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Documents  Ed. Confrérie Castille | enregistrements trouvés : 5

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Ed. Confrérie Castille

43, rue Ernest Renan
Perros-Guirec 22700

Autre adresse B.P. n°24, 94141 Alfortville Cedex.


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Cote : 965.5 DES

Un livre-dossier défendant l'Algérie française très documenté : photos, archives, plans sur la fusillade du 26 mars 1962, rue d'Isly, lors de la manifestation de masse des habitants de Maison - carrée, Hussein-Dey, El-Biar pour rejoindre Bab-el-Oued. "Les Français d'Algérie refusaient les accords d'Evian de toutes leurs forces" (extr. p.33)
Sommaire : Le Général de Gaulle parle. Les Algérois au 26 mars 1962. Tract de Vaudrey. Organigramme des responsables du maintien de l'ordre. Les consignes - Message du général Ailleret. Instruction ministérielle de mars 1961. Le drame depuis trente ans. Dans la mémoire des témoins civils. Dans la presse et les livres (extraits 1962-1993). Ceux dont on va parler : l'O.A.S. et les "barbouzes". Dans les documents mis à disposition par le SHAT, fonds du général Goubard : le P.V. de gendarmerie, l'entrevue Ailleret - Goubard le 16 mars 1962, communiqués par le général de Menditte (notice succinte du général Cavard, réponse du général Goubard à propos de la venue du général Ailleret). Tentative d'en savoir plus, anciens de l'Etat-Major du général Ailleret : généraux Hublot et Vuillermet. Sur le terrain, les officiers du 4ème RT : dialogue avec les militaires, présentation du 4ème RT par J. Bournizeau, "Fellaghas et Willayas", lieutenant Daoud Ouchène, capitaine Hardouin-Duparc, lieutenant-colonel P. Poupat, colonel R. Techer, colonel P. Brossolet, capitaine M. Gilet, lieutenant R. Ducrettet, lieutenant Saint-Gal de Pons, colonel C. Latournerie, colonel J.-P. Richarte. Etait-il possible de dire Non ? lieutenant-colonel J.-C. Chapuis, le colonel Puigt et le 5ème RTA, le général Goubard. Analyse d'une fusillade par Gérard Lagarde. Entretien avec M. Vitalis Cros, préfet de Police en 1961-1962. Synthèse générale de M.-J. Rey. Conclusion de Francine Dessaigne. En annexe : sigles et plans.
Un livre-dossier défendant l'Algérie française très documenté : photos, archives, plans sur la fusillade du 26 mars 1962, rue d'Isly, lors de la manifestation de masse des habitants de Maison - carrée, Hussein-Dey, El-Biar pour rejoindre Bab-el-Oued. "Les Français d'Algérie refusaient les accords d'Evian de toutes leurs forces" (extr. p.33)
Sommaire : Le Général de Gaulle parle. Les Algérois au 26 mars 1962. Tract de Vaudrey. Organigramme des ...

Algérie ; 1954-1962 ; Alger, commune ; Gaulle, Charles de (1890-1970) ; OAS ; Guerre d'Algérie ; Armée ; Attentat ; Guerre ; Histoire coloniale ; Indépendance ; Police ; Soulèvement ; Accords d'Evian ; Presse ; Mémoire ; Archives ; Livre ; Plan ; Français ; Militaire ; Fusillade de la rue d'Isly (26 mars 1962)

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Cote : 845 DEG

"Maddy DEGEN est née à Guelma (Algérie), en 1907 dans une famille qui n'avait pas pensé « coloniser ». Son grand oncle, jeune universitaire, fut en 1852, un déporté politique du Second Empire qui assuma longtemps la charge de Maire de la ville. Son grand-père alsacien, choisit l'exil volontaire, en optant pour la France après la victoire de la Prusse, en 1870. Son père hérita d'une ferme mais se livra surtout au commerce du blé.
En 1920, Maddy Degen est victime d'une épidémie de poliomyélite qui sévit en Algérie. Elle restera paralysée à vie. Conduite par sa mère à Tunis pour y être soignée, elle y poursuit avec courage ses études et obtient une licence de lettres et un Diplôme d'Études supérieures.
Elle y connaît les vicissitudes de notre histoire récente : premiers troubles en Tunisie, progrom à Constantine ; en Europe, Hitler en 1933 ; le 6 février 1934 et le Front Populaire en France en 1936 ; la guerre d'Espagne et, en 1939, la guerre contre l'Allemagne. Elle abandonne alors ses travaux personnels de recherche archéologique pour remplacer, au lycée Carnot, un professeur d'histoire et géographie mobilisé. En 1942, elle entre à l'Institution Emilie à Vialar pour assurer les classes de Français dans l'attente du professeur titulaire. Ce furent les Allemands qui arrivèrent et ne furent délogés qu'après six mois de la dure et glorieuse Campagne de Tunisie, livrée par l'Armée française et les Alliés.
Depuis l'indépendance de la Tunisie en 1957, M. Degen avait décidé de partir. Elle quitte « Emilie » de Vialar en 1960 et rentre à La Calle dans la maison familiale « Le Bastion ». Après l'indépendance de l'Algérie, comme d'autres enseignants, elle accepte d'assurer les cours de français au lycée Mercier de Bône, mais refuse de renouveler son contrat. En 1966, elle rentre en France. Ne pouvant se détacher complètement du pays tant aimé, de ses racines, elle revient à La Calle, chaque été, jusqu'en 1976.
Elle fixe avec émotion le souvenir du Bastion et, par de là la piété filiale, elle nous dévoile ainsi une part importante et méconnue de notre histoire.
F. D."
"Maddy DEGEN est née à Guelma (Algérie), en 1907 dans une famille qui n'avait pas pensé « coloniser ». Son grand oncle, jeune universitaire, fut en 1852, un déporté politique du Second Empire qui assuma longtemps la charge de Maire de la ville. Son grand-père alsacien, choisit l'exil volontaire, en optant pour la France après la victoire de la Prusse, en 1870. Son père hérita d'une ferme mais se livra surtout au commerce du blé.
En 1920, Maddy ...

Récit ; Souvenir ; La Calle, commune ; Constantine, commune

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