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Documents  Poésie arabe | enregistrements trouvés : 27

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Cote : A00271

"«Éboulez-vous, montagnes, Qui des miens m'avez séparé.
Laissez à mes yeux la voie libre, Vers le pays de mon père bien-aimé,
Je m'acharne en vain à l'ouvrage: Mon coeur là-bas est prisonnier. »
Craignant que la beauté des chants berbères ne disparaisse avec la voix de sa mère, Jean Amrouche a entrepris de consigner tous les chants qui ont bercé son enfance.
En les exprimant en français, il en a fait un trésor de la poésie universelle.
«Voici les vers, voici tes mots, voici les musiques et les chants. Les chants enfin rendus, redits tels qu'ils chantaient en vous.» Mouloud Mammeri

Né en 1906 à Ighil Ali, en Kabylie, Jean Amrouche a passé sa jeunesse à Tunis. Poète, il fut aussi professeur de lettres, éditeur et journaliste. Militant de l'indépendance algérienne, il est mort en 1962.
Textes réunis, transcrits et présentés par Tassadit Yacine " (4ème couv.)
"«Éboulez-vous, montagnes, Qui des miens m'avez séparé.
Laissez à mes yeux la voie libre, Vers le pays de mon père bien-aimé,
Je m'acharne en vain à l'ouvrage: Mon coeur là-bas est prisonnier. »
Craignant que la beauté des chants berbères ne disparaisse avec la voix de sa mère, Jean Amrouche a entrepris de consigner tous les chants qui ont bercé son enfance.
En les exprimant en français, il en a fait un trésor de la poésie universelle.
«Voici ...

Poésie ; Berbère ; Poésie arabe ; Amrouche, Jean (1906-1962)

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Cote : 840 DEL

"Il était une fois Dj'ha notre frère, Dj'ha le mesquin. Son destin exceptionnel ne cessera de nous intriguer. En effet, de tous les personnages issus de l'imaginaire collectif dans les pays que borde et brode la Méditerranée, dès les temps préislamiques, Dj'ha s'avère le plus populaire, le plus actuel, un des rares que la tradition orale ait voulu sauver : bien qu'il ne soit qu'un humble parmi les humbles, son étoile éclaire et rassemble le monde musulman en sa pluralité. Captivés par ses mille et une aventures, ses fidèles sont réduits par sa naïveté subtile, sa courageuse gaieté -ne dit-on pas qu'il rit plus haut que sa misère? -, son humour embué de tendresse, celui de l'Arabité profonde. L'insolite originalité de Dj'ha et son esprit d'enfance lui ont valu d'être récemment admis par l'Unesco auprès de ses égaux, à sa juste place dans la constellation où brillent d'un éclat unique Alice, Pinocchio, Robinson, le Petit Poucet
Or, à la différence des sultans cousus d'or, Dj'ha et ses avatars, que relate une oeuvre orale foisonnante, demeurent injustement méconnus dans l'univers occidental. Il est temps de les découvrir et de découvrir grâce à eux l'Orient véritable, avant qu'il ne soit dénaturé par les médias." (4ème couverture)
"Il était une fois Dj'ha notre frère, Dj'ha le mesquin. Son destin exceptionnel ne cessera de nous intriguer. En effet, de tous les personnages issus de l'imaginaire collectif dans les pays que borde et brode la Méditerranée, dès les temps préislamiques, Dj'ha s'avère le plus populaire, le plus actuel, un des rares que la tradition orale ait voulu sauver : bien qu'il ne soit qu'un humble parmi les humbles, son étoile éclaire et rassemble le ...

Contes ; Poésie arabe

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