m

Documents  Gandy, Alain | enregistrements trouvés : 5

O
     

-A +A

P Q

UV

Naissance : 1924
Ancien élève de l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion Croix-de-Provence, 1942). - Militaire de carrière (1942-1980)
Alain Gandy, auteur de deux romans dans la collection ...


Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
UV


Cote : 357 GAN

"Quand éclatent les troubles de la Toussaint 1954 en Algérie, la Légion étrangère est encore. en grande majorité, stationnée en Indochine. Les régiments vont rentrer un à un pour ètre immédiatement engagés contre les foyers de rébellion allumés au Maghreb, dans le Constantinois comme en Tunisie et au Maroc. Deux longues années de maturation et de réorganisation sont nécessaires à l'Armée française pour être enfin d'une efficacité qui fera pencher la balance. Les régiments de Légion d'Infanterie, de Parachutistes, de Cavalerie, les compagnies sahariennes prennent alors une part importante aux grandes opérations qui vont disloquer la force militaire rebelle. De la Bataille d'Alger de 1957 aux combats acharnés de 1958 aux barrages des frontières, des grandes manoeuvres du plan Challe de 1959 et 1960 aux nettoyages des derniers réduits de l'hiver 1961, la Légion a montré sa détermination à détruire les adversaires de cc son » Algérie. Que la politique ait finalement décidé d'une autre solution n'empêche pas que la victoire militaire a été réelle.
Appuyé par un choix de photos très fouillé, le texte d'Alain Gandy témoigne avec émotion de l'espoir et de la vérité des légionnaires ; deux mille d'entre eux ont payé de leur vie cette fidélité viscérale à leur province maternelle." (4ème couv.)
"Quand éclatent les troubles de la Toussaint 1954 en Algérie, la Légion étrangère est encore. en grande majorité, stationnée en Indochine. Les régiments vont rentrer un à un pour ètre immédiatement engagés contre les foyers de rébellion allumés au Maghreb, dans le Constantinois comme en Tunisie et au Maroc. Deux longues années de maturation et de réorganisation sont nécessaires à l'Armée française pour être enfin d'une efficacité qui fera ...

Légion étrangère ; Guerre d'Algérie ; Bataille d'Alger ; Challe, Maurice (général) ; Putsch des généraux

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

Salan Gandy, Alain | 1990

Monographie

UV


Cote : 926 GAN

"C'est la première biographie du général Salan (1899-1984) qui, de la guerre de 14-18 à celle d'Algérie, et de sa condamnation à la réclusion perpétuelle, a vécu toutes les guerres et les déchirements de la France du XXe siècle. Engagé volontaire à dix-huit ans, général à quarante-cinq ans, interlocuteur privilégié de Hô Chi Minh en 1946, « maréchal » préféré de De Lattre, commandant en chef en Indochine, commandant en chef en Algérie, figure centrale des événements fondateurs de la Ve République, officier le plus décoré de l'armée française, il devient, à soixante-deux ans, le porte-drapeau de la rébellion de l'Algérie française, entre dans la clandestinité, resurgit le 20 avril 1962, menottes aux mains, et sera le héros marmoréen d'un des grands procès de l'Histoire. Ses admirateurs l'appellent le « maréchal oublié » et toute l'armée le surnommait le « mandarin ». Son nom, aujourd'hui, évoque surtout l'Algérie, le coup de bazooka qui le manqua en 1957, l'insurrection du 13 mai 1958, son appel à de Gaulle lancé du balcon du Forum, le putsch d'avril 1961, l'OAS dont il fut le chef, et enfin le procès dramatique au terme duquel ce général d'armée échappa à la peine de mort, à la grande fureur du général de Gaulle. Mais Salan avait vécu cinquante-neuf ans avant de devenir la figure centrale du drame algérien. En lisant le récit de sa vie, on découvre cet homme énigmatique, marqué par ses quatorze ans de séjour en Indochine et dont la rébellion après quarante-trois ans de légalisme républicain surprendra tout le monde. On s'aperçoit que, dès le grade de capitaine, Salan paraît indispensable à ses supérieurs et remplit des missions qui vont bien au-delà de ses fonctions officielles. Son souci du renseignement, du secret, sa prudence, son habileté diplomatique, sa lucidité, alliés à des dons tactiques et stratégiques, manifestes dès 1944, et aussi sa neutralité politique font qu'on finit toujours par venir ou revenir à lui. En 1957, certains cénacles le considéraient curieusement comme un obstacle à l'Algérie française. Ainsi tentèrent-ils de supprimer celui qui allait paradoxalement en devenir le porte-drapeau. C'est dire la complexité et le parcours extraordinaire du général Salan."
"C'est la première biographie du général Salan (1899-1984) qui, de la guerre de 14-18 à celle d'Algérie, et de sa condamnation à la réclusion perpétuelle, a vécu toutes les guerres et les déchirements de la France du XXe siècle. Engagé volontaire à dix-huit ans, général à quarante-cinq ans, interlocuteur privilégié de Hô Chi Minh en 1946, « maréchal » préféré de De Lattre, commandant en chef en Indochine, commandant en chef en Algérie, figure ...

