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Documents  Editions Bénevent | enregistrements trouvés : 11

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B.P. 4049
06301 Nice - Cédex 4


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Cote : 845 VIG

"Une Algérie où nationalité, religion cohabitaient harmonieusement et où le mot « colonisation » était encore associé à celui de « civilisation ». Sans oublier la solidarité.
Un pays inconnu, imaginaire ? Pas du tout. Pas tout à fait l'Algérie d'hier mais tout simplement celle d'avant la Deuxième Guerre mondiale, dont il reste encore aujourd'hui de nombreux témoins de part et d'autre de la Méditerranée.
Cette Algérie-là, enfant, puis jeune fille, l'auteur l'a connue, touchée, sentie, aimée dans sa réalité quotidienne. Les paysages l'ont parfois éblouie, elle en a humé les odeurs, et plus que tout, elle a apprécié la sincérité et la loyauté sans faille des habitants de toutes origines qui s'y côtoyaient.
Si un certain soir de Noël, à la fin des années cinquante, des chrétiens ne brûlèrent pas vifs dans une petite chapelle, c'est aux musulmans du domaine qu'ils le doivent.
Cette Algérie d'hier ne pourra pas être l'Algérie de demain, mais pourquoi pas un pays où les êtres humains pourraient vivre heureux, en paix avec eux-mêmes."
"Une Algérie où nationalité, religion cohabitaient harmonieusement et où le mot « colonisation » était encore associé à celui de « civilisation ». Sans oublier la solidarité.
Un pays inconnu, imaginaire ? Pas du tout. Pas tout à fait l'Algérie d'hier mais tout simplement celle d'avant la Deuxième Guerre mondiale, dont il reste encore aujourd'hui de nombreux témoins de part et d'autre de la Méditerranée.
Cette Algérie-là, enfant, puis jeune ...

Autobiographie ; Mémoire ; Souvenir ; Algérie française ; Seconde Guerre mondiale 1939-1945 ; Enfance ; Paix ; Cohabitation ; Cohabitation religieuse

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Cote : 845 NAV

"Le vieux Ville de Tunis avait accosté à Marseille. Il avait fallu se résoudre à quitter l'Algérie. Nous fuyions le poison des dernières années. J'emportais plus d'images de chemins et d'espaces que n'en contenaient les cales. Grand-père et tous nos aïeux resteraient là-bas,
ensevelis dans cette terre qui n avait pas été nôtre mais à laquelle nous avions appartenu pendant quatre générations. J'étais de la dernière, celle qui allait tirer le rideau de l'alcôve...
Une femme à la voix aiguë, très éprouvée par la traversée, s'écria : u Marinette ma fi! Ce bateau, c'était un enfer de tous les démons!
La mer qu'on a eue : pour mourir! Grâce à Dieu on s'en est sortis,
mais on n'a plus que la peau et les os. Les gosses y sont qu'ils en peuvent plus ! Les maisons elles sont chauffées ici ?» Son mari tenta de la faire taire :
- Arrête de te, faire remarquer, nous sommes en France !
- La France? Je les emmerde! C'est à cause d'eux qu'on est là avec une main devant et une main derrière! Je vais me gêner maintenant! Ni même Ashrine y me fait taire! Et de Gaulle non ? Avec son a je vous ai compris », çui-là il nous l'a bien mis! »
La cage au canari dans une main et mon dernier prix scolaire La roche aux mouettes sous le bras, j'étais silencieuse. Il me semblait que la rive de ma patrie intérieure s'éloignait plus que je ne l'atteignais. Mais ce monde avait beau nous embarquer, nous emballer, il resterait une part de moi qui ne lui donnerait jamais prise, où mon âme ne cesserait d'aspirer à plus haut, plus beau : une citadelle imprenable..."
"Le vieux Ville de Tunis avait accosté à Marseille. Il avait fallu se résoudre à quitter l'Algérie. Nous fuyions le poison des dernières années. J'emportais plus d'images de chemins et d'espaces que n'en contenaient les cales. Grand-père et tous nos aïeux resteraient là-bas,
ensevelis dans cette terre qui n avait pas été nôtre mais à laquelle nous avions appartenu pendant quatre générations. J'étais de la dernière, celle qui allait tirer le ...

