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Documents  Pervillé, Guy | enregistrements trouvés : 24

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Université de Toulouse.


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Cote : A00144

Mémoire de maîtrise d'histoire Université de Nice Sophia Antipolis U.F.R. Littéraire

Guerre d'Algérie ; Alger, commune ; Guerre d'Algérie ; Mémoire ; Transmission mémorielle ; Témoignage ; Pieds-noirs

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Cote : 965.5 PER

Commentaire du donateur :
"Le professeur Guy Pervillé qui est, à mon humble avis, le meilleur historien français sur l'Algérie au temps des Français, vient d'écrire une quarantaine de pages très denses, très méthodiques, comme il sait faire, sur le 20 août 1955. Cette date est cruciale dans la guerre d'Algérie. Si, avant elle, on (et par exemple Soustelle) pouvait imaginer mettre fin aux "événements", comme on disait alors, par une négociation et un compromis, après les massacres d'hommes, de femmes, de vieillards et d'enfants en bas âge découpés en morceaux (à Aïn Abid) du 20 août, et après la violente répression par l'armée (je conteste cependant que celle-ci ait pu faire 12 000 victimes) qui s'en est suivi, seule une solution de force paraissait envisageable.
D'un avis unanime, cette date marque donc un virage dans la guerre d'Algérie.
Les massacres du 20 août 1955 ont délibérément impliqué de nombreux paysans armés de couteaux, de serpes et de fourches, encadrés et poussés en avant, nolens, volens, par des membres de l'ALN (Armée de Libération Nationale). Inutile de préciser que cette populace, vite devenue ivre de sang, fut aussi une cible facile pour les Européens et l'armée dans les endroits où ceux-ci se défendirent. Mais cela faisait aussi partie du scénario établi.
C'est le chef du maquis du Nord constantinois, Zighout Youssef, qui organisa et supervisa toute l'opération. C'est lui qui signa les ordres d'abattre un certain nombre de personnalités musulmanes considérées comme tièdes et susceptibles de vouloir devenir des "interlocuteurs valables" pour la France. La veille, le 19 août, pour être sûr que tous les acteurs connaissaient bien leur rôle sanglant, il tenait au Djebel Ouach (au-dessus de Constantine) une réunion avec ses principaux lieutenants.
Mais dans la décision qu'il prit de mettre tout le Constantinois à feu et à sang et de faire abattre un certain nombre de personnalités musulmanes et non des moindres, les "appels de Constantine" lancés les mois précédents par des Musulmans et des Européens modérés et libéraux, semblent avoir joué un rôle déterminant.
C'est ce point, et notamment le rôle modérateur qu'Allaoua Abbas, neveu et fils adoptif de Ferhat Abbas, tenta de jouer (avec moi) que le professeur Guy Pervillé a creusé en s'appuyant sur les écrits du Dr Roger Vétillard, de Roger Doussal (ex-chef des Renseignements généraux de Bône) et sur les documents que je vous ai récemment adressés et dont je lui avais donné copie. Notamment la lettre que m'écrivit Allaoua Abbas six jours avant d'être assassiné, lettre que vous avez déjà entre les mains. Elle est précieuse.

Ces 41 pages paraîtront certainement d'une part sur le remarquable site du professeur Guy Pervillé et d'autre part dans ses prochaines communications universitaires ou publications. Mais en attendant, je vous les adresse. Elles constituent une magistrale mise au clair de ces quelques journées qui pesèrent si lourd dans l'Histoire des relations entre la France et l'Algérie."
Commentaire du donateur :
"Le professeur Guy Pervillé qui est, à mon humble avis, le meilleur historien français sur l'Algérie au temps des Français, vient d'écrire une quarantaine de pages très denses, très méthodiques, comme il sait faire, sur le 20 août 1955. Cette date est cruciale dans la guerre d'Algérie. Si, avant elle, on (et par exemple Soustelle) pouvait imaginer mettre fin aux "événements", comme on disait alors, par une négociation ...

Guerre d'Algérie ; El-Halia, Massacre d' ; Constantine, commune ; Terrorisme ; Archives Mayer

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Cote : 965.5 MAU

Mémoire de maîtrise d'histoire contemporaine à l'Université de Nice-Sophia Antipolis

Guerre d'Algérie ; Oran, département ; Rapatriés ; Pieds-noirs ; Mémoire ; Témoignage

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Cote : 325 DIC

"Allemands et Suisses sont parmi les premiers à fouler le sol de cette terre de conquête dès les années 1830-35. Ce sont aussi les plus nombreux dans les mythiques colonies de peuplement telles Dély-Ibrahim et Kouba. Le lecteur découvrira aussi le devenir, jusqu'en 1918, de ces deux minorités euro-étrangères, composante initiale de la communauté "Pied-Noire" et l'explication de l'amnésie identitaire qui a longtemps frappé les Allemands et leurs descendants." (Extr. du 4è de couv.)
"Allemands et Suisses sont parmi les premiers à fouler le sol de cette terre de conquête dès les années 1830-35. Ce sont aussi les plus nombreux dans les mythiques colonies de peuplement telles Dély-Ibrahim et Kouba. Le lecteur découvrira aussi le devenir, jusqu'en 1918, de ces deux minorités euro-étrangères, composante initiale de la communauté "Pied-Noire" et l'explication de l'amnésie identitaire qui a longtemps frappé les Allemands et leurs ...

