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Documents  Saucourt, Robert | enregistrements trouvés : 33

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L'auteur est né à Alger en 1943. Études secondaires au lycée E.F. Gautier et au cours Rousselot. Il a quitté l'Algérie en 1962 à rage de 19 ans. Arrivé en France, il a fait une carrière de VRP. ...


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Cote : VID - 917.1 SAU

"Ce que vous allez voir dans ce DVD n'est pas une oeuvre de fiction.
Aussi toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des faits, ne saurait être fortuite.
Ce film raconte les vingt premières années de ceux qui, un jour de juin 1962,
ont été chassés de leur pays, poussés par ce fameux "vent de l'histoire".
Des instants de joie et d'insouciance, des moments de bonheur et de tristesse,"

Association amicale des français originaires de l’Afrique du Nord ; Pieds-noirs ; Alger, commune ; Nostalgérie

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Cote : VID - 845 SAU

Iconographie : Gracieusement fournie par Pierre DIMECH et Robert SAUCOURT qui ont pioché dans leurs bibliothèques et collections personnelles.
Avertissement : Cette cassette de montage est un clin d'œil sur un certain parallélisme entre la conquête de l'Ouest américain et l'aventure française en Algérie à la même époque, destinée au départ à servir d'illustration à une conférence sur le même thème.

Algérie française ; Conquête ; Amérique ; Colonisation

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Cote : CD - 926 LAC

" La parution des souvenirs du colonel Lacheroy est un événement important pour tous ceux qui s'intéressent à l'histoire contemporaine. Le colonel Lacheroy a, en effet, été l'un des acteurs essentiels des derniers moments de notre histoire impériale. Charles Lacheroy est né en 1906 à Chalon-sur-Saône dans une famille profondément patriote. Son père mobilisé deviendra sous-lieutenant et sera tué en 1916 lors de la bataille de Verdun.
Charles Lacheroy choisira la carrière militaire. Elève à Saint-Cyr (1925-1927), il rejoint ensuite l'infanterie coloniale. De 1928 à 1930, il sert en Haute-Volta dans une unité de tirailleurs sénégalais. Il y participe à l'oeuvre civilisatrice de la France et devient un bâtisseur comme beaucoup d'officiers coloniaux l'avaient été avant lui.
En 1932, il est affecté en Syrie dans une compagnie méhariste. Il y rencontre de nombreux anciens compagnons du colonel Lawrence et en profite pour obtenir son brevet d'observateur aérien.
Il rejoint le Maroc en 1937 et devient en 1939 chef des observateurs d'un groupe aérien d'observation. Cela explique qu'il ne participe donc pas aux événements de 1940 et échappe ainsi à la captivité. Il accepte mal la défaite et l'arrêt des combats. Il sera alors soupçonné de gaullisme et sera même incarcéré en France. Rapidement innocenté, il sera affecté en 1941 en Tunisie, puis rejoindra Dakar dès juin 1942. L'AOF ralliée à l'amiral Darlan rentrera dans la guerre avec toute l'Afrique française à partir de novembre 1942. Lacheroy combattra ensuite en Italie puis participera brillamment aux combats de la libération au sein de la 1ère année française. La campagne commencée sur les côtes de Provence ne prendra fin qu'au coeur de l'Allemagne.
Mais la carrière du colonel Lacheroy se poursuivra dam l'Empire après la guerre. Il est nommé commandant du bataillon autonome de Côte d'Ivoire et doit faire face à l'agitation entretenue par le Rassemblement Démocratique Africain (R.D.A.). Il réussit parfaitement à arrêter les actions subversives.
En 1951, il arrive en Indochine, à Sargon. Il y constate les difficultés du corps expéditionnaire à faire face à une guerre idéologique et subversive. Il y élabore une théorie de l'action psychologique qu'il met en oeuvre avec de réels succès. Il est de retour en France en 1953. Il multiplie les conférences et les travaux sur le thème de l'action psychologique. Son audience est bientôt immense dans les milieux politiques et militaires.
Il est nommé à l'état-major, puis deviendra le conseiller de deux ministres de la Défense Bourges-Maunoury et André Morice. Il mènera en 1957 une lutte acharnée contre la démoralisation de l'armée. Mais il sera limogé en février 1958 par Chaban-Delmas. Il est muté dans le Nord constantinois.
Dans les jours et les semaines qui suivent le 13 mai 1958, le colonel Lacheroy retrouve son influence en dirigeant les services de l'information et de l'action psychologique à Alger.
Les gaullistes tenteront encore de l'éliminer en le faisant nommer à Paris directeur du cours des officiers de réserve d'état-major à l'école Militaire. Il y permettra la préparation du putsch d'avril 1961. La plupart des réunions auront lieu dans les locaux de l'école Militaire.
Il rejoint Alger lors du putsch puis doit se réfugier en Espagne où il vivra jusqu'à l'amnistie de 1968. Les mémoires du colonel Lacheroy, théoricien de la lutte contre la subversion et homme d'action, de courage et d'honneur, fourmillent d'anecdotes et de réflexions."

