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Documents  La Boite à bulles | enregistrements trouvés : 2

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Antony


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Cote : 845 NOC

"De Cherchell, sur la côte ouest algérienne, à Paris en passant par Alger, Soleil brûlant en Algérie raconte l'histoire du soldat Alexandre Tikhomiroff dit Tiko, mobilisé en 1956 et envoyé en Algérie.
C'est une guerre racontée au travers du prisme de la petite histoire, celle d'un appelé comme tant d'autres. Elle interroge les doutes et la sensibilité du soldat Tiko pris dans la tourmente d'une guerre qui refuse de dire son nom. Peu de coups de feu mais énormément de peurs, d'angoisses, d'incompréhensions.
Plus de deux ans après, c'est le retour à
la vie civile, le soldat Tiko devient Alex le
Alex passe alors à l'action dans un Paris du début des années soixante, déchiré et menacé par tes attentats de l'OAS.
Le récit oscille entre l'humour et le drame et pointe l'équilibre précaire entre l'attente et l'action, entre l'absurde et l'angoisse, entre l'illusion et la réalité, teintant ainsi le fil de l'histoire d'une tension palpable.
Gaétan Nocq adapte le récit autobiographique d'Alexandre Tikhomiroff et donne au roman graphique des accents de documentaire historique." (4ème couv.)
"De Cherchell, sur la côte ouest algérienne, à Paris en passant par Alger, Soleil brûlant en Algérie raconte l'histoire du soldat Alexandre Tikhomiroff dit Tiko, mobilisé en 1956 et envoyé en Algérie.
C'est une guerre racontée au travers du prisme de la petite histoire, celle d'un appelé comme tant d'autres. Elle interroge les doutes et la sensibilité du soldat Tiko pris dans la tourmente d'une guerre qui refuse de dire son nom. Peu de coups de ...

Bande dessinée ; Appelés ; Guerre d'Algérie ; Récits personnels

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Cote : 840 BRA

"Oran, 5 juillet 1962
Sur le boulevard de Mascara, une marée humaine nous entraîna. Nous avions du mal à résister à ce courant , euphorique qui nous emportait.
Au niveau de la synagogue, la foule était
déjà dense quand nous sommes arrivés.
Nous étions serrés comme des sardines,
1- nous nous sentions libres et unis.
Avec nous dans la foule ou du haut de leur balcon, de nombreux européens partageaient notre enthousiasme. Les forces de l'ordre avaient du mal à nous contenir.
Soudain... des détonations retentirent... La foule crut d'abord à un tir de pétard... ou à une exhibition de djounoud. Mais quand les rafales reprirent, on comprit qu'il se passait quelque chose de plus grave...
Tout d'un coup, quelqu'un se mit à hurler : C'est l'OAS qui tire !I" (4ème couverture)
"Oran, 5 juillet 1962
Sur le boulevard de Mascara, une marée humaine nous entraîna. Nous avions du mal à résister à ce courant , euphorique qui nous emportait.
Au niveau de la synagogue, la foule était
déjà dense quand nous sommes arrivés.
Nous étions serrés comme des sardines,
1- nous nous sentions libres et unis.
Avec nous dans la foule ou du haut de leur balcon, de nombreux européens partageaient notre enthousiasme. Les forces de l'ordre ...

Bande dessinée ; 1962 ; Massacre du 5 juillet 1962 ; Pieds-noirs ; Exode

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