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Documents  Trinquier, Roger | enregistrements trouvés : 8

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Roger Trinquier - plus connu sous le nom de Colonel Trinquier - a commencé par enseigner l'histoire aux enfants des Hautes-Alpes. D'une famille paysanne, il se voua à l'enseignement et devint ...


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Le temps perdu Trinquier, Roger | A. Michel 1978

Monographie

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Cote : A00954

"Fils de petit exploitant agricole du Dauphiné, Roger Trinquier est né à La Beaume (Hautes-Alpes) en 1908. Après l'École Normale d'Aix-en-Provence (1925-1928), il est admis comme E.O.R. à Saint-Maixent puis en 1932 nommé sous-lieutenant d'active.
De 1934 à 1936, il commande à Chi Ma le poste de police sur la frontière du Tonkin et de la Chine. 1937-38 : il est sur la ligne Maginot à Sarralbe, derrière la Sarre.1938-39 : il commande une des deux compagnies de la garde de l'ambassade de France à Pékin.
De 1940 à 1945, Roger Trinquier est à Shanghai, en qualité d'adjoint au colonel commandant le bataillon mixte d'infanterie coloniale de Chine.
Après la guerre, il dirige le 4e commando du groupement parachutiste du commandant Ponchardier, puis forme en France, avec le commandant Dupuis, le premier bataillon de parachutistes coloniaux : les Bérets rouges.
De 1948 à 1949, il commande dans le Sud-Vietnam le 2e bataillon colonial de commandos parachutistes. Rentré en France, il commande à Fréjus le centre d'instruction des troupes qui partent pour l'Indochine, puis l'École de saut à Vannes.
De 1952 à la fin de la guerre d'Indochine, il est chef du Service Action, d'abord pour le Tonkin, ensuite pour toute l'Indochine, chargé en particulier de créer des maquis sur les arrières Viet-minh.
Roger Trinquier passe la période 1956-1960 en Algérie, où il est d'abord l'adjoint du général Massu pendant la bataille d'Alger, avant de prendre en mars 1958 le commandement du 3e R.P.I.M.A. en remplacement du colonel Bigeard. Le 13 mai 1958, il occupe avec son régiment le Gouvernement général à Alger, et crée avec le général Massu un Comité de Salut public qui demande le retour au pouvoir du général de Gaulle. Enfin, en 1959-60, il commande le secteur d'El Milia dans le Constantinois.
Appelé en 1961 par le président Moïse Tschombé pàur prendre le commandement de l'armée et de la police katangaises, il rentre en France en avril au moment du putsch des généraux à Alger.
Depuis, le colonel Roger Trinquier, commandeur de la Légion d'honneur, titulaire de 14 citations dont 10 à l'ordre de l'armée, a créé l'Association pour la réforme des structures de l'État, et fondé l'Association nationale des parachutistes. Il a publié d'autre part plusieurs ouvrages, dont La Guerre moderne, Le Coup d'État du 13 mai, L'État nouveau, Guerre-subversion-révolution.
Ses Mémoires nous offrent un témoignage fondamental sur l'Indochine et la Chine des années 30-45, ainsi qu'une vision très personnelle et passionnante des guerres d'Indochine et d'Algérie. Sans chercher à émouvoir, en dépit parfois du caractère dramatique des événements qu'il raconte, il nous montre avec vigueur ce que fut jour après jour le temps perdu - sa vie, peut-être, ou bien l'échec de toute une politique de la France." (4ème couv.)
"Fils de petit exploitant agricole du Dauphiné, Roger Trinquier est né à La Beaume (Hautes-Alpes) en 1908. Après l'École Normale d'Aix-en-Provence (1925-1928), il est admis comme E.O.R. à Saint-Maixent puis en 1932 nommé sous-lieutenant d'active.
De 1934 à 1936, il commande à Chi Ma le poste de police sur la frontière du Tonkin et de la Chine. 1937-38 : il est sur la ligne Maginot à Sarralbe, derrière la Sarre.1938-39 : il commande une des deux ...

