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Documents  Pied-vert | enregistrements trouvés : 9

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- n° n°722 - 21 juillet 1986
Cote : 313 AZZ-b

Pieds-noirs ; Après 1962 ; Pied-vert

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Cote : 920 EIN

"Le récit de la vie de Lisette Vincent permet de découvrir tout un pan soigneusement enfoui de l'histoire algérienne, Née en 1908, en Oranie, au sein d'une
famille de colons, Lisette Vincent va devenir une institutrice pionnière en important les méthodes pédagogiques nouvelles : imprimerie à l'école, méthode Freinet,. Mais cette femme, à la fois intrépide et modeste, n'arrête pas ses audaces à son métier d'enseignante, Naturiste, favorable aux idées « de progrès », on la retrouve ainsi à Barcelone, en 1938, parmi les Brigades internationales. Pendant la Seconde Queue mondiale, Lisette Vincent participe à la reconstitution du Parti communiste algérien, ce qui lui vaut d'être emprisonnée. Elle échappera de peu à l'exécution capitale qui la menaçait, Désormais militante de l'indépendance de son pays, elle en deviendra citoyenne au cours de l'été 1962, avant de s'en expatrier dans les années 1970,
Outre le récit captivant d'un destin exemplaire, et à l'heure
où l'Algérie est menacée par la guerre civile, ce livre
ressuscite le rêve de certains de ses habitants : la fraternité." (4ème couverture)
"Le récit de la vie de Lisette Vincent permet de découvrir tout un pan soigneusement enfoui de l'histoire algérienne, Née en 1908, en Oranie, au sein d'une
famille de colons, Lisette Vincent va devenir une institutrice pionnière en important les méthodes pédagogiques nouvelles : imprimerie à l'école, méthode Freinet,. Mais cette femme, à la fois intrépide et modeste, n'arrête pas ses audaces à son métier d'enseignante, Naturiste, favorable aux ...

Condition de la femme ; Oranie ; Pieds-noirs ; Instituteur ; Pied-vert ; Parti communiste algérien ; Autonomie et mouvements indépendantistes

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Cote : 313 HAM

"« Je suis française d'origine algérienne, et ma double identité, c'est ma richesse. Mais que ferais-je à l'heure du choix, si choix il devait y avoir ? Émettre une préférence reviendrait à renier mon histoire. Et aussi celle de la France. Qu'on le veuille ou non, la France et l'Algérie ont une histoire commune. Une histoire tumultueuse qui a duré un peu plus d'un siècle. Cette introspection m'a menée sur les traces des pieds-noirs qui ont choisi de rester en Algérie au lendemain de l'Indépendance. Un million d'hommes et de femmes se sont arrachés à cette terre l'été 62, très peu ont refusé de partir. J'ai voulu savoir pourquoi ils avaient, eux, renoncé à l'exil et résisté à l'exode. Qu'aurais-je fait à leur place ? »
Cécile, Momo, Éliette, Marie-France, Paul, Céleste et les autres lui ont ouvert leur maison et leur mémoire. Dix personnes qui lui ont tendu un miroir, la renvoyant à sa propre histoire, à sa différence, à ses racines, à son intégration à la française.
Assiya Hamza, diplômée de sciences politiques et journaliste, est née en France en 1978. Son père est arrivé dans les années 50 et sa mère en 1968." (4ème de couv.)
"« Je suis française d'origine algérienne, et ma double identité, c'est ma richesse. Mais que ferais-je à l'heure du choix, si choix il devait y avoir ? Émettre une préférence reviendrait à renier mon histoire. Et aussi celle de la France. Qu'on le veuille ou non, la France et l'Algérie ont une histoire commune. Une histoire tumultueuse qui a duré un peu plus d'un siècle. Cette introspection m'a menée sur les traces des pieds-noirs qui ont ...

Pieds-noirs ; Relations Algériens - Pieds-Noirs ; Témoignage ; Identité ; Pied-vert ; Exode ; Après 1962

