Documents  Djebel Filfila | enregistrements trouvés : 6

Photographie prise dans le cadre d'une colonies de vacances.
Cette photographie nous a été envoyée par le donateur, accompagnée d'un commentaire :
"Je viens de lire un article sur le Fil Fila… que j’ai pratiqué dans les années 1952/53/54 en tant que Scout, et par cette expérience, j’ai assisté plusieurs fois au perçage horizontal avec une très grosse mèche de plusieurs trous d’un bloc de marbre dégagé sur 3 cotés par le burinage et donc encore solidaire de la montagne par le dernier cotés. Les explications d’un employé sont les suivantes :
En perçant tous les 10 cm environ un forage profond le la hauteur désiré du bloc (+ ou – de 4 ou 5 m) et en les remplissant d’eau juste avant les gels de Décembre/Janvier et Février, le bloc ainsi affaibli éclaté, ils installaient a coté un gros moteur qui actionnait un système de lames a tranchant lisses, de mémoires ? 10/20 lames ? Et avec un arrosage d’eau et de sable constant, il fallait une semaine et même 10 jours pour scier jusqu’au sol.
Voilà pour la carrière, mais j’en profite pour vous signaler que depuis de longues années je suis a la recherche de l’entrée de la grotte du Fil Fila, non pas celle découverte sur le bord de la plage il y a quelques années, mais dans les collines. Cette entrée et suivit rapidement par un « boyau de chat » étroit qui donne dans une grande salle, pour preuveci-joint une photo que j’ai montré a beaucoup de personnes mais jamais personne n’a répondu favorablement, les Skikdis actuels de même."

"Un dernier regard : celui porté par l'auteur, après tant d'années, à travers la lecture de lettres, oubliées dans une boîte à chaussures, d'un frère appelé sous les drapeaux durant vingt-sept mois, dont une grande partie en Algérie.
Ces lettres font ressurgir les souvenirs d'une enfance heureuse en famille avant le départ du père provoquant ainsi les angoisses d'une mère devant assumer seule la conduite de la famille : s'occuper de l'éducation du cadet et vivre dans l'attente interminable et inquiète du retour de l'aîné." (4ème couv.)