abord affecté dans l'Oranais, il baroude pendant 18 mois sur les hauts plateaux, dans les parages de la frontière marocaine. Gravement blessé dans un combat avec un fort parti de fellagas sur un djebel, il est évacué par hélicaptère, opéré, soigné ; il abrège sa convalescence et retourne en Algérie, cette fois dans le Constantinois et aux confins algéro-tunisiens. Volontaire pour un stage d'observateur aérien, il reste admis dans l'aviation légère de l'Armée de terre et trouve la mort au cours d'une reconnaissance, le 26 décembre 1960, à 26 ans. Le Général Olié, qui compta François Dénoyer parmi ses élèves à l'Ecole de Coëtquidan, exalte Ia mémoire du jeune officier dans une courte préface et salue "une vocation où l'idéal le plus noble n'a d'égal que le désintéressement absolu qu'il exige à chaque i instant".
François Dénoyer, sorti de l'Ecole Spéciale Militaire Inter-Armes de Coëtquidan comme sous-lieutenant en juin 1956, partit pour l'Algérie en décembre de la même année. Ce texte est tiré des lettres écrites par lui à ses parents dans le feu de l'action. Ces lettres frappent par la simplicité du ton comme par le bien-fondé du jugement. On y trouve au jour le jour la relation des mouvements de son unité. Le récit
est fréquemment coupé de ...

Récits personnels ; Correspondance ; Guerre d'Algérie ; Officier

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