Jacques SAINT-PIERRE AMEF
" La parution des souvenirs du colonel Lacheroy est un événement important pour tous ceux qui s'intéressent à l'histoire contemporaine. Le colonel Lacheroy a, en effet, été l'un des acteurs essentiels des derniers moments de notre histoire impériale. Charles Lacheroy est né en 1906 à Chalon-sur-Saône dans une famille profondément patriote. Son père mobilisé deviendra sous-lieutenant et sera tué en 1916 lors de la bataille de Verdun.
Charles Lac...

France ; Infanterie ; Maroc ; Seconde Guerre mondiale 1939-1945 ; Action psychologique ; Guerre d'Indochine ; Putsch d'Alger ; Armée

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Cote : 840 SAU

"Avec Femmes de destin(s), Robert Saucourt avait raconté, comme peu (voire pas) d'auteurs l'avaient fait avant lui, la saga de ces femmes qui, dans l'Algérie des tout débuts de la colonisation et dans des conditions proches de celles des pionnières de l'Ouest sauvage américain, firent preuve d'une véritable héroïcité. Des femmes de sa famille. Des femmes françaises tout simplemènt.
Avec son nouveau livre, La Saison des caroubes, sous-titré : « Chroniques d'une jeunesse algéroise », il boucle la boucle. C'est un récit et même, on croit le savoir, un récit largement autobiographique (quoi qu'en prétende l'auteur). Une jeunesse de soleil et de rires. Avec ses années heureuses, les vacances à la ferme et à la mer, les copains, les amourettes. Des joies simples. Et puis, à partir de 1954, la montée des périls et le tragique dénouement de 1962.
Les gamins insouciants des années heureuses vont devenir les ados inquiets des années noires. Des ados qui, nolens volens, vont vite apprendre à devenir des hommes. Et à s'engager corps et âme pour conserver à la France une de ses plus belles provinces.
Les caroubiers sont des arbres à bois dur utilisés en menuiserie. Ils donnent des fruits, les caroubes, à la pulpe comestible et sucrée. Comme le destin de ces jeunes d'Alger. Tendre et solide. Délicieux et amère. Des chroniques au rendez-vous de l'Histoire pour raconter des histoires. Le bonheur, l'amour, la mort parfois. Des chroniques pour dire un pays qui n'existe plus."
"Avec Femmes de destin(s), Robert Saucourt avait raconté, comme peu (voire pas) d'auteurs l'avaient fait avant lui, la saga de ces femmes qui, dans l'Algérie des tout débuts de la colonisation et dans des conditions proches de celles des pionnières de l'Ouest sauvage américain, firent preuve d'une véritable héroïcité. Des femmes de sa famille. Des femmes françaises tout simplemènt.
Avec son nouveau livre, La Saison des caroubes, sous-titré : « ...