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Cote : 313 DAU

"Dans l'imaginaire collectif, la fin de la guerre d'Algérie et l'indépendance se sont traduites par l'exode d'un million de Rapatriés échappant de justesse aux exactions du FLN.
Chiffres à l'appui, tirés de sources nombreuses et pertinentes, Pierre Daum nous livre une autre version, dérangeante mais bien plus réelle : deux cent mille Pieds-noirs ne sont pas partis après l'été 1962 et ont fait le pari de l'Algérie algérienne.
Ceux-là, qui les connaît ? Depuis un demi-siècle, les seules voix audibles sont celles des Rapatriés de 1962. Et parmi eux, qui entend-on en général ? Les plus nostalgiques de l'Algérie française, ceux qui affirment qu'ils sont"tous partis' qu'ils n'avaient d'autre choix que "la valise ou le cercueil"
De ceux qui sont restés, aucun ouvrage, aucun article, ou presque, n'a jamais parlé. Preuves vivantes qu'un autre choix était possible, ils ont toujours été, au mieux, ignorés des Pieds-noirs de France ; au pire, considérés comme "traîtres" pour être restés vivre avec les "Arabes':
Après trois années d'enquête en Algérie et en France, l'auteur a retrouvé ces hommes et ces femmes restés dans leur pays. Certains ont fini par partir cinq ans plus tard, ou dix, ou vingt... Nombre-d'entre eux y sont morts et reposent dans la terre où ils sont nés. Aujourd'hui, quelques centaines y vivent encore.
Mêlant archives et témoignages inédits ô combien émouvants, ce livre permet de se plonger dans la vie de quinze témoins choisis pour la diversité de leurs origines et de leur parcours durant les cinquante années de l'Algérie indépendante.
Des années exaltantes quoique difficiles, dans un pays qui ne tint pas ses promesses de pluralisme et de démocratie. Un pays en butte au sous-développement, marqué par les blessures jamais cicatrisées de la colonisation.
Après son premier livre-révélation sur les travailleurs indochinois de la Seconde Guerre mondiale (Immigrés de force, Solin / Actes Sud, 2009), unanimement salué par la critique, Pierre Daum nous propose une nouvelle enquête, passionnante et rigoureuse, sur un aspect inconnu du passé colonial de la France."
"Dans l'imaginaire collectif, la fin de la guerre d'Algérie et l'indépendance se sont traduites par l'exode d'un million de Rapatriés échappant de justesse aux exactions du FLN.
Chiffres à l'appui, tirés de sources nombreuses et pertinentes, Pierre Daum nous livre une autre version, dérangeante mais bien plus réelle : deux cent mille Pieds-noirs ne sont pas partis après l'été 1962 et ont fait le pari de l'Algérie algérienne.
Ceux-là, qui les ...

Pied-vert ; Exode

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Cote : 845 BOT

"Vincent Botella raconte Béni-Saf, son village.
L'enfance, les lieux, les personnages familiers, le quotidien entre [e port, la mine, la limonaderie, l'escalier, les balades et les baignades, le paysage de Rachgoun, l'heure rose du soir sur la plage... Accompagnant le portrait de ce Béni- Saf d'autrefois, l'auteur nous livre les tableaux qu'il a peints : le retour de la pêche, la plage du Puits, le marché, le cimetière où sont restés les êtres chers...
Un livre de souvenirs pittoresques et émouvants, à transmettre aux générations qui n'ont pas connu [e Béni-Saf d'autrefois.
Nouvelles suivies de Le retour au pays, récit du voyage de retour en septembre 2005." (4ème couv.)
"Vincent Botella raconte Béni-Saf, son village.
L'enfance, les lieux, les personnages familiers, le quotidien entre [e port, la mine, la limonaderie, l'escalier, les balades et les baignades, le paysage de Rachgoun, l'heure rose du soir sur la plage... Accompagnant le portrait de ce Béni- Saf d'autrefois, l'auteur nous livre les tableaux qu'il a peints : le retour de la pêche, la plage du Puits, le marché, le cimetière où sont restés les êtres ...

Beni-Saf, commune ; Témoignage ; Pied-vert ; Pataouète ; Récits de retour

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Cote : 845 MAS

"A l'Indépendance de l'Algérie, un petit nombre de « Pieds Noirs » n'ont pas voulu quitter ce pays où ils étaient nés. Les uns n'avaient pas de famille en France et ne savaient pas où aller; les autres, souvent très âgés, possédaient quelques biens et s'y accrochaient de toutes leurs dernières forces. Mais parmi eux, certains profitèrent de cette Indépendance pour prendre enfin la leur. Ils menèrent alors, et pour la première fois, une existence sans contraintes, sans contrôle et sans retenue, à l'abri des regards de ceux qui auraient pu les juger. L'amour de la liberté, du soleil, de la mer et l'amour tout court, sous toutes ses formes, leur tenait lieu de morale.
Pour vous présenter ces « Pieds Noirs » qui furent surnommés avec ironie les « Pieds Verts », parce qu'ils vivaient à l'ombre du drapeau algérien, l'auteur a choisi des personnages hors du commun. La Bataclana, Sanchez, Clémentine, Lola, Manou ou la Fariza - pour ne citer que quelques noms de cette étonnante galerie de portraits - sont les enfants naturels de cette Algérie chaleureuse et passionnée. Deux guides malicieux, Edouard et Nicolas, tirent les ficelles de ces hommes et de ces femmes. C'est la première fois qu'un roman est consacré à ces « Pieds Noirs » qui ont eu, au bout du compte, plus peur de partir que de rester. Enfin, Henri MAS a pris volontairement le parti de raconter leurs aventures, joyeusement, comme ils ont vécu... Grain de couscous, grain de sabla, grain de folie... autant en emporte le vent de l'Histoire..."
"A l'Indépendance de l'Algérie, un petit nombre de « Pieds Noirs » n'ont pas voulu quitter ce pays où ils étaient nés. Les uns n'avaient pas de famille en France et ne savaient pas où aller; les autres, souvent très âgés, possédaient quelques biens et s'y accrochaient de toutes leurs dernières forces. Mais parmi eux, certains profitèrent de cette Indépendance pour prendre enfin la leur. Ils menèrent alors, et pour la première fois, une existence ...

Récit ; Indépendance ; Pied-vert ; Roman ; 1962

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