m

Documents  Editions Complexe | enregistrements trouvés : 11

O

-A +A

P Q

UV

Bruxelles


Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y


Cote : 965.5 HAR

« Toutes les composantes de la révolution algérienne sont passées au crible de l'analyse : les mouvements nationalistes (PPA de Messali Hadj, PCA, Centralistes, UDMA, Ulémas, etc.), les groupes sociaux musulmans et européens, les idées qui ont marqué une époque ou fait l'objet de débats (l'homogénéité de la nation algérienne, le mouvement assimilationniste, le "melting pot" cher aux communistes, réformisme ou lutte armée, etc.), le contenu des différents programmes. Refusant les schémas réducteurs et les simplifications abusives, Mohammed Harbi s'attache à montrer la complexité des situations avant de se prononcer dans tel ou tel sens. »
Le Monde
« Mohammed Harbi a fait véritablement oeuvre d'historien au plein sens du terme. Est-ce sa double culture arabe et française, est-ce l'exil qui l'ont rendu intelligent et lucide ? Je ne sais, mais le sens critique, l'objectivité, la distance par rapport aux idéologies ont atteint chez ce militant de toujours une sorte de perfection. »
Pierre Vidal-Naquet, Libération
Mohammed Harbi, né en 1933, milite au PPA dès l'âge de 15 ans,
puis au FLN. Arrêté en juin 1965 et emprisonné sans jugement jus-
qu'en novembre 1968, il vit en exil depuis 1973. Chargé de cours en
sociologie à Paris VIII (1975-1978) et à Paris V (1976-1980),
Professeur associé à l'université de Paris VII (1985-1989), il est
actuellement Maître de conférences à l'université de Paris VIII. Il est
l'auteur de Aux origines du FLN, le populisme révolutionnaire en Algérie, Le FLN mirage et réalité, et Archives de la Révolution algérienne. (4ème couv.)
« Toutes les composantes de la révolution algérienne sont passées au crible de l'analyse : les mouvements nationalistes (PPA de Messali Hadj, PCA, Centralistes, UDMA, Ulémas, etc.), les groupes sociaux musulmans et européens, les idées qui ont marqué une époque ou fait l'objet de débats (l'homogénéité de la nation algérienne, le mouvement assimilationniste, le "melting pot" cher aux communistes, réformisme ou lutte armée, etc.), le contenu des ...

Guerre d'Algérie ; Révolution nationale algérienne ; Idéologie ; Histoire ; Autonomie et mouvements indépendantistes ; Toussaint rouge

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
UV


Cote : 965.5 VAI

"Dans la nuit du 21 au 22 avril 1961, l'armée s'empare du pouvoir à Alger. A la tête des unités insurgées, se trouvent quatre des plus prestigieux anciens chefs de l'armée, les généraux Challe, Jouhaud, Zeller, auxquels se joint peu après le général Salan. Ils visent au rassemblement de toute l'armée française pour maintenir "l'Algérie française" et empêcher que les négociations d'Evian avec le F.L.N. ne transforment en défaite politique leur victoire militaire. Pour la troisième fois en 3 ans, Alger entre en insurrection contre Paris. Cette "fronde" qui faillit faire basculer le pouvoir gaulliste est organisée par des généraux qui invoquent les mêmes principes opposés naguère par de Gaulle au maréchal Pétain en 1940. Ce n'est pas simplement une opération au service des pieds-noirs qui s'opposent à la décolonisation: les putschistes prétendent être en avance sur leur temps. Ils ont glané la gloire militaire sur tous les champs de bataille et n'ont pas cessé de se battre depuis 1939. Ils ont tous fait l'Indochine et ont cru y comprendre le sens de leur combat Ils préconisent une lutte acharnée contre le F.L.N., une action anticommuniste et une nouvelle politique économique et sociale. Pour le général Challe et les colonels, perdre l'Algérie, c'est perdre une bataille décisive qui oppose l'Est à l'Ouest. Le fossé se creuse chaque jour un peu plus entre le général de Gaulle - revenu au pouvoir pour Le 22 avril, le putsch éclate. Le spectre de la sécession, voire de la guerre civile secoue Paris. Mais l'armée qui semblait neutralisée est en réalité en proie à une profonde crise de conscience. Le contingent se réveille. L'oreille rivée à leur transistor, les appelés écoutent les ordres venus de Paris, et refusent de marcher. L'opinion métropolitaine - et internationale - se mobilise très vite contre les putschistes. Le pouvoir légal ne chancelle pas: prenant la parole à la télévision, le général de Gaulle, revêtu de son uniforme militaire, sait trouver les mots et le ton justes pour regrouper les énergies et apparaître une fois de plus comme le < sauveur..
Trois jours plus tard, Les répercussions sont à la mesure de l'événement: de Gaulle a désormais les mains libres; les pieds-noirs sont abandonnés à l'O.A.S.; les pourparlers avec le G.P.R.A. s'ouvrent à Evian. La voie vers l'indépendance de l'Algérie est tracée, dans une atmosphère tendue et sanglante. L'armée française est profondément ébranlée par l'aventure. La grande muette a enfreint la règle d'or du silence. La répression s'abat. La méfiance et l'amertume règnent. L'armée classique est ' morte. L'armée technocratique de la force de frappe va naître."
"Dans la nuit du 21 au 22 avril 1961, l'armée s'empare du pouvoir à Alger. A la tête des unités insurgées, se trouvent quatre des plus prestigieux anciens chefs de l'armée, les généraux Challe, Jouhaud, Zeller, auxquels se joint peu après le général Salan. Ils visent au rassemblement de toute l'armée française pour maintenir "l'Algérie française" et empêcher que les négociations d'Evian avec le F.L.N. ne transforment en défaite politique leur ...

