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Paris


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Cote : 926 GOM

"Ahmed Rafa 1906 - 1998 est le seul officier supérieur issu du Maghreb. Sa carrière est jalonnée de victoires, de combats et de souffrances. À la tête des tirailleurs algériens, il participe à la campagne d'Italie et au côté de Leclerc libère Colmar et Strasbourg. Durant le conflit qui oppose les nationalistes algériens à l'État français, il cherche avec Albert Camus une solution qui ferait des Algériens et des Français, un peuple uni sans la France.
En 1962, Ahmed Rafa, le coeur broyé par le chagrin, quitte sa terre en compagnie de ses amis Pieds-Noirs.
Des mois avant sa mort, il finit par répondre aux sollicitations du journaliste Manuel Gomez qui lui réclame un entretien. Le témoignage nous montre un homme qui ne ménage pas ses critiques envers les politiques, mettant particulièrement en lumière les brimades subies par les soldats issus du Maghreb, qui ne pouvaient accéder aux grandes écoles militaires. Car à Paris, on ne pouvait envisager qu'un Algérien puisse commander des Français de souche. L'ouvrage de Manuel Gomez révèle la longue conversation qu'Ahmed Rafa eut avec Charles de Gaulle auquel il ne pardonnera jamais l'abandon des harkis."
"Ahmed Rafa 1906 - 1998 est le seul officier supérieur issu du Maghreb. Sa carrière est jalonnée de victoires, de combats et de souffrances. À la tête des tirailleurs algériens, il participe à la campagne d'Italie et au côté de Leclerc libère Colmar et Strasbourg. Durant le conflit qui oppose les nationalistes algériens à l'État français, il cherche avec Albert Camus une solution qui ferait des Algériens et des Français, un peuple uni sans la ...

Rafa, Ahmed (1906-1998) ; Biographie

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Cote : 845 SON


Roger Soncarrieu est allé combattre en Algérie de 1956 jusqu'en 1958. Il y retourne en 1959 dans un Centre administratif saharien
à Edjeleh-In Amenas convaincu que l'Algérie est le grand dessein de la France.

Roger Soncarrieu s'est tu pendant des années sur ce qu'il a vécu. Mais devant l'accumulation des mensonges, il a décidé de rétablir la vérité.
Dans cet ouvrage poignant de simplicité, il évoque la fraternité avec la population algérienne, il dit sa honte devant l'abandon
des harkis. Il remet de l'ordre avec les accusations sur la torture, et raconte avec pudeur comment des soldats français ont été
massacrés d'une odieuse façon. Roger Soncarrieu nous propose un témoignage empreint d'une grande dignité, qu'il faut lire pour sortir définitivement des discours formatés, et s'apercevoir que rien n'a été facile. Il est donc vain, sinon inutile de continuer d'accuser sans avoir une connaissance approfondie du dossier, car l'ignorance qui accuse est une torture pour celui qui en est l'objet. Roger Soncarrieu vit près de Lyon. Il s'est occupé pendant des années d'associations de jeunesse, il a terminé sa carrière professionnelle en qualité de responsable régional d'un organisme de formation. Il a été également conseiller municipal et vice-président départemental du Centre National des Indépendants et Paysans. [4è de couv.]

Roger Soncarrieu est allé combattre en Algérie de 1956 jusqu'en 1958. Il y retourne en 1959 dans un Centre administratif saharien
à Edjeleh-In Amenas convaincu que l'Algérie est le grand dessein de la France.

Roger Soncarrieu s'est tu pendant des années sur ce qu'il a vécu. Mais devant l'accumulation des mensonges, il a décidé de rétablir la vérité.
Dans cet ouvrage poignant de simplicité, il évoque la fraternité avec la population ...

Algérie ; Guerre ; Guerre d'Algérie ; Témoignage ; France ; Harki ; Torture ; Association ; Population ; Administratif ; Français ; Discours ; Soldats ; Massacre ; Paysans ; Formation

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