Guerre ; Témoignage ; Infanterie ; Paras

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Cote : 324 TRI

2 dédicaces de l'auteur

France ; 1962 ; Elections ; Gaullisme ; Politique ; Algérie

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Cote : 358 TRI

"LA GUERRE MODERNE " n'est plus " la guerre conventionnelle" telle que nous l'avons encore connue de 1939 à 1945. Elle n'est pas non plus °la guerre nucléaire", qui pose d'autres problèmes. "La guerre moderne" c'est la guerre révolutionnaire, telle qu'elle a été et reste à l'ordre du jour dans le Sud-Est asiatique, telle qu'elle s'est développée, sous des formes diverses, en Afrique, telle qu'elle peut s'étendre demain à l'Amérique du Sud ou à l'Europe.
Les théoriciens communistes (chinois, russes ou tchèques), qui l'ont inventée, en connaissent avec exactitude l'analyse, les règles et les possibilités.
Il ne s'est encore trouvé aucun occidental pour en faire une contre-analyse, et pour codifier les principes qui peuvent permettre aux armées occidentales de résister victorieusement aux entreprises subversives de l'ennemi.
Le livre de Roger Trinquier a aujourd'hui la même importance historique qu'autrefois les études de Guderian et de Charles de Gaulle sur l'emploi des chars.
"LA GUERRE MODERNE " n'est plus " la guerre conventionnelle" telle que nous l'avons encore connue de 1939 à 1945. Elle n'est pas non plus °la guerre nucléaire", qui pose d'autres problèmes. "La guerre moderne" c'est la guerre révolutionnaire, telle qu'elle a été et reste à l'ordre du jour dans le Sud-Est asiatique, telle qu'elle s'est développée, sous des formes diverses, en Afrique, telle qu'elle peut s'étendre demain à l'Amérique du Sud ou à ...

Histoire ; Guerre ; Modernisation ; Révolution ; Indochine ; Algérie ; Terrorisme

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Cote : 358 TRI

"La guerre moderne, c'est celle que les guerres totales du xxe siècle puis la guerre froide avaient estompée mais qui revient en force dans les différentes crises dans lesquelles sont engagées les forces armées occidentales. C'est en fait la guerre de toujours, celle qui se conduit au sein des sociétés et des populations, face à un adversaire de type guérilla qui cherche à contourner la puissance classique des armées conventionnelles.
Fort de son expérience opérationnelle en Indochine et en Algérie, Roger Trinquier ƒ plus connu sous l'appellation de Colonel Trinquier ƒ la théorise en 1961 dans son oeuvre majeure La Guerre moderne. Certes les circonstances et les objectifs politiques sont aujourd'hui bien différents, mais les tactiques demeurent et les principes majeurs énoncés par Trinquier sont tellement adaptés aux engagements actuels que son ouvrage, largement traduit, fait aujourd'hui référence dans de nombreuses armées occidentales.
Il était temps que la France, par cette réédition trop longtemps attendue, se réapproprie un auteur dont la pensée s'avère d'une brûlante actualité.

Né en 1908, Roger TRINQUIER sort sous-lieutenant en 1933 de l'école des officiers d'active de Saint-Maixent. Il participe à la deuxième guerre mondiale et à la guerre d'Indochine. En 1956, il rejoint l'Algérie et participe à la bataille d'Alger en tant qu'adjoint du général Massu. Il combat à la tête de son régiment dans le Sud et en Kabilie puis prend part aux opérations du Plan Challe en Oranie avant de prendre le commandement du secteur d'El Milia dans le Constantinois. Rappelé en métropole en 1960, il décède en 2000 de façon accidentelle," (4ème couv.)
"La guerre moderne, c'est celle que les guerres totales du xxe siècle puis la guerre froide avaient estompée mais qui revient en force dans les différentes crises dans lesquelles sont engagées les forces armées occidentales. C'est en fait la guerre de toujours, celle qui se conduit au sein des sociétés et des populations, face à un adversaire de type guérilla qui cherche à contourner la puissance classique des armées conventionnelles.
Fort de ...

