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Documents  Jacques Grancher | enregistrements trouvés : 9

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Jacques Grancher

Paris


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Cote : A00236

"— Mon lieutenant, on a épuisé tous les obus !
Le lieutenant Post, chef de peloton à la 1" Compagnie Saharienne Portée de la Légion Étrangère, ne déclare pas forfait et saute de la tourelle de son automitrailleuse pour faire aboyer la 12,7 ancrée sur la plage arrière. Ses rafales fouettent les dunes derrière lesquelles des guerriers touareg enturbannés tentent d'esquiver la mort.
Quarante-quatre ans après le combat victorieux et légendaire du lieutenant Gardel (alias Saganne) contre le Sultan Ahmoud, les sahariens français affrontent à nouveau, en même lieu, des touareg rebelles auxquels s'est joint – coïncidence de l'histoire – le petit fils du Sultan.
Durant six ans, de 1956 à 1962, méharistes, légionnaires, sahariens des Compagnies motorisées, tirailleurs, parachutistes et militaires de toutes armes n'ont pas cessé de sillonner le Sahara pour maintenir la souveraineté française sur cet immense territoire dont les richesses pétrolières se matérialisaient chaque jour, faisant l'objet de nombreuses convoitises. De la Mauritanie aux dunes de là frontière libyenne, en passant par les djebels déchiquetés et arides de l'Atlas Saharien, les mers de sable des Grands Ergs, les palmeraies de l'Oued et le Sud Tunisien, les militaires français ont livré des combats souvent rudes, lancé les derniers raids sur les légendaires " vaisseaux du désert " au cours desquels ils ont côtoyé, parfois affronté, ces fins limiers des sables que sont les Touareg, les Reguibat et les Chaamba réputés pour leur habileté guerrière et leurs aptitudes à suivre les traces.
COMBATS SAHARIENS, un livre qui vous entraîne dans un désert qui vous captive et vous envoûte, mais où la mort frappe parfois, enveloppée d'un certain panache."
"— Mon lieutenant, on a épuisé tous les obus !
Le lieutenant Post, chef de peloton à la 1" Compagnie Saharienne Portée de la Légion Étrangère, ne déclare pas forfait et saute de la tourelle de son automitrailleuse pour faire aboyer la 12,7 ancrée sur la plage arrière. Ses rafales fouettent les dunes derrière lesquelles des guerriers touareg enturbannés tentent d'esquiver la mort.
Quarante-quatre ans après le combat victorieux et légendaire du ...

Guerre d'Algérie ; Compagnie saharienne

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Cote : 314 GAG

" Les révélations que tout le monde attendait, mais que personne ne voulait - ou ne pouvait - livrer au grand jour. Il aura fallu qu'Alger résonne des clameurs révolutionnaires d'une jeunesse déçue, qu'une immigration mai contrôlée par la France attente à la
dignité de nos Harkis et de leurs familles, pour que 'Georges" sorte de sa réserve, confie ses archives et lève l'interdit qu'il avait imposé depuis près de 30 ans.
Témoin de cette brûlante aventure, le Général Robert Gaget peut enfin rendre un hommage mérité à "Ceux du Commando Georges". Youssef, l'ancien chef des liaisons ravitaillement, qui, déguisé en rebelle, remonte une filière et, cache après cache, arrive à celle où se terre l'officier responsable des Liaisons Renseignement de la Wilaya 5 et le capture.
Smain, le radio de la Zone 6, capturé par une meute en casquette, interrogé sans ménagement, et finalement retourné par l'Espoir de l'Algérie Nouvelle. Il deviendra le Chef de la 4è" Katiba Georges. Riguet, ancien déserteur rallié, chef de la 2" Katiba Georges qui, trompé par le F.L.N. à l'heure du désespoir, accepte la mission d'horreur et y renonce après un face à face émouvant et tragique avec son ancien Chef. Il paiera de sa vie cette ultime fidélité.
Zéroual, ancien chef de groupe, capturé par le F.L.N. après le cessez le feu, torturé, lardé de coup de rasoirs, enchaîné, souffrant mais lucide, qui parvient à tromper la surveillance de ses gardiens pour s'enfuir et rejoindre un poste ami.
Dans ces pages de boue et de sang, l'auteur n'élude aucun des aspects de la guerre-sans merci que se sont livrée les frères ennemis.
"Ce livre est la rencontre de la Mémoire Historique et de l'Avenir Français des Fils de nos anciens soldats."" (4ème couv.)
" Les révélations que tout le monde attendait, mais que personne ne voulait - ou ne pouvait - livrer au grand jour. Il aura fallu qu'Alger résonne des clameurs révolutionnaires d'une jeunesse déçue, qu'une immigration mai contrôlée par la France attente à la
dignité de nos Harkis et de leurs familles, pour que 'Georges" sorte de sa réserve, confie ses archives et lève l'interdit qu'il avait imposé depuis près de 30 ans.
Témoin de cette brûlante ...