Récits personnels algériens ; Exode ; Pieds-noirs ; 1962 ; Mémoire ; Témoignage ; Oran, commune

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Cote : 840 DES

"Il était une fois, dans l'île d'Elbe, un petit orphelin prénommé Joseph par la princesse Pauline, mais qui devint Yousouf vers l'âge de dix ans, lorsqu'il fut enlevé par des pirates et vendu au dey de Tunis. Il devint mamelouk, séduisit la fille du dey, mais dut s'évader sur Alger. De 1830 à 1865, ses victoires jalonnent la conquête de l'Algérie. La plus belle est la prise de la smala d'Aïd El leader avec le duc d'Aumale. Un seul revers à Constantine, vide compensé par un voyage à Paris où il séduira Adèle Weyeer. D'où quinze années de bonheur, que l'on retrouve dans sa correspondance avec Alfred Durrieu.
Il séduisit Bugeaud, se heurta à Mac Mahon et à Napoléon III, mais y puisa sans doute cette résilience chère à Cyrulnick. Sa vie est un conte des mille et une nuits. Sa mort mystérieuse ajoute encore à sa légende.
L'auteur, qui enseignait les maladies infectieuses et les maladies du sang à la faculté de médecine de Dijon, est l'auteur de cinq livres sur la médecine à travers l'histoire.
La fin des hommes illustres, Presses de la Cité, 1977.
Les maladies qui ont changé le monde, Presses de la Cité, 1978. La souffrance et le Génie, Presses de la Cité, 1980.
Le pouvoir et la folie, Buchet Chastel, 1993.
Le crépuscule des Princes, Buchet Chastel, 1995." (4ème couv.)
"Il était une fois, dans l'île d'Elbe, un petit orphelin prénommé Joseph par la princesse Pauline, mais qui devint Yousouf vers l'âge de dix ans, lorsqu'il fut enlevé par des pirates et vendu au dey de Tunis. Il devint mamelouk, séduisit la fille du dey, mais dut s'évader sur Alger. De 1830 à 1865, ses victoires jalonnent la conquête de l'Algérie. La plus belle est la prise de la smala d'Aïd El leader avec le duc d'Aumale. Un seul revers à ...

Roman historique ; Alger, commune ; Conquête ; Yussuf (1808-1866)

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Cote : 840 VIA

"Un village algérien, perdu au milieu de rien dans la rocaille et la chaleur, que ses habitants ont eux-mêmes appelé Bab el Assa, « la Porte de l'Enfer ».
En 1956, de jeunes Français s'y retrouvent et vont passer six mois sous l'uniforme.
Mais avant d'arriver, ils auront dû subir les étapes d'un voyage initiatique qui les transformera en hommes plus mûrs, plus conscients, plus riches intérieurement et certainement plus éclairés.
Ils vont rencontrer la guerre, la sueur, le sang, mais aussi l'attente, l'ennui, la chaleur et le froid. Et par-dessus tout, ils vont se retrouver face à eux-mêmes, seuls devant les grandes questions de la vie, de la mort, de l'existence.
Ces faits sont réels et témoignent de ce qu'ont vécu ces jeunes Français.
Le portrait de quatre jeunes gens - un rêveur, un peintre, un ouvrier et un cynique - se dessine. Apparaissent également les antagonismes entre populations européennes et autochtones, entre militaires de carrière et rappelés, et entre rappelés eux-mêmes.
Un roman dur, âpre parfois (que ce soit au bordel, pendant le discours ou durant la journée du 29 août) dans lequel chaque lecteur trouvera « sa part de vérité »."
"Un village algérien, perdu au milieu de rien dans la rocaille et la chaleur, que ses habitants ont eux-mêmes appelé Bab el Assa, « la Porte de l'Enfer ».
En 1956, de jeunes Français s'y retrouvent et vont passer six mois sous l'uniforme.
Mais avant d'arriver, ils auront dû subir les étapes d'un voyage initiatique qui les transformera en hommes plus mûrs, plus conscients, plus riches intérieurement et certainement plus éclairés.
Ils vont ...