Art et sciences militaires ; Guerre d'Algérie ; Pacification

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La guerre Trinquier, Roger | A. Michel 1980

Monographie

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Cote : 358 TRI

"On ne prépare sérieusement une guerre que contre un adversaire bien défini. Aujourd'hui, notre adversaire n'est plus l'Allemagne, ni l'Angleterre, ni l'Italie, ni l'Espagne, nations voisines qui au cours de l'Histoire ont été souvent nos ennemies, ni l'Amérique qui reste la base solide de nos alliances et de notre sécurité.
Mais il existe un pays dont nous connaissons la politique expansionniste et les ambitions : c'est la Russie soviétique. Si elle n'est pas un danger pour la paix, toutes les armées du monde peuvent être supprimées. Mais quel homme d'État prendrait un tel risque?
Chacun sait, en effet, que nos armes classiques et atomiques sont en permanence dirigées contre elle, afin de maintenir derrière le rideau de fer son immense armée. Or, dans le domaine des armes atomiques, grâce à l'Amérique nous sommes dans un état voisin de l'équilibre. Mais leur puissance de destruction est telle que leur utilisation par les deux camps marquerait la fin d'un monde et d'une civilisation. Elles se neutralisent les unes les autres; elles protègent seulement contre les armes atomiques adverses; elles ne seront pas utilisées.
En ce qui concerne l'armée classique, celle dont dispose la Russie soviétique surpasse celle de l'Alliance atlantique. Elle peut se mettre en marche en direction de l'Ouest et submerger l'Europe sans rencontrer une opposition sérieuse.
Pour assurer notre sécurité, nous devons donc utiliser d'autres armes, et combler ainsi les lacunes de notre système de défense.
Il se trouve que la situation intérieure de l'Empire soviétique, la multitude des races et des religions de ses peuples, le régime d'oppression qu'il impose aux nations qu'il a vassalisées, le rendent particulièrement vulnérable aux armes de la subversion. Ce sont elles que le colonel Trinquier, un de nos meilleurs spécialistes de la guerre révolutionnaire, nous propose de mettre en oeuvre, retournant ainsi contre l'impérialisme soviétique des armes qu'il utilise seul, et de façon systématique, depuis soixante ans."
La Guerre
V. Les organisations civiles 100
Le district, 101. - Le secteur urbain, 101. - Service de renseignement et sécurité, 103. - Ravitaillement, 105. -La collecte des fonds, 106. - L'administration, 107. -Police, 107. - Les secteurs, 108. - La zone-refuge, 108. -La zone des campagnes habitées, 109. - Les villages des campagnes habitées, 110. - La zone, 110. - La région, 111.
VI. L'action militaire 112
Offensive des compagnies de maquis, 112. - Attaque des postes isolés, 113. - Libération des frontières, 114. - L'embuscade, 116.
VII. Le terrorisme urbain 122
Le secteur, 123. - Le district, 125. - La zone, 125. -Mise en place des états-majors et des moyens, 126. -Déclenchement du terrorisme urbain, 129.
VIII. L'offensive générale 136
Création d'un gouvernement provisoire. Les difficultés rencontrées, 136. - Création de grandes unités, 139.
L'offensive générale, 141. - Mise en place du nouveau pouvoir, 144.
Deuxième partie
LA DÉFENSIVE
IX. Le parti communiste et les premières mesures . . 149
Le parti communiste, 149. - Les premières mesures, 154.
X. La lutte contre le terrorisme 165
Le gangstérisme, 165. - La protection des juges, 166. -Lutte contre le terrorisme arme de guerre, 167. -L'action psychologique et la torture, 173.
XI. Offensive contre les régions de maquis 177
Les problèmes posés à l'armée par la guérilla, 179. -La population, 181. - Le terrain, 182. - Pacification des villes situées dans les régions de maquis, 189. - La rafle, 191. - Le poste d'observation, 192.
XII. Organisation de la population des villes 193
Découpage de la ville, 194. - Etablissement des fiches spéciales de contrôle 197. - Numérotages des fiches, 199. - Certificat de recensement, 201. - Constitution d'un fichier, 202. - Utilisation du fichier, 203. - Contrôle du ravitaillement, 204. - Mise en place d'un service de renseignement, 207. - Service de renseignement en surface, 207. - Renseignement action, 209. - Pourrissement de l'adversaire, 210. - Manipulation des populations, 212. - Mise en place des chefs d'action politique, 213.
XIII. Pacification de la zone des campagnes habitées . . 217
Les erreurs habituellement commises dans la lutte contre la guérilla, 217. - Les postes militaires, 220. -Commandos de chasse. Patrouilles, 221. - Embuscades isolées, 222. - Les opérations dites « de grande envergure », 223.
XIV. Conduite des opérations de guerre 225
Emploi des troupes de secteur, 225. - Opérations dans la zone des campagnes habitées, 226. - Idée de manoeuvre, 228. - Réunion des moyens, 230. - Conduite de l'opération, 232. - Occupation du terrain, 232. - La pacification, 233.
XV. Opérations contre les zones-refuges 239
Idée de manoeuvre, 240. - Les moyens, 241. - Conduite de l'opération, 242. - L'opération, 243.
XVI. Possibilités d'une aide étrangère 251
Les attaques menées par l'action psychologique, 251. -L'aide extérieure, 254.
XVII. Porter la guerre chez l'adversaire 260
XVIII. La Russie soviétique et la subversion 273
"On ne prépare sérieusement une guerre que contre un adversaire bien défini. Aujourd'hui, notre adversaire n'est plus l'Allemagne, ni l'Angleterre, ni l'Italie, ni l'Espagne, nations voisines qui au cours de l'Histoire ont été souvent nos ennemies, ni l'Amérique qui reste la base solide de nos alliances et de notre sécurité.
Mais il existe un pays dont nous connaissons la politique expansionniste et les ambitions : c'est la Russie soviétique. Si ...

