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Documents  Edition Michalon | enregistrements trouvés : 16

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Ed. Michalon

34 rue de Lancry
75010 PARIS


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Cote : 58 ARC

Intervention de Jean MONNERET lors de la Matinale Canal +. sur la question de "La Tragédie dissimulée, Oran, 5 juillet 1962.

Massacre du 5 juillet 1962 ; Archives Monneret

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Cote : 965.5 MAT

"Les derniers mois de la guerre d'Algérie sont marqués par un chaos provoqué par les attentats des irréductibles de l'Algérie française de l'OAS et les représailles du FLN. À partir d'avril 1962, on assiste à des enlèvements d'Européens aux périphéries d'Alger et d'Oran par des groupes informels du FLN. Plus de 630 civils et militaires sont enlevés dans los quatre mois qui séparent le cessez-le-feu de l'indépendance. Le sort de ces disparus n'a jamais été élucidé par les autorités algériennes et françaises, tandis que les corps n'ont jamais été restitués aux familles.
Alors que les hypothèses penchaient jusqu'à maintenant pour des crimes crapuleux, des arrestations de militants supposés de l'OAS ou des vengeances du FLN, Gregor Mathias, après huit années de recherche, lève le voile sur une réalité méconnue : derrière ces enlèvements se cachait la pratique dos prélèvements sanguins forcés.
Une étude historique inédite, qui fait la synthèse des informations sur ces enlèvements et présente l'ensemble des documents militaires français, d'études algériennes et des archives du CICR de Genève qu'il confronte à des témoignages écrits et oraux de rescapés de ces pratiques, et qui explique les raisons qui ont poussé le FLN à recourir à cette pratique barbare." (4ème couverture)
"Les derniers mois de la guerre d'Algérie sont marqués par un chaos provoqué par les attentats des irréductibles de l'Algérie française de l'OAS et les représailles du FLN. À partir d'avril 1962, on assiste à des enlèvements d'Européens aux périphéries d'Alger et d'Oran par des groupes informels du FLN. Plus de 630 civils et militaires sont enlevés dans los quatre mois qui séparent le cessez-le-feu de l'indépendance. Le sort de ces disparus n'a ...

Guerre d'Algérie

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Cote : 928 MON

"« J'ai toujours condamné la terreur. Je dois condamner aussi un terrorisme qui s'exerce aveuglément dans les rues d'Alger par exemple, et qui peut un jour frapper ma mère ou ma famille. Je crois à la justice, mais je défendrai ma mère avant la justice. »
En condamnant la terreur comme système politique et arme de guerre, Camus est devenu le bouc émissaire de l'intelligentsia. La fameuse apostrophe par laquelle il honnit le terrorisme a été souvent déformée ; elle lui est toujours reprochée. À ses yeux, le terrorisme est le fléau de notre époque. L'organisation terroriste, parce qu'elle s'attaque à des civils innocents, parce qu'elle postule la diabolisation de l'adversaire et met en avant l'idée de responsabilité collective, reproduit ce qu'elle voulait abolir : l'arbitraire. Elle joue toujours contre la justice. Camus a distingué le terrorisme révolutionnaire et le terrorisme d'État, mais pressenti qu'on pouvait passer de l'un à l'autre. « Quelle que soit la cause que l'on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d'une fouie innocente. »
Comme l'écrivit La Bruyère, il apparaît de temps en temps sur la surface de la Terre des hommes rares. Tel fut Albert Camus, Ennemi du terrorisme d'État, ennemi du terrorisme tout court, il fut la voix de ceux que l'on privait de parole. Pour lui, l'axe fondamental de l'action politique devait être de ne pas consentir au Mal et de ne pas légitimer le meurtre. Une leçon qui ne sera jamais perdue."
"« J'ai toujours condamné la terreur. Je dois condamner aussi un terrorisme qui s'exerce aveuglément dans les rues d'Alger par exemple, et qui peut un jour frapper ma mère ou ma famille. Je crois à la justice, mais je défendrai ma mère avant la justice. »
En condamnant la terreur comme système politique et arme de guerre, Camus est devenu le bouc émissaire de l'intelligentsia. La fameuse apostrophe par laquelle il honnit le terrorisme a été ...