Roman historique ; Guerre d'Algérie ; Appelés ; Combat de Bab-El-Assa

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Cote : 845 GOS

"— Si tu allais me chercher du pain frais à la boulangerie, nous pourrions faire des sandwiches pour le trajet.
Maman m'a regardée, peut-être va-t-elle me parler, me parler vraiment. Je l'espère de tout mon cœur J'ai besoin de comprendre. J'hésite un peu à prendre le chemin de la boulangerie. Après, il n'y aura peut-être plus assez de temps pour parler, s'embrasser, se dire au revoir, un vrai au revoir.
Il y a la queue à la boulangerie. Je trépigne d'impatience... J'arrache presque le pain de la main de la boulangère qui me regarde interloquée. Qu'est-ce qu'il t'arrive? Tu as un train à prendre ? me dit-elle en riant.
Je ne prends même pas le temps de répondre, je détale vers la rue Elisée-Reclus où ma mère m'attend, j'en suis persuadée...
Ce recueil de nouvelles retrace des moments de la vie en Afrique du Nord vus au travers du regard d'une enfant qui grandit sous nos yeux jusqu'à son envol vers la vie d'adulte. C'est une jolie plongée dans les souvenirs, une exploration dans le monde de l'enfance, mais aussi du déracinement. Le style coloré et le choix du présent permettent de s'identifier à la petite fille et de lire le passé comme un livre d'images." (4ème couverture)
"— Si tu allais me chercher du pain frais à la boulangerie, nous pourrions faire des sandwiches pour le trajet.
Maman m'a regardée, peut-être va-t-elle me parler, me parler vraiment. Je l'espère de tout mon cœur J'ai besoin de comprendre. J'hésite un peu à prendre le chemin de la boulangerie. Après, il n'y aura peut-être plus assez de temps pour parler, s'embrasser, se dire au revoir, un vrai au revoir.
Il y a la queue à la boulangerie. Je ...

Nouvelle ; Enfance ; Oran, commune ; Témoignage ; Pieds-noirs ; Massacre du 5 juillet 1962 ; Exode

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Cote : 845 MAS

"Un peuple qui se souvient est un peuple encore vivant. A chaque page, vous partirez à la découverte des paysages ensoleillés et magnifiques, des plages de sable du bord de mer, et des sables dorés du désert. Vous vous enivrerez du parfum des glycines, du jasmin et des orangers en fleurs. Vous ressentirez un amour charnel pour cette terre tant aimée. Vous passerez du rire aux larmes, car on ne quitte pas un pays, une maison, une terre, une vie sans perdre un peu de son âme. Des grands-parents venus d'Italie, de Normandie. Un père parti s'engager à l'âge de dix-sept ans dans les Forces Françaises Libres. Sortant victorieux mais meurtri des terribles batailles de Bir-Hakeim et d'El Alamein. Il avait pour le général de Gaulle une profonde admiration, et sera d'autant plus déçu par l'abandon de son pays. Il se sentira trahi et sa douleur sera immense. Vous découvrirez aussi le désespoir de nos parents et grands-parents, obligés de quitter leur terre, leur maison, construite tout au long d'une vie, à force de travail, de sueur et de courage. Tout ce peuple n'a pas eu le choix entre 'la valise ou le cercueil'. Tous ces déracinés se dispersent à travers le monde, emportant ce qu'ils ont de plus précieux : l'amour de leur pays. George Sand disait : 'Je ne suis ni homme, ni femme, je suis écrivain.' "
"Un peuple qui se souvient est un peuple encore vivant. A chaque page, vous partirez à la découverte des paysages ensoleillés et magnifiques, des plages de sable du bord de mer, et des sables dorés du désert. Vous vous enivrerez du parfum des glycines, du jasmin et des orangers en fleurs. Vous ressentirez un amour charnel pour cette terre tant aimée. Vous passerez du rire aux larmes, car on ne quitte pas un pays, une maison, une terre, une vie ...

Pieds-noirs ; Récits personnels

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Cote : 845 DEC

À l'automne 1958, Paul Acker est un des nombreux sursitaires appelés à faire leur service militaire et rejoindre l'Algérie où depuis quatre ans sévit une guerre qui ne veut pas dire son nom.

Antimilitariste à son départ, les circonstances l'incitent à faire néanmoins les E.O.R. d'où il sort avec le grade de sous-lieutenant pour ensuite prendre le commandement d'une section d'appelés et d'une harka de supplétifs sur un « piton » en Petite Kabylie.

Il y découvre la vie des populations du bled, et une activité militaire étendue et variée qui lui font prendre goût à sa mission.

Un récit qui éclaire d'avantage ce que fut l'action de la France en Algérie et qui tempère les idées généralement répandues par certains milieux trop enclins à dénigrer leur pays.
À l'automne 1958, Paul Acker est un des nombreux sursitaires appelés à faire leur service militaire et rejoindre l'Algérie où depuis quatre ans sévit une guerre qui ne veut pas dire son nom.

Antimilitariste à son départ, les circonstances l'incitent à faire néanmoins les E.O.R. d'où il sort avec le grade de sous-lieutenant pour ensuite prendre le commandement d'une section d'appelés et d'une harka de supplétifs sur un « piton » en Petite ...

Témoignage ; Récits personnels ; Appelés ; Guerre d'Algérie

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