Guerre ; Histoire des relations internationales

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Cote : 358 TRI

"Depuis le dernier conflit mondial, une nouvelle forme de guerre a vu le jour : la guerre révolutionnaire La guerre révolutionnaire ne vise pas la conquête de territoires par une armée agissant à visage découvert ; elle cherche, par un ensemble complexe d'actions de nature très diverse (politiques, sociales, économiques, psychologiques, armées) à conquérir le pouvoir dans un pays et à le conserver par tous les moyens ; les objectifs de guerre seront atteints de surcroît.
C'est à l'examen minutieux des moyens mis en oeuvre par la Subversion qu'est consacré d'abord l'ouvrage du colonel Trinquier. Du recrutement des premiers cadres à fa mise en place du nouveau pouvoir, toutes les étapes de fa conquête des bases et de la soumission inconditionnelle des populations par la terreur sont ainsi décrites point par point. Dans une deuxième partie, le colonel Trinquier analyse avec la même précision les méthodes et les moyens de la lutte contre la Subversion, jusqu'à son anéantissement. Et c'est là l'aspect le plus neuf de ce livre car si la guerre subversive dans sa période offensive ne manque pas de théoriciens, sa période défensive - ou de reconquête par le pouvoir établi - n'avait jamais encore été étudiée systématiquement. En conclusion le colonel Trinquier montre que seule une armée véritablement nationale - du type suisse - peut interdire dire l'action subversive.
Ce livre d'une rigueur implacable vient à son heure. Mieux qu'aucun autre, il permet de comprendre ce qui s'est passé, ce qui se passe ou risque de se produire en Afrique, en Asie, en Amérique latine et ailleurs."
"Depuis le dernier conflit mondial, une nouvelle forme de guerre a vu le jour : la guerre révolutionnaire La guerre révolutionnaire ne vise pas la conquête de territoires par une armée agissant à visage découvert ; elle cherche, par un ensemble complexe d'actions de nature très diverse (politiques, sociales, économiques, psychologiques, armées) à conquérir le pouvoir dans un pays et à le conserver par tous les moyens ; les objectifs de guerre ...

Guerre ; Modernisation ; Communisme ; Opération militaire

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Cote : 324 TRI

Gaullisme ; 1962

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