Camus Albert (1913-1960) ; Guerre d'Algérie

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Cote : 965.5 GIR

"L'internationalisation du conflit algérien étant déjà très avancée lors de son arrivée au pouvoir en mai 1958, de Gaulle s'emploie à refaire de la guerre d'Algérie un problème intérieur et à lui trouver une « solution française ». Pour obtenir le soutien des Américains, il n'hésitera pas à mettre en balance l'appartenance de la France à l'Alliance atlantique. Ce qui n'empêchera pas l'ONU, que de Gaulle appelait le « Machin », d'infliger, en décembre 1960, une cuisante défaite diplomatique au chef de l'Etat français qui avait fait de la question algérienne une affaire personnelle. De plus, en choisissant ƒ après avoir proclamé le contraire ƒ de privilégier, dans la précipitation, la voie de l'indépendance et le choix du seul FLN comme interlocuteur, de Gaulle referme brutalement le piège sur les pieds-noirs et les musulmans fidèles à la France, condamnant les uns à l'exode et les autres au massacre. Une « solution française » qui, cinquante ans après, continue de susciter un profond malaise. Jour après jour, au long de ces quatre années terribles, voici les dates-clés ƒ officielles ou cachées ƒ de cette triple tragédie.
Une chronologie très fouillée, enrichie d'archives internationales inédites notamment américaines particulièrement éclairantes.
Journaliste et ancien directeur adjoint de la rédaction du Figaro Magazine, Henri-Christian Giraud est l'auteur de nombreux ouvrages sur de Gaulle." (4ème de couv.)
"L'internationalisation du conflit algérien étant déjà très avancée lors de son arrivée au pouvoir en mai 1958, de Gaulle s'emploie à refaire de la guerre d'Algérie un problème intérieur et à lui trouver une « solution française ». Pour obtenir le soutien des Américains, il n'hésitera pas à mettre en balance l'appartenance de la France à l'Alliance atlantique. Ce qui n'empêchera pas l'ONU, que de Gaulle appelait le « Machin », d'infliger, en ...

Guerre d'Algérie ; Chronologie ; Gaulle, Charles de (1890-1970) ; 13 mai 1958 ; Massacre du 5 juillet 1962

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Cote : 965.5 VAL

"L'histoire des « calots bleus » appartient aux heures les plus
sombres et les plus méconnues de la guerre d'Algérie. À
partir de décembre 1959, alors que le conflit entre la France
et le Front de libération national (FLN) a franchi la
Méditerranée et que les attentats se multiplient à Paris, le
préfet de police Maurice Papon met en place une unité
d'intervention arabo-kabyle dont la mission est de contrer
les activités des indépendantistes algériens. Dirigée par
le capitaine Raymond Montaner, cette force de police
auxiliaire (FPA), parfois surnommée « les harkis de Paris »,
va mener une véritable guerre psychologique et militaire
contre les hommes et les structures du FLN, et ce jusqu'aux
accords d'Évian de 1962. C'est la réalité de cette « bataille
de Paris », sa forme souvent souterraine, ses moyens parfois
extrêmement violents et ses enjeux que restitue l'ouvrage
de Rémy Valat.
Document apportant un éclairage inédit sur un épisode
polémique de la guerre d'Algérie, Les calots bleus et la bataille de
Paris s'appuie sur des centaines d'archives jamais exploitées
et sur les témoignages d'anciens membres de la FPA et d'agents
des services du renseignement français. Une contribution
historique sans a priori idéologique qui revient aussi sur les
événements tragiques d'octobre 1961 à Paris et propose une
analyse détaillée des méthodes de la guerre subversive et du
contreterrorisme pendant ces années troubles.
Rémy Valat est archiviste et doctorant en histoire contemporaine." (4eme couv.)
"L'histoire des « calots bleus » appartient aux heures les plus
sombres et les plus méconnues de la guerre d'Algérie. À
partir de décembre 1959, alors que le conflit entre la France
et le Front de libération national (FLN) a franchi la
Méditerranée et que les attentats se multiplient à Paris, le
préfet de police Maurice Papon met en place une unité
d'intervention arabo-kabyle dont la mission est de contrer
les activités des indépendantistes ...

Guerre d'Algérie ; Police ; Attentat ; Harki ; Terrorisme ; Paris ; Force de Police Auxiliaire ; 17 octobre 1961 ; Calots bleus ; Bataille de Paris

