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Documents  Monod, Théodore | enregistrements trouvés : 15

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Cote : 927 DOU

"Henry Foley (1871-1956) fit toute sa carrière de médecin militaire en Algérie. D'abord dans les territoires du Sud, sur les confins algéro-marocains non encore pacifiés, où il fit en 1907 une découverte capitale concernant la transmission de la fièvre récurrente. Et où il passera trente ans de sa vie. Puis à l'Institut Pasteur d'Alger où il poursuivra pendant trente cinq autres années une double activité de recherches et d'enseignement avec la même foi, la même passion, le même désintéressement.
II formera ainsi plus de 300 médecins militaires destinés à servir dans les oasis du Sud Algérien.
Ce livre à la gloire de l'épopée saharienne nécessita plus de six années de travail et de recherches de la part de son auteur, le médecin général Paul Doury. II comporte une très riche iconographie et des correspondances inédites de Lyautey et de diverses personnalités du monde médical : Edmond Sergent, Charles Nicolle, Albert Calmette, etc..."
"Henry Foley (1871-1956) fit toute sa carrière de médecin militaire en Algérie. D'abord dans les territoires du Sud, sur les confins algéro-marocains non encore pacifiés, où il fit en 1907 une découverte capitale concernant la transmission de la fièvre récurrente. Et où il passera trente ans de sa vie. Puis à l'Institut Pasteur d'Alger où il poursuivra pendant trente cinq autres années une double activité de recherches et d'enseignement avec la ...

Biographie ; Foley, Henry (1871-1956) ; Médecine ; Sahara ; Institut Pasteur ; Médecin ; Territoire du Sahara ; 1871-1939

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Cote : 309 VAU

Touareg ; Poésie

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Cote : 916.6 MON

"En 1980, le Professeur Théodore Monod se rend dans l'une des régions les plus arides du monde et les moins connues du Sahara oriental, le désert Libyque.
En compagnie du géophysicien Edmond Diemen, il étudie la flore, se passionne pour l'origine du verre libyque, recherche d'éventuels impacts de météorites et bientôt s'intéresse à l'oasis légendaire de Zerzura, que les textes anciens s'accordent à situer près du massif du Gilf el Kebir. Au début du siècle déjà, les premiers explorateurs du désert Libyque étaient fascinés par son inquiétante réputation de " désert dans le désert" : on racontait que des génies y égaraient les voyageurs, qu'une armée entière y avait disparu corps et biens, et que la mythique Zerzura existait bel et bien, même si elle demeurait introuvable.
Si l'espoir secret de la plupart de ces pionniers était de retrouver l'oasis perdue, leurs expéditions se soldèrent toutes par des échecs et leurs nombreux successeurs n'eurent pas plus de chance. À Zerzura existe t- elle réellement ? A-t - elle disparut engloutie par les sables ? N'est-elle qu'une légende, un mirage ? C'est l'objet de l'enquête
passionnante menée par. Théodore Monod
et Edmond Diemen." (4ème couverture)
"En 1980, le Professeur Théodore Monod se rend dans l'une des régions les plus arides du monde et les moins connues du Sahara oriental, le désert Libyque.
En compagnie du géophysicien Edmond Diemen, il étudie la flore, se passionne pour l'origine du verre libyque, recherche d'éventuels impacts de météorites et bientôt s'intéresse à l'oasis légendaire de Zerzura, que les textes anciens s'accordent à situer près du massif du Gilf el Kebir. Au ...

Sahara ; Oasis

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Cote : 845 BEN

"Le Sahara n'est pas une étendue vide. C'est une zone désertique dans laquelle se rencontrent des hommes et des plantes. des millénaires, parce que des plantes y poussent, des gens y vivent.
Ils se sont adaptés ensemble à des conditions écologique difficiles. --Ici les plantes, et les nomades monts â mense discrétion, comme si devant puissance des éléments, nul ne pouvait tricher.
Mais, que la pluie arrive et la joie partagée annonce le magnifique retour en force de la nature que suivra bientôt la floraison.
Parcourir le désert permet de comprendre les usages que les Touaregs font de ces plantes alimentaires, médicinales et fourragères.
Fleurs du Sahara s'ouvre sur une invitation au voyage botanique, à la découverte des plantes; et édifie botanique, à la découverte des hommes. Après ce voyage occasion d'approcher une nature particulière, l'Ouvrage décrit et montre prés de cent cinquante plantes que les r familiers du désert sauront désormais reconnaître et nommer."
"Le Sahara n'est pas une étendue vide. C'est une zone désertique dans laquelle se rencontrent des hommes et des plantes. des millénaires, parce que des plantes y poussent, des gens y vivent.
Ils se sont adaptés ensemble à des conditions écologique difficiles. --Ici les plantes, et les nomades monts â mense discrétion, comme si devant puissance des éléments, nul ne pouvait tricher.
Mais, que la pluie arrive et la joie partagée annonce le ...

Sahara ; Botanique

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Cote : 846 MON

"En 1923, après une année de séjour à Port-Etienne, consacrée à l'étude de la faune ichtyologique locale et de l'industrie de pêche, pour la première fois Théodore Monod cède à l'appel de cet "autre océan" : le désert. Et il entreprend sa première méharée- environ huit cents kilomètres à travers la Mauritanie occidentale -, dont il ramènera ce journal en forme de récit. Passionné, fervent, parfois même lyrique, ce chant du désert est en même temps un document exceptionnel, écrit par un homme au carrefour de son destin.
Théodore Monod, né en 1902, vit à présent à Paris."
"En 1923, après une année de séjour à Port-Etienne, consacrée à l'étude de la faune ichtyologique locale et de l'industrie de pêche, pour la première fois Théodore Monod cède à l'appel de cet "autre océan" : le désert. Et il entreprend sa première méharée- environ huit cents kilomètres à travers la Mauritanie occidentale -, dont il ramènera ce journal en forme de récit. Passionné, fervent, parfois même lyrique, ce chant du désert est en même ...

Maurétanie ; Description et voyage ; Désert

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