m

Documents  Djemaï, Abdelkader | enregistrements trouvés : 4

O
     

-A +A

P Q

UV

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y


Cote : 840 DJE

"Il aimait l'anisette, l'argent, la renommée, peut-être Dieu et, hélas pour lui, un peu trop les femmes, ce qui lui vaudra les foudres de l'Eglise. Défroqué mais vêtu de son éternelle soutane noire, sourcier réputé, raciste et antisémite à l'occasion, l'abbé Gabriel Iréné Séraphin Lambert était un personnage pour le moins sulfureux. Sollicité dans les années 1930 pour prospecter de l'eau en Algérie, il a eu le temps d'enlever la femme de l'instituteur du village où était né Saint-Augustin, avant de poser ses valises et celles de sa maîtresse à Oran pour trouver de l'eau douce. Défrayant par son comportement exubérant la chronique locale, il devient maire de la ville entre 1934 et 1941, année où il est démis de ses fonctions par le maréchal Pétain qu'il admirait pourtant, au même titre que Franco et Hitler auxquels il consacra des ouvrages. L'abbé Lambert, l'homme à la robe noire, est mort religieusement dans son lit, à soixante-dix neuf ans, à Antibes. Il avait tout pour devenir un personnage de roman, presque vrai. Abdelkader Djemaï est né à Oran. Il est l'auteur notamment de Camping, Gare du Nord, Le nez sur la vitre, Un moment d'oubli, Zohra sur la terrasse, Une ville en temps de guerre, La dernière nuit de l'Emir, parus au Seuil." (4ème couv.)
"Il aimait l'anisette, l'argent, la renommée, peut-être Dieu et, hélas pour lui, un peu trop les femmes, ce qui lui vaudra les foudres de l'Eglise. Défroqué mais vêtu de son éternelle soutane noire, sourcier réputé, raciste et antisémite à l'occasion, l'abbé Gabriel Iréné Séraphin Lambert était un personnage pour le moins sulfureux. Sollicité dans les années 1930 pour prospecter de l'eau en Algérie, il a eu le temps d'enlever la femme de ...

Roman historique ; Lambert, Gabriel (abbé) ; Oran, commune

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y


Cote : 928 DJE

"Un parcours, une topographie, une rencontre, celle de l'écrivain avec une ville, Oran, qui présente " le dos à la mer ". Des relations parfois heurtées, marquées par l'écriture allégorique de la Peste ou l'image minérale et rugueuse du Minotaure secrétant
Oran, où il achèvera d'écrire le Mythe de Sisyphe, c'est aussi la fuite à bicyclette vers les plages du littoral qui séduisent cet incurable Méditerranéen.
Ce sont également les lieux, les boulevards, les places, le port, la gare, les cafés, et l'atmosphère d'une ville et d'une époque décrits dans ses récits et ses Carnets.
Né à Oran en 1948, écrivain, journaliste, Abdelkader Djem" a publié de nombreuses nouvelles dans des revues et journaux algériens .et européens,. il est notamment l'auteur de deux romans et d'un récit "Un été de cendres " publié aux mêmes éditions." (4ème couverture)
"Un parcours, une topographie, une rencontre, celle de l'écrivain avec une ville, Oran, qui présente " le dos à la mer ". Des relations parfois heurtées, marquées par l'écriture allégorique de la Peste ou l'image minérale et rugueuse du Minotaure secrétant
Oran, où il achèvera d'écrire le Mythe de Sisyphe, c'est aussi la fuite à bicyclette vers les plages du littoral qui séduisent cet incurable Méditerranéen.
Ce sont également les lieux, les ...

Camus Albert (1913-1960) ; Oran, commune ; Description et voyage ; 20e siècle ; Récit

... Lire [+]

Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y


Cote : 840 DJE

"Dans les rues d'une ville algérienne brûlée par l'été, mi fonctionnaire à la Direction générale des statistiques tombé en disgrâce - assiste dans l'angoisse et l'impuissance à la montée d'une atmosphère de défiance, de suspicion et de terreur. Une population apeurée, marquée par les fusillades, les agressions, les meurtres et la répression survis dans des conditions difficiles. Le narrateur vit cet été pourri dans le sentiment•d'une irréalité douloureuse et atone. Les événements les plus atroces ne suscitent plus en lui qu'une fausse indifférence. Son passé resurgit parfois : la vie d'avant avec ses odeurs et ses couleurs vives, le corps de sa femme morte."
"Dans les rues d'une ville algérienne brûlée par l'été, mi fonctionnaire à la Direction générale des statistiques tombé en disgrâce - assiste dans l'angoisse et l'impuissance à la montée d'une atmosphère de défiance, de suspicion et de terreur. Une population apeurée, marquée par les fusillades, les agressions, les meurtres et la répression survis dans des conditions difficiles. Le narrateur vit cet été pourri dans le sentiment•d'une irréalité ...

Roman ; Alger, commune ; Après 1962

... Lire [+]

Nuage de mots clefs ici

0
Z