Algérie ; Allemagne ; Histoire ; 1830-1870 ; 1871-1939 ; 1940-1953 ; Migration ; Colonisation ; France ; Conquête ; Suisse ; Colonie

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Cote : A00104

"La guerre d’Algérie a pris fin officiellement en mars 1962, avec les accords d’Évian qui prévoyaient, notamment, l’amnistie pour tous les combattants. Or force est de constater que, près de soixante ans plus tard, elle se poursuit, à travers des affrontements mémoriels où les historiens ont souvent été sommés de prendre parti.

Est-il possible aujourd’hui d’écrire une histoire dépassionnée de ce douloureux processus de décolonisation, et des traces qu’il a laissées dans les mémoires collectives ? Est-il possible de ne rien céder aux récits militants, aux récits sélectifs, à la volonté de faire silence autour de certains événements, à l’emportement de la polémique, à l’intime conviction ? Est-il possible de ne pas choisir son camp quand on écrit l’histoire ?

C’est à ces questions essentielles pour la légitimité même de la discipline que tente ici de répondre Guy Pervillé, spécialiste incontesté d’une période à laquelle il a consacré l’ensemble de ses travaux. Conduit par cette seule certitude qu’il n’y a pas de cause qui puisse prévaloir sur la recherche de la vérité." (4ème couverture)
"La guerre d’Algérie a pris fin officiellement en mars 1962, avec les accords d’Évian qui prévoyaient, notamment, l’amnistie pour tous les combattants. Or force est de constater que, près de soixante ans plus tard, elle se poursuit, à travers des affrontements mémoriels où les historiens ont souvent été sommés de prendre parti.

Est-il possible aujourd’hui d’écrire une histoire dépassionnée de ce douloureux processus de décolonisation, et des ...

Etude historique ; Guerre d'Algérie ; Mémoire ; Accords d'Evian ; Pieds-noirs

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Cote : 965.5 PER

"Entre 1954 et 1962,1a politique algérienne de la France évolua très rapidement, du principe de l'intégration croissante de l'Algérie dans la métropole à la recherche d'une négociation sur l'autodétermination de ses habitants et la définition de nouveaux rapports entre deux États indépendants.
Les négociations entreprises en 1961 entre le gouvernement français et le Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA) représentant le front de Libération Nationale (FLN) aboutirent aux accords d'Évian du 18 mars 1962. Mais leur application tourna très vite au démantèlement de ces accords, et dans le demi-siècle qui suivit, toutes les tentatives de relance de relations exemplaires entre l'Algérie et la France ont abouti à des désillusions. Pourquoi ? C'est ce que ce livre se propose de rechercher et d'expliquer.
Les accords d'Évian, qui mirent fin officiellement au mythe de « l'Algérie française » et aboutirent en de longs mois chaotiques à la séparation de deux États, font bien partie des événements fondateurs de notre temps. Un demi-siècle après leur signature, il appartient à l'histoire de relayer des mémoires trop sélectives," (4ème couverture)
"Entre 1954 et 1962,1a politique algérienne de la France évolua très rapidement, du principe de l'intégration croissante de l'Algérie dans la métropole à la recherche d'une négociation sur l'autodétermination de ses habitants et la définition de nouveaux rapports entre deux États indépendants.
Les négociations entreprises en 1961 entre le gouvernement français et le Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA) représentant le front ...

Accords d'Evian ; Guerre d'Algérie ; Etude historique ; Cinquantenaire

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Cote : 965.5 VET

"« Visant Constantine, Philippeville et de nombreux centres du nord-constantinois, un sanglant mouvement insurrectionnel déclenché samedi à midi est écrasé en quelques heures » titre L’Echo d’Alger du 21 août 1955. Déclenchée le 20 août 1955 par l’Armée de libération nationale, la branche armée du FLN, avec le soutien d’une partie de la population, l’attaque vise simultanément une quarantaine de centres dans le nord-constantinois. On parle de « massacres des Européens », de répression féroce des parachutistes français avec « une centaine de victimes algériennes pour chaque victime européenne ».

Au total, 133 civils européens au moins, 45 membres des forces de l’ordre et 35 musulmans francophiles ont été tués. Il est difficile de dénombrer les morts parmi les insurgés estimés à 6000 ou 7000. Au travers de l’étude de nombreuses sources françaises (administration, justice, police, armée, militaires appelés, pieds-noirs, presse) et algériennes (membres du FLN et de l’ALN, presse, archives), complétée par une importante recension de la presse mondiale, l’auteur revient sur les causes invoquées de ce soulèvement qui sont nombreuses et parfois hypothétiques. Il retrace l’organisation minutieuse de l’insurrection comme de la répression et analyse leurs conséquences sur ce qui allait devenir la guerre d’Algérie."
"« Visant Constantine, Philippeville et de nombreux centres du nord-constantinois, un sanglant mouvement insurrectionnel déclenché samedi à midi est écrasé en quelques heures » titre L’Echo d’Alger du 21 août 1955. Déclenchée le 20 août 1955 par l’Armée de libération nationale, la branche armée du FLN, avec le soutien d’une partie de la population, l’attaque vise simultanément une quarantaine de centres dans le nord-constantinois. On parle de « ...

El Halia ; Massacre

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