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Cote : 965.5 MON

"« Comme à l'accoutumée, le matin du 5 juillet 1962, j'entrepris ma tournée de ramassage... Il était environ 11 heures, j'étais sur le chemin du retour aux buanderies. Arrivé devant la morgue, je n'en crus pas mes yeux devant le carnage. Là, devant moi, une camionnette civile était chargée de corps d'Européens sans vie, empilés les uns sur les autres et ramassés en ville quelque temps auparavant. » Ainsi témoigne Antoine Romero. A Oran, le 5 juillet 1962, jour choisi pour célébrer dans la liesse l'indépendance de l'Algérie, des centaines d'Européens furent enlevés et tués. Et les troupes françaises, encore présentes dans la ville, sont restées l'arme au pied. Comme le leur avait ordonné le président De Gaulle. Cette journée poussera à l'exil des milliers de gens. Pourtant, pendant des décennies, l'événement sera occulté soigneusement des deux côtés de la Méditerranée.
S'appuyant sur des archives militaires inédites, des documents internes de la Croix-Rouge et de nombreux récits de survivants, Jean Monneret révèle tous les tenants et les aboutissants de cette tragédie dissimulée."
"« Comme à l'accoutumée, le matin du 5 juillet 1962, j'entrepris ma tournée de ramassage... Il était environ 11 heures, j'étais sur le chemin du retour aux buanderies. Arrivé devant la morgue, je n'en crus pas mes yeux devant le carnage. Là, devant moi, une camionnette civile était chargée de corps d'Européens sans vie, empilés les uns sur les autres et ramassés en ville quelque temps auparavant. » Ainsi témoigne Antoine Romero. A Oran, le 5 ...

Massacre du 5 juillet 1962

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Cote : 845 BAS

"J'ai un sentiment de tendresse, en songeant a l'enfant que fut mon pere, a cet adolescent, a cet homme que j'ai appris a aimer et qu'a nouveau, je peux appeler papa. »
Le 11 mars 1963, le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est fusille au fort d'Ivry. Ce jeune polytechnicien au regard clair a tenté six mois plus tôt d'assassiner le general de Gaulle. C'est l'attentat du Petit-Clamart.
Pour comprendre et accepter son histoire, Agnes Bastien-Thiry, agée de trois ans à l'epoque des faits, a decidé de plonger au coeur des non-dits de sa famille. Au ierme d'une enquete qui lui a permis d'acceder aux archives militaires mais aussi de recueillir les confessions de ses proches, des avocats et des conjures, elle nous livre un portrait inedit de cet « assassin ».
Une biographie intime et surprenante du dernier citoyen francais executé pour des motifs politiques.
Agnes de Marnhac Bastien-Thiry est psychogénéalogiste et thérapeute. Mon pere, le dernier des fusilles est son premier livre" (4e de couverture)
"J'ai un sentiment de tendresse, en songeant a l'enfant que fut mon pere, a cet adolescent, a cet homme que j'ai appris a aimer et qu'a nouveau, je peux appeler papa. »
Le 11 mars 1963, le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est fusille au fort d'Ivry. Ce jeune polytechnicien au regard clair a tenté six mois plus tôt d'assassiner le general de Gaulle. C'est l'attentat du Petit-Clamart.
Pour comprendre et accepter son histoire, Agnes Bastien-Thiry, ...

Bastien-Thiry, Jean-Marie ; Témoignage ; Souvenir

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Cote : 968 STO

"Après l'interruption du processus électoral en janvier 1992, l'Algérie - s'est enfoncée dans la guerre civile. Comment a-t-on pu en arriver là ? Quel est le poids de la mémoire dans l'histoire présente ? Quelles similitudes entre les réactions françaises de l'été 1994 et celles de novembre 1954, voire de mai 1958 ? Quels parallèles établir entre l'islam actuel et celui de la première guerre d'Algérie ? Le malaise social dû à l'exode rural, l'illégitimité du pouvoir de l'armée, le droit des femmes, le regain islamiste, les retards démocratiques, la crise identitaire, bref, c'est tout le drame algérien qui est disséqué dans ce livre. Faut-il rompre avec le pouvoir en Algérie ? Faut-il accueillir tous les réfugiés en France ? Un front démocratique capable de réunir toutes les composantes de la nation algérienne est-il encore possible ?
Un essai "d'inlervention" où l'auteur s'efforce de répondre à toutes ces interrogations, poursuivant ainsi son travail d'élucidation de la crise algérienne."
"Après l'interruption du processus électoral en janvier 1992, l'Algérie - s'est enfoncée dans la guerre civile. Comment a-t-on pu en arriver là ? Quel est le poids de la mémoire dans l'histoire présente ? Quelles similitudes entre les réactions françaises de l'été 1994 et celles de novembre 1954, voire de mai 1958 ? Quels parallèles établir entre l'islam actuel et celui de la première guerre d'Algérie ? Le malaise social dû à l'exode rural, ...

Algérie ; Situation administrative ; Situation sociale ; Modernisation ; Guerre

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