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Documents  Bergot, Erwan | enregistrements trouvés : 24

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Erwan Bergot, quarante-cinq ans, Breton d'origine, Bordelais d'adoption, est un ancien officer d'active. Officier de la Légion d'honneur à titre militaire, il a participé aux campagnes d'Indochine et ...


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- n° 486
Cote : 301 HIS

Légion étrangère ; Histoire

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Bigeard Bergot, Erwan | France Loisirs 1988

Monographie

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Cote : 926 BER

Biographie ; Militaire

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Cote : 356 BER

Octobre 1952. Deux divisions viêt-minh - douze mille hommes - déferlent sur le pays Thaï. Face à elles, le 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux, largués en enfants perdus sur Tu Lê, petit village de brousse. Pour Saïgon, pour l'état-major, ces quatre cents paras sont rayés du nombre des vivants. Sept jours plus tard, après une odyssée dramatique, les Bérets rouges surgissent de la jungle, épuisés, en loques, portant leurs blessés. Six années durant, d'Indochine en Algérie, le nom de Bigeard se confondra avec l'épopée des parachutistes. Mais qui étaient ces hommes, compagnons d'un chef aussi prestigieux ? Pourquoi se battaient-ils, au long de cette piste sans fin où tombaient tant des leurs ? Que cherchaient-ils ? Et surtout quelle foi, quelle force faisaient d'eux les meilleurs ? Après une rigoureuse enquête, Erwan Bergot, qui fut l'un des leurs, a retrouvé les anciens du " Bataillon Bigeard ". Ils se sont racontés simplement, sans phrases. De ces récits, l'auteur a su faire jaillir une émotion, une vérité dont Bigeard lui-même a dit : " La gorge serrée, je viens de lire d'une traite en cinq heures ce livre et de revivre avec mes frères parachutistes, cités ou non, vivants ou disparus à jamais, ces longues années de combat dans le froid, la neige, la chaleur, la jungle, le désert..." (4ème couverture)
Octobre 1952. Deux divisions viêt-minh - douze mille hommes - déferlent sur le pays Thaï. Face à elles, le 6e Bataillon de Parachutistes Coloniaux, largués en enfants perdus sur Tu Lê, petit village de brousse. Pour Saïgon, pour l'état-major, ces quatre cents paras sont rayés du nombre des vivants. Sept jours plus tard, après une odyssée dramatique, les Bérets rouges surgissent de la jungle, épuisés, en loques, portant leurs blessés. Six années ...

Art et sciences militaires ; Armée

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Les Héros oubliés Bergot, Erwan | Grasset 1975

Monographie

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Cote : A00957

"Fresque saisissante de combats d'une violence à nulle autre pareille, éclairage de la face cachée de la tragédie indochinoise, l'ouvrage d'Erwan Bergot est d'autant plus attachant qu'il rompt avec les clichés des habituels récits de guerre. Blessé lui-même trois fois au combat, Erwan Bergot dépeint, sans fard ni complaisance, ses camarades pour qui la guerre est, avant tout, un moyen d'aller jusqu'au bout de l'idée qu'ils se font d'eux-mêmes et de l'insolite vocation qu'ils ont choisie : celle de professionnels d'une guerre menée en fraude. Sacrifiés par un commandement qui ne croit, lui, qu'aux batailles classiques, oubliés par leurs chefs avant de l'être par la postérité, ses héros affrontent la mort avec la foi inébranlable de ceux qui éprouvent un intense amour pour la vie.
Un grand et beau livre sur le courage.
Officier de la Légion d'Honneur à titre militaire, dix titres de guerres (trois blessures et sept citations), Erwan Bergot a servi et combattu en Indochine dans le célèbre 11e Choc rattaché aux services secrets français et au 6e bataillon de parachutistes coloniaux de Bigeard. Après avoir commandé les mortiers lourds du 1 er BEP à Dien Bien Phu, il a fait partie, en Algérie, du « Service Action » chargé des opérations de commandos.
Depuis son retour à la vie civile, il a écrit de nombreux ouvrages de guerre qui ont connu la faveur du grand public et notamment, dans la collection Corps d'Elite, La Légion, Les Paras, L'Afrika Korps." (4ème)
"Fresque saisissante de combats d'une violence à nulle autre pareille, éclairage de la face cachée de la tragédie indochinoise, l'ouvrage d'Erwan Bergot est d'autant plus attachant qu'il rompt avec les clichés des habituels récits de guerre. Blessé lui-même trois fois au combat, Erwan Bergot dépeint, sans fard ni complaisance, ses camarades pour qui la guerre est, avant tout, un moyen d'aller jusqu'au bout de l'idée qu'ils se font d'eux-mêmes et ...