Roman historique ; Alger, département

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Cote : 840 SAU

"L'Histoire du monde, en général, et celle de la France, en particulier, est souvent racontée à de grandes exceptions près, bien sûr au travers de l'action politique, militaire, culturelle, économique, des hommes. L'Histoire de l'Algérie française n'échappe pas à cette constante. Les généraux, les défricheurs, les pionniers, les colons de la Mitidja, les géologues, les écrivains, les peintres, certes. Mais les femmes dans tout ça ?
Pour la première fois, l'Algérie française nous est racontée au féminin. Elles s'appelaient Madeleine, Odila, Augustine, Victorine, Joséphine, Blanche, Marcelle. Elles n'eurent jamais la vie facile, mais elles ne s'apitoyèrent jamais sur leur sort. Des femmes de destin(s) confrontées souvent (mais rarement victimes) à des hommes à la tchatche facile mais au courage moins éprouvé. Ces femmes, qui à bien des égards nous rappellent les pionnières de la conquête de l'Ouest, ne sont pas sorties de l'imagination de l'auteur. Et d'autant moins que ces pionnières, de la conquête de l'oued, sont toutes de sa parentèle."
"L'Histoire du monde, en général, et celle de la France, en particulier, est souvent racontée à de grandes exceptions près, bien sûr au travers de l'action politique, militaire, culturelle, économique, des hommes. L'Histoire de l'Algérie française n'échappe pas à cette constante. Les généraux, les défricheurs, les pionniers, les colons de la Mitidja, les géologues, les écrivains, les peintres, certes. Mais les femmes dans tout ça ?
Pour la ...

Roman ; Femme ; Histoire

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Cote : 926 SAU

"Aussi incroyable que cela puisse paraître, il «existait pas, à ce jour, d'ouvrages racontant la vie — et quelle vie! — du lieutenant-colonel Georges Masselot (1911-2002). Cette anomalie est aujourd'hui corrigée par Robert Saucourt, président de l'Association pour la mémoire de l'Empire français (dont Masselot fut président d'honneur jusqu'à sa mort).
En parlant de Masselot, on a envie de dire : « Quel roman fut sa vie! ». Sauf que l'on n'est pas dans le roman, mais dans la réalité d'un grand soldat, atypique à bien des égards. Il fut au rendez-vous de tous les combats pour la France : Seconde Guerre mondiale, Indochine et — surtout peut-être — l'Algérie française, la terre de ses ancêtres. L'Algérie à qui il donna son fils, Philippe, tombé en opération à ses côtés.
Il paya le prix fort ses engagements. Trente années de service exemplaire, trois blessures au feu, 15 citations (dont 10 à l'ordre de l'armée), commandeur de la Légion d'honneur. Dans la tradition de la Légion et des paras : honneur et fidélité." (4ème couv.)
"Aussi incroyable que cela puisse paraître, il «existait pas, à ce jour, d'ouvrages racontant la vie — et quelle vie! — du lieutenant-colonel Georges Masselot (1911-2002). Cette anomalie est aujourd'hui corrigée par Robert Saucourt, président de l'Association pour la mémoire de l'Empire français (dont Masselot fut président d'honneur jusqu'à sa mort).
En parlant de Masselot, on a envie de dire : « Quel roman fut sa vie! ». Sauf que l'on n'est ...

Masselot, Georges (colonel) ; Homme militaire ; Biographie ; Guerre d'Algérie ; Paras ; Algérie française

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- n° 72 - juilet-août-septembre 2018
Cote : Per - 313 AME

Revue ; Pieds-noirs ; Mémoire ; Culture

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- n° 70 - janvier-février-mars 2018
Cote : Per - 313 AME

Revue ; Pieds-noirs ; Mémoire ; Culture

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- n° 69 - octobre-novembre-décembre 2017
Cote : Per - 313 AME

Revue ; Pieds-noirs ; Mémoire ; Culture

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