Harki ; Guerre d'Algérie ; FLN

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Cote : A00580

Cuisine ; Recette ; Tunisie

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Cote : 356 GAG

On a beaucoup parlé des "Commandos COBRA", ces soldats de Bigeard qui, sans être des professionnels ni des paras, se sont néanmoins couverts de gloire dans le Secteur de Saïda et la Zone Sud Oranais.
Qui étaient-ils, ces nouveaux guerriers en casquettes ? Ces hommes-léopards sanglés de ceinturons noirs qui défilaient en chantant les poings serrés ou montaient à l'assaut avec l'ardeur des "MarieLouise" et la maîtrise des vieux "Grognards".
Voici leur véritable Histoire !
Le Général Robert Gaget, alias "COBRA", nous décrit avec force la formation de ses hommes, leur engagement, leur foi, leur réussite. II nous entraîne derrière ses Sticks, dans les épais maquis de Saïda, sur les monts brûlés des Ksour, le long des falaises de la frontière Algéro-Marocaine. II nous invite à découvrir comment cette Unité de circonstance, formée à la méthode Bigeard, va devenir le fameux Commando de deux cents guerriers capable d'agir en finesse contre l'organisation politico-militaire adverse ou de donner l'assaut à une Katiba retranchée dans les rochers du Djebel.
On a beaucoup parlé des "Commandos COBRA", ces soldats de Bigeard qui, sans être des professionnels ni des paras, se sont néanmoins couverts de gloire dans le Secteur de Saïda et la Zone Sud Oranais.
Qui étaient-ils, ces nouveaux guerriers en casquettes ? Ces hommes-léopards sanglés de ceinturons noirs qui défilaient en chantant les poings serrés ou montaient à l'assaut avec l'ardeur des "MarieLouise" et la maîtrise des vieux "Grognards".
Voici ...

Algérie ; France ; Armée ; Opération militaire ; Guerre d'Algérie ; Kabylie

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Le 11e choc Huitric, Eric | Jacques Grancher 1985

Monographie

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Cote : 356 HUI

I. - Le Guerre en Fraude. - II. - Le dossier de la question

Armée ; Opération militaire ; Guerre

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Cote : 356 LEC

"Nous ne reviendrons pas sur ce que l'on a appelé hypocritement "les événements d'Algérie". Seulement, ils ont eu une suite, ces événements. Les représailles, les vengeances commençaient à s'exercer alors que les troupes françaises, qui avaient reçu l'ordre de ne pas intervenir (Oran, Général Katz), étaient encore là-bas. Ce fut pire lorsque le dernier soldat eut été rembarqué. Dès 1963, on pouvait dresser un bilan : des milliers de personnes, hommes, femmes, enfants, juifs, chrétiens, musulmans, - même des militaires en uniforme - avaient disparu. Plusieurs Associations d'Aide furent créées. On peut le dire, elles remuèrent Ciel et Terre pour recueillir des renseignements et que le gouvernement français intervienne. Tous les efforts se heurtèrent à un mol édredon. Que faire, il est vrai, lorsque l'on a admis que l'usage de la force est exclu ? Et puis, s'opposer à une nation disposant de pétrole, de gaz naturel, était-ce raisonnable ? Aux silences gênés succédèrent des pressions administratives sur les familles : "Si votre parent est seulement "porté disparu", vous ne pourrez percevoir de pension (ou : on ne pourra pas ouvrir la succession). II serait plus simple pour vous d'admettre son décès...". Des cas précis furent portés à la connaissance des Pouvoirs Publics par les associations : on avait retrouvé une Française prostituée dans les rues chaudes de Hambourg ; tel homme avait été revu au pays, avant que l'on n'entende plus jamais parler de lui - ô combien rapidement. On peut comprendre, mais pas admettre, jamais admettre, que ces disparus aient été bien gênants pour tout le monde. On ne peut ni comprendre ni admettre qu'un pays de la taille de la France abandonne certains de ses enfants sans tout faire pour éclaircir les mystères, dissiper les équivoques, contraindre aux investigations. On objectera que, un quart de siècle après l'indépendance, bon nombre des individus concernés sont morts. Sans doute. II n'y a pourtant pas si longtemps que l'on nous signalait en Algérie des camps où survivaient des prisonniers français... Nous voulons que ce livre soit la clameur de nos frères disparus."
"Nous ne reviendrons pas sur ce que l'on a appelé hypocritement "les événements d'Algérie". Seulement, ils ont eu une suite, ces événements. Les représailles, les vengeances commençaient à s'exercer alors que les troupes françaises, qui avaient reçu l'ordre de ne pas intervenir (Oran, Général Katz), étaient encore là-bas. Ce fut pire lorsque le dernier soldat eut été rembarqué. Dès 1963, on pouvait dresser un bilan : des milliers de personnes, ...

