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Documents  Ed. Balland | enregistrements trouvés : 13

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Ed. Balland

Paris


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Cote : 847 BAC

Sur un mode humoristique, l'auteur alterne des récits de fiction et des souvenirs personnels sur l'Algérie d'avant 1962.

Algérie ; Humour ; Bab-el-Oued, quartier ; Mémoire ; 1940-1953 ; 1954-1962 ; Souvenir ; Légende ; Récit

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Cote : 117 ARC 10

Avec annotations manuscrites (références bibliographiques).

Théâtre

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Cote : 847 ACH

Humour

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Cote : 845.1 BAR

"Et toi, me dit Jean-Marie Le Clézio alors que nous avançons tous deux, seuls face à la maison délabrée de sa grand-mère à Douarnenez, tu retournerais à Biskra ?
ƒ Non.
ƒ Tu devrais écrire sur Biskra, Pierre, insista-t-il quelques instants plus tard à table.
ƒ Pourquoi ?
ƒ Parce que «ce temps de guerre d'Algérie n'a pas fini de nous troubler», a-t-il répété dans une lettre qu'il m'a adressée peu après.
Je veux la maison où je suis né.
Je veux la ville où j'ai vu le jour. Je veux qu'on me rende mon pays : l'Algérie de mon enfance. Et avec elle, oui, «une certaine idée de la France », selon la belle expression de Charles de Gaulle.
Pour nos enfances, vies perdues au fond du Sahara, de nos Saharas. J'ai voulu consigner, témoignage de guerre et d'amour, ce récit qui vit en moi depuis cinquante ans. Il est dédié à une France et un monde meurtris par la violence de ce conflit, et à tous ceux dont «les coeurs, comme me l'a écrit Jean-Marie Le Clézio, ne cessent d'être "rongés" par la guerre d'Algérie ».
C'est lui, Jean-Marie Le Clézio, désormais ,Prix Nobel de littérature, qui m'a dit, tenant mon manuscrit, alors que nous nous retrouvions à Stockholm pour la remise de son Prix : « C'est important, Biskra:»
Pierre-Philippe Barkats"
"Et toi, me dit Jean-Marie Le Clézio alors que nous avançons tous deux, seuls face à la maison délabrée de sa grand-mère à Douarnenez, tu retournerais à Biskra ?
ƒ Non.
ƒ Tu devrais écrire sur Biskra, Pierre, insista-t-il quelques instants plus tard à table.
ƒ Pourquoi ?
ƒ Parce que «ce temps de guerre d'Algérie n'a pas fini de nous troubler», a-t-il répété dans une lettre qu'il m'a adressée peu après.
Je veux la maison où je suis né.
Je veux la ...

Biskra, commune ; Récits personnels

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Cote : 927 POU

"En 1929, mourait à Paris un peintre orientaliste, Étienne Dinet, connu pour le soin particulier avec lequel il représentait les indigènes du Sud algérien, et aussi pour quelques choix de vie non-conformistes : converti à l'Islam et installé dans une oasis saharienne, Bou-Saâda, il voulut y être enterré.
L'Exposition coloniale de 1931 célébra en lui l'exemple d'une union franco-musulmane, idée qui allait faire long feu.
Quarante ans plus tard, et son indépendance gagnée, l'Algérie entreprenait de se réapproprier ce citoyen original et de célébrer en Dinet "un maître de la peinture algérienne". Elle décidait de lui consacrer un musée, à Bou-Saâda, inauguré en 1993 avant d'être saccagé par des islamistes en 1995. Utilisant l'ensemble de la documentation disponible et tirant parti de documents inédits, cette monographie, sur un des représentants les plus significatifs de l'orientalisme, traite des deux vies du peintre : sa carrière au temps colonial puis sa réappropriation par la jeune nation algérienne.
Ce livre montre aussi que le passage d'une époque à l'autre, d'une nation à l'autre, défie les ruptures et les révolutions, puisque c'est en s'aidant d'images de l'Algérie française que l'Algérie algérienne parvient à formuler son identité. Il permet enfin de réfléchir sur la nature des processus historiques à l'oeuvre dans la relation coloniale et éclaire plus d'un siècle et demi d'histoire franco-algérienne que l'on ne peut réduire aux tragédies d'hier et d'aujourd'hui."
"En 1929, mourait à Paris un peintre orientaliste, Étienne Dinet, connu pour le soin particulier avec lequel il représentait les indigènes du Sud algérien, et aussi pour quelques choix de vie non-conformistes : converti à l'Islam et installé dans une oasis saharienne, Bou-Saâda, il voulut y être enterré.
L'Exposition coloniale de 1931 célébra en lui l'exemple d'une union franco-musulmane, idée qui allait faire long feu.
Quarante ans plus tard, ...

Dinet, Etienne ; Biographie

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Cote : 845 BRU

"Taoughazout. Un village oublié du sud de l'Oranie. Au Moyen Âge pourtant le grand historien arabe Ibn Khaldoun s'y était retiré durant quatre ans pour rédiger ses Prolégomènes. Pendant l'Algérie française ce fut un douar rattaché au bourg colonial de Frenda où Maurice Brunetti exerça en tant que commissaire de police. Plume déliée aussi, qui devait plus tard se faire connaître à travers un roman policier à succès (Traque au turf, Fleuve noir, 1984), il a maintenant ressorti ses carnets du bled algérien des années 50. Et il en a extrait ces Voleurs de soleil, fresque populaire et picaresque de la vie quotidienne, observation à la loupe de la société musulmane des djebels, avec ses querelles internes - les fameuses chikayas - et ses rapports apaisés mais ambigus avec les autorités françaises. Un petit monde que va balayer le séisme de la guerre d'indépendance (1954-1962).
Les « voleurs de soleil » ce sont ceux, pour Maurice Brunetti, qui, avec les premières bombes nationalistes de la Toussaint 1954, ont détruit cet univers franco-musulman, « à la fois inégalitaire et heureux »; l'auteur l'a connu de l'intérieur et il a su le ressusciter avec minutie. Humour et sympathie tissent l'histoire vraie d'un douar oranais à l'heure où tout va basculer mais où personne ne se doute encore de rien."
"Taoughazout. Un village oublié du sud de l'Oranie. Au Moyen Âge pourtant le grand historien arabe Ibn Khaldoun s'y était retiré durant quatre ans pour rédiger ses Prolégomènes. Pendant l'Algérie française ce fut un douar rattaché au bourg colonial de Frenda où Maurice Brunetti exerça en tant que commissaire de police. Plume déliée aussi, qui devait plus tard se faire connaître à travers un roman policier à succès (Traque au turf, Fleuve noir, ...

Roman ; Taoughazout ; Nationalisme -- Algérie -- 1945-1970 ; Algérie française

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