Putsch d'Alger ; Guerre d'Algérie

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
UV


Cote : 301 ETE

"Ce livre porte un regard neuf et ample tant sur la formation que sur l'écroulement des empires coloniaux modernes de l'Europe, des États-Unis et du Japon. À son origine, il y a cette interrogation : pourquoi les historiens s'intéressent-ils tellement aux causes et aux conséquences de la colonisation, et si peu aux moyens utilisés pour constituer des domaines coloniaux aux dimensions colossales ? S'interroger sur les techniques de domination revient à poser la question des écarts de développement. C'est-à-dire celle de la supériorité de l'Occident sur les autres grandes régions du monde. Cette supériorité imprime-t-elle sa marque tout le temps que durent les conquêtes coloniales en Asie, au Maghreb, en Afrique noire, soit du milieu du XVIIIe siècle à la veille de la Première Guerre mondiale ? Autrement dit, avant que la révolution industrielle ne donne à l'Europe colonisatrice sa surpuissance, à quels « outils d'empire » pouvait-elle avoir recours pour l'emporter militairement, résister aux maladies tropicales meurtrières, tenir les populations soumises ? Le plus étonnant est que l'homme blanc ait réussi à imposer partout sa suprématie, alors que du début à la fin de la période coloniale son infériorité numérique le montre égaré au milieu de nombreuses populations jaunes et noires. Est-ce pour cela que le coût humain de la colonisation et de la décolonisation, supporté par les métropoles, a été si dérisoire ?
Ce livre s'appuie sur une masse imposante d'informations et de données pour retracer, dans la longue durée et dans une perspective comparative, une histoire mêlant les cinq continents."
"Ce livre porte un regard neuf et ample tant sur la formation que sur l'écroulement des empires coloniaux modernes de l'Europe, des États-Unis et du Japon. À son origine, il y a cette interrogation : pourquoi les historiens s'intéressent-ils tellement aux causes et aux conséquences de la colonisation, et si peu aux moyens utilisés pour constituer des domaines coloniaux aux dimensions colossales ? S'interroger sur les techniques de domination ...

Colonisation ; Histoire

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
UV


Cote : 324 GIR

"Le nationalisme constitue l'un des phénomènes majeurs de l'histoire 1 des sociétés politiques au cours des deux derniers siècles. Le problè-
me de la nation se trouve d'autre part aujourd'hui au centre de tous les débats consacrés à la définition d'un nouvel ordre international. Comment aborder l'étude du phénomène "nationaliste" à travers la multiplicité de ses expressions idéologiques et de ses formulations doctrinales? Quel rôle politique et moral la nation, dans son principe même, est-elle toujours susceptible d'assurer dans la vie et le développement des sociétés contemporaines? Comment, pour chacun d'entre nous, notre vocation citoyenne se définit-elle en fonction des pesanteurs du passé et des aléas de la modernité? Telles sont les questions essentielles que pose cet ouvrage, à la fois étude historique et essai doctrinal."
"Le nationalisme constitue l'un des phénomènes majeurs de l'histoire 1 des sociétés politiques au cours des deux derniers siècles. Le problè-
me de la nation se trouve d'autre part aujourd'hui au centre de tous les débats consacrés à la définition d'un nouvel ordre international. Comment aborder l'étude du phénomène "nationaliste" à travers la multiplicité de ses expressions idéologiques et de ses formulations doctrinales? Quel rôle politique et ...

Nationalisme ; Politique et gouvernement

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Z