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Documents  Dien Bien Phu | enregistrements trouvés : 20

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Cote : 845 GAL

"Unefemme dans l'enfer
de Lien Bien Phu,
Geneviève de Galard
a vingt ans quand la guerre d'Indochine commence.
Descendante d'une des plus prestigieuses familles françaises (un de ses ancêtres se battait déjà aux côtés de Jeanne d'Arc), elle rêve d'aventure et veut servir. Elle choisit le métier de convoyeuse de l'armée de l'Air. Sa mission: soigner les blessés lors des évacuations aériennes.
Un jour de mars 1954, son destin bascule.
Accidenté, son avion sanitaire ne peut plus repartir. Dès lors, elle partage le sort des quinze mille soldats enterrés dans la nasse du camp retranché. Pendant deux mois, jusqu'au dernier baroud d'honneur, elle incarne pour eux, l'infirmière, la confidente et l'image de la douceur dans l'enfer des combats. Après la chute du camp, Geneviève de Galard est célébrée dans le monde entier. New York lui réserve même un accueil triomphal.
Aujourd'hui, pour la première fois, elle raconte son destin extraordinaire.
Ces Mémoires, empreintes de noblesse et de souci du détail vrai, toucheront toutes les générations. Elles permettent à chacun d'entre nous de revivre, avec les yeux d'une femme, cette page tragique de notre Histoire." (4ème couverture)
"Unefemme dans l'enfer
de Lien Bien Phu,
Geneviève de Galard
a vingt ans quand la guerre d'Indochine commence.
Descendante d'une des plus prestigieuses familles françaises (un de ses ancêtres se battait déjà aux côtés de Jeanne d'Arc), elle rêve d'aventure et veut servir. Elle choisit le métier de convoyeuse de l'armée de l'Air. Sa mission: soigner les blessés lors des évacuations aériennes.
Un jour de mars 1954, son destin bascule.
Accidenté, ...

Témoignage ; Dien Bien Phu ; Condition de la femme ; Guerre d'Indochine

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Sous le béret vert Cabiro, Bernard | Plon 1987

Monographie

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Cote : 845 CAB

"Sienne 1944: la campagne d'Italie s'achève. Le général Juin passe lentement sur le front des troupes. Son regard se pose sur un jeune gradé déjà décoré, un tirailleur marocain:
— Fin aouah el bled enta ? demande le général (d'où es-tu ?).
— De Mont-de-Marsan, dans les Landes, mon général.
Le général s'éloigne, perplexe. Et pourtant le caporal Bernard Cabiro a dit la vérité.. Son teint recuit par le soleil est à l'origine de cette méprise. Après les campagnes de Provence et d'Alsace, en 1945, Cabiro passe par Cherchell, y conquiert l'épaulette et choisit la Légion étrangère. Un premier séjour en Indochine lui vaut la Légion d'honneur et ce surnom qui claque comme un coup de fusil.: « le Cab ».
Adulé de ses légionnaires, reconnu par ses pairs, fêté par ses chefs, « le Cab » sera l'une des figures les plus marquantes des paras de la Légion, l'artisan de leur légende. Du Cambodge au Tonkin, de Phat Diêm à Diên Biên Phû, partout où se battent les « bérets verts » il y aura Cabiro.
Et puis c'est l'Algérie. A trente-sept ans, commandeur de la Légion d'honneur, 18 citations, 5 blessures, le commandant Cabiro refuse de rompre le serment de fidélité fait à ses légionnaires et sacrifie ainsi, volontairement, une fulgurante carrière.
A travers ce récit, hommage rendu à ses hommes et à ses camarades, le lecteur découvrira. un guerrier d'une trempe exceptionnelle, dont le courage, l'obstination et le rayonnement lui auraient, valu, en d'autres temps, le bâton de maréchal d'Empire.
Aujourd'hui encore, pour les jeunes officiers au « béret vert », « le Cab » sert toujours d'exemple." (4ème couverture)
"Sienne 1944: la campagne d'Italie s'achève. Le général Juin passe lentement sur le front des troupes. Son regard se pose sur un jeune gradé déjà décoré, un tirailleur marocain:
— Fin aouah el bled enta ? demande le général (d'où es-tu ?).
— De Mont-de-Marsan, dans les Landes, mon général.
Le général s'éloigne, perplexe. Et pourtant le caporal Bernard Cabiro a dit la vérité.. Son teint recuit par le soleil est à l'origine de cette méprise. Après ...