Salan, Raoul (général) ; Biographie

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y


Cote : 357 GAN

"Quand éclatent les troubles de la Toussaint 1954 en Algérie, la Légion étrangère est encore. en grande majorité, stationnée en Indochine. Les régiments vont rentrer un à un pour ètre immédiatement engagés contre les foyers de rébellion allumés au Maghreb, dans le Constantinois comme en Tunisie et au Maroc. Deux longues années de maturation et de réorganisation sont nécessaires à l'Armée française pour être enfin d'une efficacité qui fera pencher la balance. Les régiments de Légion d'Infanterie, de Parachutistes, de Cavalerie, les compagnies sahariennes prennent alors une part importante aux grandes opérations qui vont disloquer la force militaire rebelle. De la Bataille d'Alger de 1957 aux combats acharnés de 1958 aux barrages des frontières, des grandes manoeuvres du plan Challe de 1959 et 1960 aux nettoyages des derniers réduits de l'hiver 1961, la Légion a montré sa détermination à détruire les adversaires de cc son » Algérie. Que la politique ait finalement décidé d'une autre solution n'empêche pas que la victoire militaire a été réelle.
Appuyé par un choix de photos très fouillé, le texte d'Alain Gandy témoigne avec émotion de l'espoir et de la vérité des légionnaires ; deux mille d'entre eux ont payé de leur vie cette fidélité viscérale à leur province maternelle." (4ème couv.)
"Quand éclatent les troubles de la Toussaint 1954 en Algérie, la Légion étrangère est encore. en grande majorité, stationnée en Indochine. Les régiments vont rentrer un à un pour ètre immédiatement engagés contre les foyers de rébellion allumés au Maghreb, dans le Constantinois comme en Tunisie et au Maroc. Deux longues années de maturation et de réorganisation sont nécessaires à l'Armée française pour être enfin d'une efficacité qui fera ...

Légion étrangère ; Guerre d'Algérie ; Bataille d'Alger ; Challe, Maurice (général) ; Putsch des généraux

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

Le sang des colons Gandy, Alain | 1988

Monographie

UV


Cote : 840 GAN

1895 : les combats de la campagne de Madagascar ont lié, pour la vie, Eugène Bernard, le cavalier, et Paul Salon, le légionnaire. Le premier est rapatrié en France. Paul Salon, encouragé par le général Gallieni, choisit de fonder une famille et de se tailler un domaine à sa mesure, « Grenadière », dans ce nouveau bastion de l'Empire:
Leurs descendants se retrouveront sur la terre malgache. Trois générations de Bernard et de Salon vont se succéder pour travailler, et parfois donner leur vie, afin de faire de leur domaine de la Sambirana un exemple de réussite.
Colons français du bout du monde, ils n'hésiteront pas à venir défendre la mère patrie, dans les tranchées de Champagne en 19171918, sur la Somme en 1940, en Italie et en Provence en 1944, en Indochine en 1947.
Epaulés par des femmes courageuses et passionnées, ils verseront leur sang pour défendre leur plantation-patrimoine à Madagascar contre les Britanniques et leurs Zoulous en 1941 ou contre les rebelles en 1947:
Seule à maintenir l'héritage, veuve du dernier des Bernard, abandonnée par ses enfants, Jeanne acceptera, en 1975, tous les sacrifices pour maintenir à « Grenadière » le souvenir du Sang des Colons.
Alain Gandy, qui a vécu sur la « Grande Ile », a voulu retracer à travers cette saga de deux familles, le souvenir de ces hommes et de ces femmes qui ont tout sacrifié à l'Empire et qui ne se sont jamais résignés à oublier sa grandeur.
1895 : les combats de la campagne de Madagascar ont lié, pour la vie, Eugène Bernard, le cavalier, et Paul Salon, le légionnaire. Le premier est rapatrié en France. Paul Salon, encouragé par le général Gallieni, choisit de fonder une famille et de se tailler un domaine à sa mesure, « Grenadière », dans ce nouveau bastion de l'Empire:
Leurs descendants se retrouveront sur la terre malgache. Trois générations de Bernard et de Salon vont se ...

Littérature ; Roman ; Madagascar ; Saga

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

Spahis Gandy, Alain | 1987

Monographie

Z