Légion étrangère ; Témoignage ; Homme militaire ; Guerre d'Indochine

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La Légion Bergot, Erwan | Balland 1972

Monographie

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Cote : 358 BER

"«Ils furent ici moins de 60 opposés à toute une armée. Sa masse les écrasa. La vie, plutôt que le courage, abandonna ces soldats français». C'était au Mexique, à Camerone, le 30 avril 1863. Trois mille Mexicains, 60 légionnaires : 1 contre 50. La proportion est normale, c'est la Légion.
En 130 ans, de 1831 à 1961, les combats de la Légion ont respecté cette proportion. De l'Espagne en Crimée, du Maroc à Verdun, de Madagascar à l'Indochine, l'histoire de la Légion, c'est autant de «Camerone».
«Vous êtes légionnaire pour mourir et je vous envoie où on meurt», disait le général Négrier, en ordonnant l'assaut de Lang-son. «Donnez-moi 600 légionnaires pour que je puisse mourir convenablement» demandait Galliéni. Pour le légionnaire, la mort n'est pas un but, mais une éventualité acceptée avec flegme. Instruit pour le combat, il affirme sa conscience professionnelle en se battant mieux que les autres, plus longtemps que les autres, et s'efforce d'être, tout le temps, supérieur aux autres.
II avance, de son pas lent et assuré, sûr de lui et de la force de ses armes. Où qu'il soit, où qu'il aille, où qu'il se batte, il est certain que sera entendu son cri «A moi la Légion»."
"«Ils furent ici moins de 60 opposés à toute une armée. Sa masse les écrasa. La vie, plutôt que le courage, abandonna ces soldats français». C'était au Mexique, à Camerone, le 30 avril 1863. Trois mille Mexicains, 60 légionnaires : 1 contre 50. La proportion est normale, c'est la Légion.
En 130 ans, de 1831 à 1961, les combats de la Légion ont respecté cette proportion. De l'Espagne en Crimée, du Maroc à Verdun, de Madagascar à l'Indochine, ...

Légion étrangère ; Légionnaire

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Cote : 356 BER

" Février 1956. Les premiers appelés quittent Marseille pour Alger. A leur suite, l'auteur nous entraîne à Oran, à Bône, en Kabylie, dans des fermes à aménager, des postes à construire, en bordure des montagnes et des forêts.
Voici le 13 mai, vécu de loin à travers les transistors, vécu de près en contact étroit avec les habitants des mechtas, des douars. Le " putsch " de 1961 leur montre que la fin de l'Algérie française est proche.
Erwan Bergot, qui les a vus souffrir, être tristes ou gais, a voulu rendre hommage à tous ces appelés."
" Février 1956. Les premiers appelés quittent Marseille pour Alger. A leur suite, l'auteur nous entraîne à Oran, à Bône, en Kabylie, dans des fermes à aménager, des postes à construire, en bordure des montagnes et des forêts.
Voici le 13 mai, vécu de loin à travers les transistors, vécu de près en contact étroit avec les habitants des mechtas, des douars. Le " putsch " de 1961 leur montre que la fin de l'Algérie française est proche.
Erwan ...

Algérie ; Guerre

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