Campagne d'Italie ; Dien Bien Phu ; Guerre d'Indochine ; Témoignage ; Légion étrangère

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Cote : 359 LEM

Cet album est extrait de l'Histoire des Parachutistes Français réalisée sous la direction de Paul Gaujac "Le Ciel et la Foudre"

Indochine ; Guerre d'Indochine ; Dien Bien Phu ; Pacification

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Cote : 845 SCH

"Chef d'état-major des armées pendant la guerre du Golfe, responsable à ce titre des opérations des forces françaises, le général Maurice Schmitt livre, un an après la libération de Koweït City, son analyse des causes de ce conflit et le décrit avant d'en tirer des enseignements.
Il revient auparavant sur une carrière de quarante-deux ans. Entré à Saint-Cyr en 1948, l'année du blocus de Berlin, il combat en Indochine et termine la guerre à Diên Biên Phu. En Algérie il commande une compagnie de parachutistes sous les ordres de Bigeard. Avec le recul du temps il nous fait part de ses réflexions sur ces deux conflits.
Il décrit comment, après l'Algérie, l'Armée française s'engage dans une transformation profonde et des modernisations. importantes, pour l'essentiel la constitution de nos forces nucléaires. Cependant l'effort financier de la fin des années soixante-dix ne permet pas, dans bien des domaines, de rattraper tous les retards. La guerre du Golfe le démontrera.
Sachant d'expérience que l'Histoire réserve bien des surprises et nous a appris à nous méfier de ses pirouettes, le général Schmitt propose enfin une réflexion géostratégique sur les vingt prochaines années. Ni figé, ni angélique, il rappelle que la paix, la liberté et la démocratie sont des acquis toujours fragiles. Ce sont les dividendes de la défense." (4ème couverture)
"Chef d'état-major des armées pendant la guerre du Golfe, responsable à ce titre des opérations des forces françaises, le général Maurice Schmitt livre, un an après la libération de Koweït City, son analyse des causes de ce conflit et le décrit avant d'en tirer des enseignements.
Il revient auparavant sur une carrière de quarante-deux ans. Entré à Saint-Cyr en 1948, l'année du blocus de Berlin, il combat en Indochine et termine la guerre à Diên ...

Récits personnels ; Homme militaire ; Paras ; Guerre d'Indochine ; Dien Bien Phu ; Guerre d'Algérie

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Cote : 959 BOD

"Le Corps expéditionnaire s'est déjà enlisé en Indochine — enlisement dont il est heureux car c'est l'aventure à la fois cruelle, sensuelle, profitable et héroïque. Mais soudain il va connaître l'humiliation.
C'est la surprise totale. En apparence tout va bien. A Saigon, la piastre coule miraculeusement, finançant là guerre et l'idéologie pour tout le monde. Saigon, cette plaque tournante de l'argent, est alors une cité où tout n'est qu'accommodements, grouillements, mystères et jouissances. Et, pendant que prolifèrent la piastre des riches et la piastre des pauvres, le bandit Baivian devient le maître du « Grand Monde », le plus vaste établissement de jeux de l'univers, grâce à Bao-Daï. Plus tard ce Vautrin jaune sera préfet de police.
Tout est pour le mieux. On a même l'illusion de la victoire. Les Français pacifient presque complètement les deltas de la Cochinchine et du Tonkin. Les Vietminh affamés proclament que « chaque grain de riz vaut une goutte de sang ». Mais il y a quelques rares prophètes de malheur qui annoncent des catastrophes prochaines, comme le général Revers. On ne le croit pas, on le « torpille » dans un scandale. Et pourtant il a raison en affirmant que la «solution. Bao-Daï» est pourrie, en affirmant surtout qu'une avalanche d'hommes va surgir des jungles de la frontière de Chine, submergeant tout.
En effet, soudain, c'est le cataclysme. La destruction presque totale de deux colonnes françaises dans [es calcaires de Dong-Khé. Rien de plus horrible que l'anéantissement de ces milliers de soldats français en pleine jungle, par des Viets innombrables. Mais une pareille défaite, c'est la conséquence de tout ce qui s'est passé depuis un an à Hanoi, à Saigon, à Paris, c'est le résultat de la bêtise des états-majors et des Gouvernements, une longue suite d'erreurs mesquines qui s'accumulent, qui créent la situation stupide et inexplicable que l'on paiera avec du sang.
Tout semble perdu. Ce sont les jours affreux de l'humiliation — les Viets, ces Jaunes que l'on dédaignait, sont les plus forts; l'on ne croit plus à rien. Mais c'est alors, dans ce désespoir, que de Lattre recréera une foi — une illusion encore qui s'achèvera par une humiliation pire, deux ans plus tard, à Dien-Bien-Phu. De Lattre mourra, et son sacrifice n'aura servi à rien il laisse un Corps expéditionnaire condamné." (4ème couverture)
"Le Corps expéditionnaire s'est déjà enlisé en Indochine — enlisement dont il est heureux car c'est l'aventure à la fois cruelle, sensuelle, profitable et héroïque. Mais soudain il va connaître l'humiliation.
C'est la surprise totale. En apparence tout va bien. A Saigon, la piastre coule miraculeusement, finançant là guerre et l'idéologie pour tout le monde. Saigon, cette plaque tournante de l'argent, est alors une cité où tout n'est qu...

Guerre d'Indochine ; Dien Bien Phu

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