Documents  Editions Talaia | enregistrements trouvés : 4

"«"Tu crois que j 'ai déconné ? ", demande-t-il à ses proches. Trop tard pour se rassurer, le masque est tombé. Alain Teixidor répondra en le laissant au frigo pour la réception suivante face au Stade Français, soldée par une belle victoire 29 à 20. Aucune importance, l'essentiel est ailleurs Goutta s'est rebellé et a triomphé de lui-même. Il ne le sait pas encore, mais il vient de signer son acte de renaissance. D'un cri, qui tua "Bernardo". »
À travers le rugby, la construction d'un homme au destin pas comme les autres." (4ème couverture)

"0 n n'oublie pas l'Algérie. Le voyage d'Alain et d'Annie, la force de leurs rencontres à Annaba sont les marques d'un temps qui s'est arrêté, figeant la
force des sentiments qui unissent les deux rives de la Méditerranée.
On n'oublie pas les combats, les luttes fratricides, qui ont traversé les peuples français et algérien. L'histoire a tranché. Il reste des regards, des sourires, des émotions, des retrouvailles, des solidarités qui sont nés de l'amour de cette terre et de ces gens qui ont tant donné et tant souffert.
On n'oublie pas les bombes qui déchiraient la nuit et mutilaient les corps. On n'oublie ni Bône ni Annaba: ces noms différents résonnent comme les deux termes d'une histoire commune, reconstruite et enrichie par la dignité des peuples qui grandissent aujourd'hui dans un immense respect mutuel. Annis, Alain, Annie, Malika, Zoubir et tous les autres sont plongés dans un tourbillon d'émotions que ces pages décrivent avec une simplicité attachante.
Jean Kouchner, journaliste
(Secrétaire général de l'Union internationale de la presse francophone)" (4ème couv.)

"20 mai 1958, Pierre Majoret, vingt ans, reçoit son ordre. Sa vie bascule. Fils d'un petit industriel du Tarn, il embarque à Port-Vendres et se retrouve en Algérie au coeur d'un conflit qui ne veut pas dire son nom. Le jeune homme découvre ,une vraie guerre avec ses horreurs, ses lâchetés, l'incompétence de certains, l'intégrité d'autres, et parfois, l'amitié, la tendresse... Le jeune appelé va cependant faire son devoir en gardant, sans cesse, sa lucidité. Dans ce journal écrit au fil des vingt-huit mois passés dans le massif de l'Ouarsenis, au nord d'Oran, Pierre Majorel ne cache rien. .. Un demi-siècle plus tard, ce témoignage poignant, sorti d'un tiroir, donne à la guerre d'Algérie, un autre relief." (4ème couverture)