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Cote : A00984
"Le talent de conteur d'Anne-Marie SPEICH se prête admirablement au thème qu'elle développe dans LA VICTOIRE DES PERDANTS, chronique qui met en jeu différents algérois français, musulmans, militaires, espions, F.L.N., pris dans l'engrenage d'une guerre où la France allait devoir s'incliner, mais où les deux communautés ont souvent témoigné d'une estime réciproque.
Anne-Marie SPEICH vit à Genève depuis de nombreuses années. Son père était alsacien. Une partie de la famille paternelle s'était installée en Algérie, ce qui lui permet aujourd'hui d'en parler avec précision. Sa mère, savoyarde, l'a élevée dans la région de Thonon. Le village de Lullin figure d'ailleurs dans le roman sous la simple initiale L., lieu de vacances pour les jeunes français d'Algérie dont elle relate les aventures.
Son roman développe, avec beaucoup de retenue, avec lyrisme mais aussi avec une stricte rigueur historique, la vie d'Alger dans la tempête, les amours et les drames qui y ont déferlé. Son livre est en fait une grande histoire d'amour, tant par le romanesque des situations que par le fond musical romantique (l'héroïne, Marie-Noëlle, remportera le Grand prix d'interprétation de Genève), et tout simplement par l'amour d'une Française pour une Algérie désormais indépendante mais dont les racines adventives sont encore nouées à celles de la France." (4ème couv).
"Le talent de conteur d'Anne-Marie SPEICH se prête admirablement au thème qu'elle développe dans LA VICTOIRE DES PERDANTS, chronique qui met en jeu différents algérois français, musulmans, militaires, espions, F.L.N., pris dans l'engrenage d'une guerre où la France allait devoir s'incliner, mais où les deux communautés ont souvent témoigné d'une estime réciproque.
Anne-Marie SPEICH vit à Genève depuis de nombreuses années. Son père était ...
Roman ; Guerre d'Algérie ; Condition de la femme ; Alger, commune
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