Algérie ; Guerre d'Algérie ; Histoire ; Mémoire ; Opération militaire

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Cote : 845 BAC

"L'Indo... Pour tous ceux qui l'ont "faite", comme on dit, le souvenir ne s'effacera jamais. Pour les jeunes, pour ceux qui n'ont eu de lumières sur la guerre d'Indochine que par les études ou les ouvrages traitant de l'ensemble du conflit, le témoignage d'Albert Bacle est plus qu'intéressant.
Marsouin, chef de Poste au Tonkin, il a vécu cette vie qui a été celle de dizaines de milliers d'hommes. Le Haut Commandement décide qu'il faut "quadriller" une région. On envoie une section, quelques supplétifs, on construit le Poste "en dur", généralement à côté d'un village.
Une fois la garnison enterrée, commence la vie encerclée ; les patrouilles, pour "tâter l'ennemi", le travail de renseignements dans la population, l'amalgame avec les ralliés, les grandes opérations, l'attaque par les Viets, la venue des convois de ravitaillement.
Et puis, les nouvelles qui arrivent en même temps que les munitions et le courrier de Lattre de Tassigny, le "roi Jean", vient de prendre le commandement ; ça va changer ! Mais le roi Jean disparaît après avoir, en effet, notablement redressé la situation.
Les combats reprennent, sans espoir. Albert Bacle a remarquablement brossé ce que fut la vie et la mort d'un Poste au Tonkin..." (4ème couverture)
"L'Indo... Pour tous ceux qui l'ont "faite", comme on dit, le souvenir ne s'effacera jamais. Pour les jeunes, pour ceux qui n'ont eu de lumières sur la guerre d'Indochine que par les études ou les ouvrages traitant de l'ensemble du conflit, le témoignage d'Albert Bacle est plus qu'intéressant.
Marsouin, chef de Poste au Tonkin, il a vécu cette vie qui a été celle de dizaines de milliers d'hommes. Le Haut Commandement décide qu'il faut "...

Récits personnels ; Homme militaire ; Guerre d'Indochine

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Cote : 358 LEM

"« Audace et non conformisme »
Cette devise pourrait orner le blason des
Commandos Stratégiques, s'ils en avaient un.
Une manière inattendue d'utiliser un matériel ancien, un gadget nouveau qui laisse l'adversaire stupide pendant les quelques secondes nécessaires - le bluff - ont fait de ces opérations militaires des événements importants dans le sort des guerres.
Le Fort d'Eben Emaél est neutralisé en un quart d'heure par un commando allemand aéroporté, six marins italiens renversent en une nuit le rapport des forces navales en Méditerranée, douze marins britanniques pénètrent dans un " fjord " de Norvège et éliminent le " TIRPITZ " , une poignée de FFL attaquent les aérodromes de Crète et de Libye et causent de nombreux dégâts matériels...Voici l'histoire de ces "David astucieux" qui prétendent résoudre de gigantesques problèmes au moyen d'un bout de ficelle et de trois cailloux... "(4ème de couverture)
"« Audace et non conformisme »
Cette devise pourrait orner le blason des
Commandos Stratégiques, s'ils en avaient un.
Une manière inattendue d'utiliser un matériel ancien, un gadget nouveau qui laisse l'adversaire stupide pendant les quelques secondes nécessaires - le bluff - ont fait de ces opérations militaires des événements importants dans le sort des guerres.
Le Fort d'Eben Emaél est neutralisé en un quart d'heure par un commando allemand ...

Commando ; Opération militaire ; Art et sciences militaires

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