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Documents  Faucher, Jean-André | enregistrements trouvés : 3

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Cote : 965.5 FAU

"<. Cet ouvrage constitue actuellement la plus riche, 1a plus complète des références. " (Sud-Ouest, 2 mai 1960.)
" Un sacré travail, effectué avec la conscience d'un historien et le sens du reportage d'un journaliste professionnel... "
Les Dernières Nouvelles d'Alsace, 18 avril 1960. " Dans ces mille pages, Jean-André Faucher a fait oeuvre à la fois d'historien et de journaliste... Oeuvre importante, cela va sans dire, et il ne fait pas de doute que ses livres seront fréquemment consultés par tous ceux qui seront appelés à écrire sur la Commune... "
(Charles Rivet, L'Echo du Centre, 25 avril 1960.) o< ,.. formidable travail, un vrai labeur de bénédictin... L'ouvrage a sa place d'ores et déjà sur les rayons de toutes les bibliothèques du monde... Ce n'est pas un coup d'essai de la part de Jean-André Faucher, c'est un coup de maître... " (Térence, Juvénal, 25 mars 1960.)
"Faucher vient de nous offrir là un grand livre. " (Les Nouveaux Jours.)
" Jean-André Faucher, historien, se montre aussi reporter scrupuleux. "
(Juillac, Le Télégramme de Brest, 23 mars 1960.) " Un véritable hommage à la Commune de Paris et un travail historique d'importance. " (Guy Vinatrel, Le Montagnard, 23 mars 1960.)
" Un travail historique de premier ordre... L'ampleur de cet ouvrage ne nuit pas à son intérêt, l'auteur usant avec bonheur du style " reportage comme si vous y étiez ". Car c'est une ,sotte légende que l'histoire, pour être une science, doive être ennuyeuse. Jean-André Faucher la dément avec aisance. Il sera difficile désormais de se passer de son livre."
(Les Lettres Mensuelles, mai 1960.) , Une oeuvre monumentale... "
(Lectures Françaises, avril-mai 1960.) " Nous placerons le récit vivant et passionné
de Jean-André Faucher à côté des classiques de ta Commune... "
(Roger Giron, France-Soir, 2 avril 1960.)
" Ecrite dans un style direct, franc et vivant, cette " Véritable Histoire de la Commune " réunit deux qualités devenues rares, une lecture agréable et une vérité historique. "
(Guy MARGOT-Duclor, Regain, avril 1960.)"
"<. Cet ouvrage constitue actuellement la plus riche, 1a plus complète des références. " (Sud-Ouest, 2 mai 1960.)
" Un sacré travail, effectué avec la conscience d'un historien et le sens du reportage d'un journaliste professionnel... "
Les Dernières Nouvelles d'Alsace, 18 avril 1960. " Dans ces mille pages, Jean-André Faucher a fait oeuvre à la fois d'historien et de journaliste... Oeuvre importante, cela va sans dire, et il ne fait pas de ...

Semaine des Barricades - 1960

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Cote : 965.5 FAU

Né en 1921. dans la banlieue parisienne, Jean-André Faucher débuta à l'âge de seize ans dans le métier de journaliste et il fut tout d'abord le modeste collaborateur d'un quotidien du soir.
A vingt ans cependant, il avait déjà occupé une certaine place dans la poésie moderne et de grands aînés comme Jean Giraudoux et Paul Valéry s'entendaient alors pour prédire qu'il serait un des premiers poètes de sa génération.
Son (festin devait être tout autre puisqu'il allait très vite se consacrer exclusivement au journalisme. Polémiste, reporter, critique. historien, il dirige successivement dans plusieurs journaux de Paris les rubriques les plus diverses. Secrétaire général du Syndicat de la
Presse Privée et (les Bulletins d'Information, il est ainsi devenu un de ces hommes aux lourdes confidences dont l'hebdomadaire L'Express affirmait un jour qu'ils constituent un empire dans la République.
Depuis longtemps. Jean-André Faucher est un spécialiste des questions algériennes. Depuis vingt ans il est l'ami des principaux leaders musulmans. C'est en compagnie de plusieurs d'entre eux qu'il eut l'occasion de faire dans les
diverses régions de l'Algérie des reportages qui eurent à Paris un certain retentissement. I1 fut ainsi un (les premiers, après le déclenchement de l'insurrection, ii publier des révélations
assez sensationnelles sur la rébellion algérienne.
Depuis le jour tragique de la Toussaint 1954. Jean-André Faucher a beaucoup écrit sur le drame algérien. Au fur et à mesure que le conflit prenait de l'extension, il voyait plusieurs (le ses
amis rejoindre le camp du F.L.N. Il était de ceux qui avaient vu couver le drame et qui n'avaient cessé, depuis la libération, de prédire que le réveil de l'Islant se traduirait en Algérie par le déferlement d'une terrible vague de nationa-
lisme.
D'avoir ainsi longtemps crié dans le désert pourrait être aujourd'hui pour cet homme qui sait aussi à l'occasion être un pamphlétaire, le prétexte à un réquisitoire. Mais il serait sans doute trop facile de dénoncer aujourd'hui des responsabilités flagrantes.
Ce n'est point là le but de l'Algérie
rebelle...
Ce livre s'adresse sans exception a tous ceux qui veulent se faire une opinion sérieuse sur le drame algérien. Quelles que soient leurs références politiques, quelles que soient leur idée préconçue sur ce conflit, ils doivent
avant tout savoir ce qu'est la rébellion algérienne, d'où elle vient, où elle va.
comment elle est née, qui sont ses chefs.
qui sont ses alliés, quels sont ses moyens
et ses procédés. Une telle étude qui tient
a la fois du grand reportage et du travail d'historien se devait d'être objective.
A aucun moment, l'auteur ne s'est autorisé à exprimer des considérations personnelles sur un drame qu'il vit intensément car il fut précisément de ceux qui révèrent longtemps d'une Algérie
fraternelle.
Ce livre s'adresse à ceux qui veulent poursuivre inlassablement la guerre d'Algérie comme à ceux qui préconisent la négociation avec les rebelles car les tins et les autres ont le devoir de s'in-
former préalablement et de savoir très exactement ce qu'est le F.L.N. et ce qu'il
représente. Dans la guerre comme dans
la négociation, la connaissance de l'adversaire est une des conditions premières du succès.
Né en 1921. dans la banlieue parisienne, Jean-André Faucher débuta à l'âge de seize ans dans le métier de journaliste et il fut tout d'abord le modeste collaborateur d'un quotidien du soir.
A vingt ans cependant, il avait déjà occupé une certaine place dans la poésie moderne et de grands aînés comme Jean Giraudoux et Paul Valéry s'entendaient alors pour prédire qu'il serait un des premiers poètes de sa génération.
Son (festin devait être tout ...

Guerre d'Algérie ; Nationalisme ; Algérie française

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